« Or, dans ses blogs, [Petitcoucou] prétendait être ingénieur informatique et avoir travaillé entre 1994 et 2004 pour la défense, sur un projet classifié; elle aurait même fait part à ses parents de la satisfaction des autorités militaires eut égard à son travail, et sa mère, dans une très longue lettre, attestait au juge ces faits manifestement chimériques. » (Pierre Jourdin, Vice-Président chargé de l’Instruction, Tribunal de Grande Instance de Brest, 4 novembre 2014)
Excellent, le copié-collé ! Même les fautes d’orthographe sont reproduites !
Effectivement, j’ai bien toujours travaillé comme ingénieur d’études en informatique tant que j’ai pu bénéficier d’un emploi, et j’ai bien aussi travaillé pour la Défense nationale sur plus d’un projet classifié, Secret Défense ou Confidentiel Défense selon les cas, mais je n’ai jamais donné les dates indiquées par les magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest, dont l’imagination perverse extrêmement fertile n’a pas grand-chose à envier à celles des cyberdélinquants ou criminels Josette Brenterch, Pascal Luraghi dit Cyprien et comparses.
Et ma mère a bien attesté au juge de faits que mes parents connaissent bien tous les deux pour en avoir été témoins lorsqu’ils se sont produits.
Rappelons quel est le juge d’instruction qui aura orienté et coordonné selon ses convenances personnelles toutes les procédures qui me concernent depuis l’année 2011 au moins :
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/tribfd/juge-dinstruction-chef-duvre-en-peril-20090113-4510061_1597927.php
Juge d’instruction. Chef d’oeuvre en péril ? 13 janvier 2009 Raymond
André est le coordonnateur du pôle de l’instruction finistérien depuis…
Raymond André est le coordonnateur du pôle de l’instruction finistérien
depuis sa création, en mars 2008. La possible disparition des juges
d’instruction ne va pas sans remous. Au pôle de l’instruction brestois,
Raymond André, juge coordonnateur, rappelle sa préférence pour la
collégialité et explique le rôle pivot de ce magistrat « indépendant ». «
15 h 48, mercredi : heure officielle du décès » : c’est par une boutade
que le doyen des juges d’instruction brestois, Raymond André, évoque la
disparition programmée du magistrat instructeur. Il n’a pourtant pas le
coeur à rire. Membre de l’Union syndicale des magistrats et
sympathisant de l’Association française des magistrats instructeurs
(Afmi), ce juge chevronné entend rappeler la place essentielle du juge
d’instruction dans la fragile architecture du système judiciaire
français. De l’indépendance En premier lieu, Raymond André s’attache à
répéter l’indépendance de ce juge et qui pourrait être remplacé par un
magistrat du parquet selon les voeux présidentiels. « À leurs
différences, nous ne sommes pas hiérarchisés et nous sommes nommés par
avis conforme du conseil supérieur de la magistrature et du président de
la République, alors que pour le parquet, seul celui de la Présidence
importe ». À ses yeux, ce distinguo suffirait presque à emporter la
raison, car garant d’une indépendance respectant l’essentielle
séparation des pouvoirs sur laquelle s’est édifiée la République.
D’autant que la création du pôle d’instruction départemental, à Brest,
ne date que de début mars 2008 et devait s’accompagner d’un changement
du système qui aurait préféré la collégialité au proverbial isolement de
ce magistrat, revenu sous le feu des critiques lors du fiasco
d’Outreau. « La collégialité, c’est ce que la commission parlementaire
réclamait et nous étions d’accord. Mais on ne nous a pas laissé le temps
: on aurait quand même pu voir comment ça fonctionnait ». Et le
magistrat d’ajouter que la solitude lors de l’instruction est
aujourd’hui plus relative que naguère, notamment grâce à la mise en
service d’un site intranet où les magistrats instructeurs s’échangent
informations et conseils. Quels moyens ? Pourtant, le président André se
propulse dans un avenir judiciaire débarrassé de l’instruction telle
que menée aujourd’hui, celle qui tend à « rechercher la vérité sur les
faits et les auteurs présumés d’un crime ou d’un délit complexe ».
Plusieurs interrogations le hantent, à commencer par le temps consacré
aux enquêtes. Si l’accent a été mis sur l’étouffement des affaires
politico-financières en cas de réforme, ici, ce sont des cas concrets
que cite Raymond André. « Lors de l’affaire des prostituées nigérianes,
nous avons mené un an d’enquête. Tout a été contesté, ça a demandé un
temps infini. Le parquet ne l’aura pas ». Comme il n’aura pas « le temps
d’écouter des mineurs victimes de viols, selon lui.« Ce ne sont des
choses que l’on ne peut voir qu’ici ». Et si réforme il doit y avoir,
elle devra nécessairement débuter « par le statut du parquet
garantissant son indépendance. Mais ça n’en prend pas le chemin. Le juge
de l’instruction, ce sera qui ? Un juge tampon ? Quels moyens aura-t-il
? Qui financera les expertises ? » ne se lasse pas d’interroger le
juge. En 2008, 95 dossiers ont été ouverts à l’instruction. Pour 63
d’entre eux, il s’agit de procédures pour crimes. 34 sont situés sur la
zone brestoise, 22 sur la zone quimpéroise et sept sur la zone
morlaisienne. Les 32 autres dossiers ont été ouverts pour des délits
dits complexes, comme ceux de délinquance financière.
