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samedi 21 septembre 2024

Josette Brenterch ment aux autorités judiciaires

Dans cet article du 2 septembre dernier, je suis revenue sur la procédure de Josette Brenterch à mon encontre du 19 août 2011 au 2 décembre 2015 en publiant une pièce extraite du dossier de l'information judiciaire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/09/de-la-censure-privee-sur-internet.html

En voici une autre, montrant que dès son tout premier dépôt de plainte à mon encontre, le 26 novembre 2010, dont copie jointe à sa plainte avec constitution de partie civile du 19 août 2011, Josette Brenterch ment.

En effet, se plaignant de mes publications ou commentaires publics la concernant en m'accusant de la diffamer, elle prétend avoir découvert ces écrits publics après avoir été avertie par un membre de sa famille de leur existence (elle avait déjà raconté le même genre d'histoire avec quelques différences notables dans une de ses demandes de suppression de mon blog à OverBlog). 

En vérité, elle m'injurie, me calomnie et me harcèle simultanément sur les deux blogs alors actifs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi sous le pseudonyme de "Chepita" et sur le mien sous le pseudonyme de "amnlae" depuis fin juin 2010, tout en étant l'instigatrice de tous les harcèlements à mon encontre depuis 2008 de la bande des "déconnologues" reconnaissant le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi comme étant leur chef, à qui elle dicte tout ce qu'il publie sur ses deux blogs comme "révélations" concernant ma vie privée depuis le 19 juin 2010, dont mon identité et toutes mes coordonnées, alors que je m'étais explicitement opposée à de telles révélations, que par ailleurs je n'avais jamais faites à aucun des internautes avec lesquels j'échangeais sur Internet depuis ma première inscription sous pseudonyme sur le site Rue89 en décembre 2007.

En outre, dans la même plainte avec constitution de partie civile du 19 août 2011, ayant réitéré ses accusations de diffamation publique, auxquelles elle a ajouté des accusations d'injures publiques, elle m'accuse aussi d'atteintes à l'intimité de sa vie privée commises par la révélation publique de son identité alors qu'elle s'exprimait sous les pseudonymes de "Chepita" et "amnlae".

En fait, je n'avais "révélé" son identité que fin août 2010, c'est-à-dire que j'avais attendu qu'elle l'eût elle-même révélée sur les blogs où elle s'exprimait anonymement sous ces deux pseudonymes pour la désigner moi aussi dans mes écrits publics la concernant sous sa véritable identité, que de toute façon elle avait dès cette époque pris l'habitude d'utiliser elle-même pour signer ses commentaires sur mon blog.

En réalité, donc, je ne révélais absolument rien, je répondais à la "Josette Brenterch" qui venait quotidiennement me harceler sur mon blog (tout en poursuivant ailleurs, notamment sur les blogs de son complice le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, toutes ses campagnes de calomnies publiques nominatives à mon encontre), comme avait pu le constater le juriste d'OverBlog à chaque fois qu'elle lui avait demandé de supprimer mon blog, raison pour laquelle il ne s'était pas exécuté.

Par ailleurs, ayant fourni une copie de sa toute première plainte à mon encontre avec sa plainte avec constitution de partie civile du 19 août 2011, elle se gardait bien d'indiquer que cette plainte avait été classée sans suite et pour quel motif. De fait, ayant été interrogée par la police à la suite de cette plainte, j'avais moi-même déposé plainte contre elle, à la suite de quoi, étant elle-même réinterrogée par la police, elle avait dû reconnaître avoir produit des commentaires publics me concernant sur les blogs que j'avais indiqués, en fournissant des copies de ses écrits publics me concernant, comprenant les dates desdists écrits ou commentaires. A cette occasion, elle mentait encore (elle ment tout le temps). Cependant, l'enquête avait déjà quelque peu progressé. Or, la juge d'instruction s'abstiendra elle aussi de se faire communiquer le dossier correspondant, et par ailleurs, mon avocat ayant décidé de ne m'informer de rien avant la fin de l'information judiciaire, je ne saurai jamais rien au cours de cette information judiciaire de tous les mensonges réitérés ou nouveaux de l'affabulatrice d'habitude Josette Brenterch.

Une lecture attentive de ce dossier d'information judiciaire permettait néanmoins de se rendre compte que Josette Brenterch se contredisait de déclaration en déclaration et mentait tout le temps.

