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dimanche 13 mars 2016

Attention, Cyprien Luraghi publie des faux !

Ce n’est pas nouveau, chez lui c’est même habituel.

Ses lecteurs assidus se souviennent par exemple qu’en 2012 il prétendait que j’avais déjà été condamnée pour des faux témoignages ainsi qu’à verser des sommes astronomiques à d’anciens employeurs.

Or, je n’avais jamais fait l’objet de poursuites d’aucune sorte avant cette même année 2012.

Je rappelle ici que l’unique condamnation qui me soit jamais tombée sur la tête, le 11 juin 2013, a depuis été annulée par la Cour d’Appel de Rennes, le 2 décembre 2015, par un arrêt que le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi prétend avoir intégralement publié le 5 mars 2016.

Je n’ai pas vérifié ses dires à cet égard, je me suis d’abord contentée d’aller voir la fin de son texte et ai constaté que le dispositif affiché n’était pas conforme à celui caractérisant la décision citée.

Je m’aperçois maintenant qu’il a aussi omis de préciser qu’en date du 13 juin 2013 Josette Brenterch avait fait appel du jugement rendu le 11 juin 2013, par lequel les juges brestois l’avaient pourtant satisfaite à la lettre en toutes ses demandes absolument scandaleuses.

Je ne vais pas plus loin dans la lecture de ce texte et préviens donc le lecteur qu’il est truffé de coquilles des plus curieuses, susceptibles d’être intentionnelles, sans compter que les accusations mensongères de Josette Brenterch qui s’y trouvent reproduites ne sont pas contredites par les éléments en réponse que j’avais moi-même versés à la procédure.

Cyprien Luraghi n’est de toute façon pas habilité à faire des « transcriptions » de jugements, ni à les publier comme il le fait.

Comme d’habitude à chaque fois que ses textes me concernent, cette publication tombe sous le coup de la loi.

Cela dit, je fais remarquer à propos de l’avidité toute particulière de la bande d’escrocs à laquelle j’ai affaire, ou en l’occurrence, de leur cheftaine Josette Brenterch du NPA de Brest, qu’en appel elle avait multiplié par deux le montant des sommes qu’elle réclamait, soit 7000 euros en première instance, et 14000 euros en appel.

Par ailleurs, en première instance elle avait obtenu des condamnations à des peines d’amendes de 10000 euros pour chacune des deux parties poursuivies, mon soi-disant « complice » OverBlog et moi-même, ainsi que la publication de la décision dans la presse locale à nos frais jusqu’à concurrence de 3000 euros. Elle attendait que nous soyons au moins recondamnés à l’identique en appel.

Or, dès le départ, comme l’a maintes fois écrit publiquement son complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers dès 2010, leur plan en attaquant mon hébergeur tous azimuts était de le forcer à se retourner contre moi pour me faire payer ses condamnations.

Avec leur procédure rennaise, ces escrocs escomptaient donc me dépouiller au total d’une somme de 37000 euros, sans compter les frais d’avocat.

Je rappelle que dans l’Hérault, le complice de Josette Brenterch Jean-Marc Donnadieu n’attaque qu’OverBlog. Il m’a toujours écartée de ses procédures de manière à s’éviter d’être trop contredit sur les faits et pouvoir ainsi plus facilement tromper les juges et obtenir les condamnations qu’il réclame.

Je rappelle aussi que depuis le début, c’est moi la victime de ces malfrats auxquels je n’ai jamais rien fait hormis tenter de me défendre contre toutes leurs attaques, alors que leur cheftaine Josette Brenterch me maintenait dans une situation d’isolement quasi total et naturellement sans emploi ni indemnités d’aucune sorte par divers moyens illégaux depuis plusieurs années.

Pourquoi donc s’est-elle amusée à me vendre publiquement comme prostituée à compter de juin 2010, en parallèle de toutes ces procédures caractéristiques de tentatives d’escroqueries au jugement ?

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