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samedi 5 octobre 2024

Comment j'ai participé à la réalisation d'une fresque en 6ème

Mes aventures récentes avec la Cène de Léonard de Vinci, soit quelques réflexions et conclusions originales qui auraient pu disparaître à peine publiées, mon harceleur d'habitude depuis 2008 au moins ayant sitôt demandé la suppression de cet article, comme je viens de le montrer, me rappellent ma participation à la réalisation d'une fresque en cours de dessin, en classe de 6ème.

En fait, toutes mes tentatives d'en dessiner un petit morceau provoquaient les coups de gomme systématiques d'une camarade de classe qui ne supportait pas que j'aie toujours les meilleures notes partout et profitait de l'aspect collectif de ce travail pour m'empêcher d'y participer, exactement comme pour les sports collectifs où je subissais aussi l'ostracisme de mes camarades de classe qui m'ignoraient totalement, sauf en handball quand j'allais piquer le ballon au camp adverse, seul moyen pour moi de participer au jeu.

La prof de dessin, ancienne soixante-huitarde, en était très contente. 

Ce qui était finalement mon absence totale de participation à la réalisation de cette fresque lui avait permis de dresser de moi un portrait très négatif, correspondant à tout le mal qu'elle pensait des bons ou très bons élèves, mais pas du tout à ma personnalité réelle, ni bien sûr à ce qui s'était passé.

Elle m'avait prise en grippe dès le début de l'année alors que je me révélais excellente en tout, ayant toujours les meilleures notes partout, et de loin, sauf en sport, et en dessin avec elle.

Puis elle avait tenté d'entraîner d'autres profs dans ses délires haineux à mon encontre, avec un certain succès auprès de certains ou certaines, notamment la prof de français qui était sa copine, ce qui néanmoins n'empêchait pas cette dernière de m'attribuer toujours les meilleures notes, comme quasiment tous ses collègues.

L'année suivante, nous avions changé de prof de dessin.

Nous avions désormais une vraie professionnelle, avec qui j'ai toujours eu les meilleures notes en dessin et peinture, comme dans toutes les autres matières à la seule exception du sport. Celle-là m'aimait bien, j'étais douée. Et mai 68, elle s'en foutait...

En français aussi, nous avions changé de prof.

Avec la nouvelle prof de français, les débuts furent un peu difficiles. Pour le tout premier devoir de l'année, elle m'avait fait cette réflexion très désagréable en me rendant ma copie : "Tu diras à maman que je lui ai mis 14 !" Contrairement à ce premier devoir, le second était fait en classe, et en rendant les copies, elle m'avait fait des excuses pour sa vacherie de la fois précédente. Là, elle ne m'avait pas mis 14 mais 17, et par la suite, comme tous les autres, elle m'a toujours attribué de très bonnes notes, les meilleures. Et j'étais très bien vue avec elle, mai 68 n'était pas sa tasse de thé...


Lire ou relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/la-cene-de-leonard-de-vinci-une-oeuvre.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/satanistique-visites-et-demandes-de.html


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