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jeudi 1 octobre 2015

Terrorisme : le juge Marc Trévidic dit s'attendre au pire

Je ne suis pas très optimiste moi non plus, et j’accuse en priorité les magistrats ultra CORROMPUS qui ont toujours refusé de considérer mes plaintes, préférant toujours n’écouter que les proxénètes et trafiquants d’armes qui m’agressaient, dont la criminelle Josette BRENTERCH du NPA de Brest et tous ses amis ou complices de l’extrême-gauche, notamment les psychopathes de la bande de Cyprien LURAGHI.

J’accuse donc, entre autres, les juges d’instruction brestois Raymond ANDRE, Muriel CORRE et Céline VERDIER d’avoir fait tout leur possible pour favoriser les entreprises criminelles de ces gens en multipliant tout comme eux les exactions à mon encontre alors qu’ils avaient été saisis des faits à raison desquels nous avions les uns et les autres décidé de nous engager dans des procédures judiciaires à compter de l’année 2010, celles de Mme BRENTERCH et de ses complices à mon encontre n’ayant toujours été, toutes, que des tentatives d’escroquerie au jugement supportées par des dénonciations calomnieuses et des faux témoignages dont ces malfrats étaient toujours les auteurs les uns pour les autres, ou pour eux-mêmes.

En effet, aucune des déclarations de ces malfaiteurs, pourtant régulièrement dénoncées comme mensongères, force éléments de preuve à l’appui, n’a jamais été vérifiée par ces magistrats manifestement CORROMPUS qui m’auront témoigné une haine tout à fait exceptionnelle et se sont plus à répercuter à la lettre dans toutes leurs décisions me concernant tous les mensonges et inventions calomnieuses de Mme BRENTERCH et de ses complices de la bande de Pascal Edouard LURAGHI, dit Cyprien LURAGHI.

Et ce n’est là qu’une infime partie de leurs exactions à mon encontre.


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/10/01/01016-20151001ARTFIG00112-terrorisme-le-pire-est-devant-nous-selon-trevidic.php

La France est « l’ennemi numéro 1 » de l’État islamique selon Trévidic


    • Par lefigaro.fr
    • Mis à jour le 01/10/2015 à 14:16
    • Publié le 01/10/2015 à 11:52

VIDÉO - L’ancien juge anti-terroriste, dans une interview à Paris Match, estime que «le pire est devant nous» , et s’attend à des attentats spectaculaires dans un futur proche.

Terrorisme : le juge Marc Trévidic dit s'attendre au pire dans Corruption dans Crime

Marc Trévidic est pessimiste. L’ancien juge anti-terroriste voit l’avenir en noir, à l’image de la bannière de l’État islamique. Dans une interview donnée à Paris Match, il estime que la France est devenue «l’ennemie numéro un» de l’État islamique et que l’organisation terroriste se prépare à des attentats d’ampleur sur notre territoire.

• La France, cible facile?


Marc Trévidic estime que la France est plus susceptible que les États-Unis d’être frappée par une attaque. Notamment à cause de la proximité géographique de notre pays avec les lieux où Daech a établi ses bases. «La France est facile à toucher» estime-t-il, du fait de la simplicité «opérationnelle de renvoyer de Syrie en France des volontaires aguerris, des Européens, membres de l’organisation, qui peuvent revenir légalement dans l’espace Schengen et s’y fondre avant de passer à l’action».

• Pourquoi la France?


Outre cet aspect pratique, il y a un aspect idéologique et politique. Notre pays est en première ligne depuis longtemps «pour combattre le djihad mondial». L’implication directe dans la campagne de frappes aériennes contre Daech ne fait qu’augmenter le ressentiment à l’égard de notre pays, estime le juge. «Pour [les terroristes, la France] est toujours une nation coloniale, revendiquant parfois ses racines chrétiennes, soutenant ouvertement Israël, vendant des armes aux pays dits “mécréants et corrompus” du Golfe et du Moyen-Orient.»

• Quels types d’actions?


Celui qui est maintenant vice-président du tribunal de grande instance de Lille est très inquiet quant au mode opératoire des futurs attentats. Il prévoit des attentats d’envergure et avertit que «la vraie guerre que l’EI entend porter sur notre sol n’a pas encore commencé». «Les hommes de Daech ont les moyens, l’argent et la faculté d’acquérir facilement autant d’armes qu’ils veulent. Le terrorisme est une surenchère ; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort. Il reste “le prix Goncourt du terrorisme” à atteindre, les attentats du 11-Septembre 2001 contre les tours du World Trade Center.» Fin août, dans un article du Canard enchaîné, des spécialistes du renseignement prévenaient de la même façon d’un risque «d’un 11-Septembre à la française où les services [de renseignement] seront de simples spectateurs.»

• Quelle réponse apporter?


L’inquiétude laisse place à la colère froide lorsque le juge se penche sur la réponse à apporter aux terroristes et projets d’attentats. «On ne peut plus les empêcher, lâche-t-il. Il y a là quelque chose d’inéluctable.» Un avis glaçant de la part de celui qui a été un rouage essentiel de la lutte contre le terrorisme. La raison: «Les moyens affectés à la lutte antiterroriste sont clairement devenus très insuffisants. On frise l’indigence à l’heure où la menace n’a jamais été aussi forte. Sentinelle, Vigipirate [ne résolvent] rien. Cela ne freinera pas les hommes de l’EI le jour où ils auront décidé de passer à la vitesse supérieure. Ces dispositifs protègent certains endroits, rassurent la population. Mais en fait, ils déplacent la menace. Si cela paraît trop compliqué de s’en prendre à un objectif sous surveillance, [les terroristes] en trouveront un autre.»


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