Ne serait-ce que dans ses pièces jointes 3 et 4 (pièces publiées ci-dessous), on voit déjà apparaître un problème au sens où les trois articles de mon blog la citant que Google renvoie après recherche sur son nom, du 26 décembre 2010, du 29 mars 2011 et du 23 juillet 2011, sont très clairement des réponses à ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre, alors qu'elle prétend encore n'avoir rien fait... quoiqu'elle ait bien été obligée de reconnaître que si lors de son audition du 25 mars 2011 au Commissariat de police de son quartier.

Mais comme indiqué dans cet article du 13 septembre 2024, je n'aurai jamais accès au dossier de cette enquête de police avant l'été 2014, soit plus d'un an après ma condamnation de première instance et celle de mon soi-disant "complice" OverBlog sur plainte ou dénonciation calomnieuse de Josette Brenterch, le 11 juin 2013 (condamnation annulée en appel le 2 décembre 2015) :

http://satanistique.blogspot.com/2024/09/harcelement-moral-au-travail-une-simple.html

Selon mon avocat, le parquet avait toujours refusé de lui communiquer les dossiers des enquêtes préliminaires menées sur mes plaintes de 2010 et 2011, et la juge Céline Verdier, chargée depuis 2012 d'instruire mes propres plaintes avec constitution de partie civile, et qui s'était bien fait communiquer tous ces dossiers dès 2012, nous les cachait volontairement et illégalement en s'abstenant de les coter au dossier de l'information judiciaire. Encore une fois, on comprend bien pourquoi : tout comme son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Josette Brenterch avait bien menti aux autorités judiciaires, mais elle avait aussi dû reconnaître avoir commis à mon encontre des faits délictueux dont elle avait recommencé à nier l'existence lors de son dépôt de plainte avec constitution de partie civile du 19 août 2011, et ce, bien avant tous ceux qu'elle me reprochait en les qualifiant mensongèrement d'injures, de diffamation ou d'atteintes à l'intimité de sa vie privée.

C'est moi la victime depuis le début, avec mes proches. Aucun de nos harceleurs, calomniateurs et agresseurs n'a jamais été victime de rien.

Cependant, comme me l'indiquera au cours de l'été 2013 mon avocat pour la période de 2011 à 2013, la juge Céline Verdier tenait absolument à me faire très lourdement condamner, non pas pour les prétendus faits délictueux dont se plaignait Josette Brenterch de ma part, mais pour avoir osé me plaindre de tous les faits délictueux bien réels dont elle s'était précédemment rendue coupable à mon encontre avec ses complices "déconnologues" de la bande du cybercriminel et pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Il convient ici de bien réaliser que l'inversion accusatoire à laquelle j'ai toujours eu droit avec l'ensemble de ces procédures, si elle ressort régulièrement de propos mensongers de mes harceleurs, est aussi le fait des juges d'instruction de manière extrêmement consciente, car volontaire au point d'être toujours illégale : Céline Verdier n'avait pas plus le droit de m'interdire tout accès aux dossiers d'enquêtes préliminaires en s'abstenant de les coter à son dossier d'information judiciaire durant deux ans (elle était légalement tenue de coter ces pièces dès leur réception, en 2012), que sa collègue Mathilde Boissy n'était autorisée à s'autosaisir des poursuites pour injures ou diffamation à mon encontre dans le cadre de sa procédure, sans compter que cette dernière aurait dû, elle aussi, joindre au dossier de son information judiciaire tout le dossier de l'enquête de police déclenchée par la première plainte de Josette Brenterch à mon encontre, du 26 novembre 2010, ceci dans l'hypothèse où elle était autorisée à instruire, ce qui n'était même pas le cas, les plaintes pour injures et diffamation de Josette Brenterch étant toutes nulles et sa plainte pour atteintes à l'intimité de la vie privée irrecevable.

 

N.B. : Céline Verdier ayant toujours considéré que Josette Brenterch et ses complices étaient en droit de révéler au public mon identité complète, celles de mes proches, toutes nos coordonnées (sur liste rouge) et quantité d'autres informations relevant de l'intimité de nos vies privées, peu important à ce niveau-là de délinquance qu'elles soient vraies ou fausses (et pour la plupart, il ne s'agissait bien que d'inventions délirantes de l'affabulatrice d'habitude Josette Brenterch ou de ses complices Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu et autres, n'ayant toujours eu pour but que de nous calomnier au maximum de manière à provoquer quantité d'autres exactions graves à notre encontre, notamment des agressions physiques), je prends le droit de "révéler" moi aussi quelques informations les concernant, et ce d'autant plus facilement qu'il ne s'agit pas vraiment de "révélations", ces personnes n'ayant en fait jamais caché leurs identités et coordonnées au public.


 

 




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