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/juges-d-instruction-serge-durand-prochain-doyen-26-07-2012-1787079.php
Serge Durand prochain doyen 26 juillet 2012 L’organisation de la
justice àBrest changera quelque peu àla prochaine rentrée avec,
notamment, le départ du doyen des juges d’instruction, Raymond André,
qui reste dans le même palais mais en qualité de vice-président chargé
de l’enfance. Il sera remplacé par un magistrat qui connaît bien la
juridiction brestoise pour l’avoir fréquentée, il y a quelques années.
Serge Durand, de retour de Nouméa, occupera cette fonction dès la
rentrée judiciaire de septembre. Deux autres changements En outre
Anne-Cécile André, juge, est déchargée du service du tribunal d’instance
de Morlaix et chargée du service du tribunal d’instance de Brest.
Gwenaëlle Schulz, substitut placé auprès du procureur général près de la
cour d’appel de Rennes, rejoint, pour sa part, le parquet en qualité de
substitut du procureur de la République.
Eh oui, c’est le juge Raymond André.
Arrivé au Tribunal de Grande Instance de Brest en 1989 pour y occuper un poste de juge d’instruction, il y a quasiment toujours exercé cette fonction jusqu’à l’été 2012.
En cette qualité, il avait eu jadis à connaître des difficultés extraordinaires que je rencontrais dans l’exercice de ma profession depuis que j’avais refusé de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service du crime organisé.
Lorsqu’au mois de juin 2010 Josette Brenterch a commencé à faire écrire et participer elle-même à l’écriture de sa version imaginaire et hautement calomnieuse de ma « biographie » sur les blogs publics de son complice Pascal Luraghi dit Cyprien, celle où je serais une mythomane ou une malade mentale délirante extrêmement dangereuse qui sous couvert d’anonymat sur Internet s’inventerait une vie et un passé professionnels qu’elle n’aurait jamais eus, le juge Raymond André savait donc depuis fort longtemps quelle était la réalité.
Les Brestois connaissaient déjà fort bien les comportements habituels de leurs magistrats dans les affaires de moeurs, dissuadant même les plus téméraires des victimes de se risquer à porter plainte.
Ils apprendront bientôt en long en large et en travers qu’il n’est pas non plus question d’évoquer devant eux les différentes formes de sexisme ou de violences sexistes dont les femmes sont régulièrement victimes, puisqu’ils sont les premiers à nier totalement, preuves en main, et avec une constance effrayante, la réalité des parcours professionnels de ces « sales putes de femmes ingénieurs qui volent la place des hommes dans le travail », dont ils soutiennent à l’instar de Josette Brenterch que ce seraient des prostituées, et favorisent, encouragent autant que possible le viol et le meurtre, le massacre, l’extermination.
Mes avocats sont sidérés par les manifestations de haine de ces magistrats à mon encontre.
Eh oui, c’est le juge Raymond André.
Arrivé au Tribunal de Grande Instance de Brest en 1989 pour y occuper un poste de juge d’instruction, il y a quasiment toujours exercé cette fonction jusqu’à l’été 2012.
En cette qualité, il avait eu jadis à connaître des difficultés extraordinaires que je rencontrais dans l’exercice de ma profession depuis que j’avais refusé de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service du crime organisé.
Lorsqu’au mois de juin 2010 Josette Brenterch a commencé à faire écrire et participer elle-même à l’écriture de sa version imaginaire et hautement calomnieuse de ma « biographie » sur les blogs publics de son complice Pascal Luraghi dit Cyprien, celle où je serais une mythomane ou une malade mentale délirante extrêmement dangereuse qui sous couvert d’anonymat sur Internet s’inventerait une vie et un passé professionnels qu’elle n’aurait jamais eus, le juge Raymond André savait donc depuis fort longtemps quelle était la réalité.
Les Brestois connaissaient déjà fort bien les comportements habituels de leurs magistrats dans les affaires de moeurs, dissuadant même les plus téméraires des victimes de se risquer à porter plainte.
Ils apprendront bientôt en long en large et en travers qu’il n’est pas non plus question d’évoquer devant eux les différentes formes de sexisme ou de violences sexistes dont les femmes sont régulièrement victimes, puisqu’ils sont les premiers à nier totalement, preuves en main, et avec une constance effrayante, la réalité des parcours professionnels de ces « sales putes de femmes ingénieurs qui volent la place des hommes dans le travail », dont ils soutiennent à l’instar de Josette Brenterch que ce seraient des prostituées, et favorisent, encouragent autant que possible le viol et le meurtre, le massacre, l’extermination.
Mes avocats sont sidérés par les manifestations de haine de ces magistrats à mon encontre.
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