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vendredi 13 septembre 2024

Harcèlement moral au travail : une "simple moquerie" envers un employé désormais punissable

Voir article ci-dessous.

On rappelle aussi, pièce à l'appui, que le cyberharceleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses amis "déconnologues" ont toujours estimé parfaitement normal de multiplier les "moqueries" publiques à l'égard de femmes qui s'exprimaient publiquement sur le sujet du harcèlement moral en entreprise (des "moqueries" comprenant des insultes et calomnies continuelles, quotidiennes, des révélations publiques extrêmement violentes concernant leurs vies privées alors qu'elles étaient anonymes, moult menaces de mort, de viols, etc...mais par contre, jamais aucune "contradiction", contrairement à ce qu'il en prétendait mensongèrement lors de son interrogatoire du 14 mars 2011 à la gendarmerie de Puy-l'Evêque, puisqu'il ne s'agissait pour eux absolument pas de discuter), tout en se plaignant d'être eux-mêmes "calomniés" par elles dès qu'elles se plaignaient de leurs harcèlements, lesquels n'auraient selon eux jamais existé : se "moquer" d'une "folle", ce n'est pas du harcèlement, c'est normal, "humain"...

Et toute personne qui parle de harcèlement moral en entreprise, comme victime, témoin ou experte, n'est bien qu'une "folle", puisque cela n'a jamais existé - tout au plus voit-on des gens normaux se moquer des fous ou des folles sur leur lieu de travail, parce qu'il est normal de se moquer de ces gens-là qui de toute façon n'ont pas leur place dans le monde du travail, selon toute l'extrême-gauche française et ses journalistes, notamment le pervers du genre sadique David Servenay.

En date du 14 mars 2011, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses amis "déconnologues" n'avaient donc toujours rien d'autre à nous reprocher que nos accusations de cyberharcèlements, en dehors d'une petite raillerie de ma part dans un commentaire sur mon blog en septembre 2010 à la suite de certains de ses propos publics sur la prostitution, extrêmement choquants, et auxquels il avait lui-même mêlé ses enfants, qui par ailleurs nous harcelaient aussi avec leur père et ses amis "déconnologues" depuis le printemps 2009 au moins, et ce alors que ces gens violaient l'intimité de ma vie privée, me harcelaient, calomniaient et menaçaient de mort et de viols tous ensemble depuis 2008.

 


Noter qu'il n'assume pas ses responsabilités d'éditeur de tous les propos inacceptables qui sont tenus sur son blog par ses amis "déconnologues" - et il n'est pas surprenant qu'il s'en trouve en très grandes quantités puisque, précisément, il les a toujours encouragés et même, à maintes reprises, explicitement sollicités au moyen de la publication sur son blog d'articles où il appelait tous ses lecteurs à venir avec lui y insulter et calomnier ses cibles habituelles sans aucune modération. 

Je précise encore n'être absolument pas gênée de publier cette pièce quoiqu'elle soit extraite d'un dossier d'information judiciaire, compte tenu des violences extrêmes dont je suis aussi victime de la part des magistrats brestois : entre autres choses, ceux-ci ont toujours refusé de communiquer à mes avocats les dossiers des enquêtes préliminaires menées à la suite de mes plaintes contre mes harceleurs de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, puis la juge d'instruction Céline Verdier a toujours refusé d'instruire mes plaintes avec constitution de partie civile et n'a jamais coté aux dossiers d'informations judiciaires correspondants les pièces constituant lesdits dossiers, dont ces dossiers d'enquêtes préliminaires, avant d'avoir décrété la fin desdites informations judiciaires en juillet 2014, et ce en dépit de demandes répétées de mes avocats en cours d'information judiciaire, ceci afin de m'interdire tout accès à ces pièces plus tôt, sachant qu'à cette époque le délai de la prescription de l'action publique pour un dépôt de plainte pour faux témoignage ou dénonciation calomnieuse était toujours de trois ans.

La dernière audition d'un de mes harceleurs, le dénommé Jean-Marc Donnadieu de Béziers, remontait en effet au 12 juillet 2011 et ceux-ci avaient bien tous menti et affabulé, me calomniant encore dans leurs dépositions, tout en reconnaissant toutefois s'être tous "moqués" de moi avant d'avoir quoi que ce soit à me reprocher.

Je rappelle ici ce que les magistrats ultra corrompus du TJ de Brest m'ont fait dans le même temps :

https://satanistique.blogspot.com/2024/09/de-la-censure-privee-sur-internet.html

Selon mon avocat pour la période de 2011 à 2013, ils auraient décidé de me condamner pour mes publications de droits de réponse à la suite des campagnes de calomnies absolument monstrueuses de mes harceleurs à mon encontre à compter du 19 juin 2010, non pas en fonction du dossier qui leur était présenté, mais parce que j'avais moi-même porté plainte contre ces délinquants ou criminels, un droit qu'ils me déniaient. Cet avocat qui n'avait jamais fait ce pour quoi je lui avais versé des honoraires, m'avait d'ailleurs, à cette occasion, demandé d'arrêter de me plaindre ou de déposer des plaintes. Mais d'autres avocats brestois avaient déjà refusé de prendre mon dossier au cours de l'été 2010 en me demandant de laisser le dénommé Pascal Luraghi écrire et publier sa version entièrement mensongère, calomnieuse et particulièrement infamante de ma "biographie"...

Lorsqu'en 2011 les magistrats brestois avaient fait auditionner cet individu et ses complices Josette Brenterch et Jean-Marc Donnadieu à la suite de mes plaintes contre eux, il ne s'agissait donc pas d'enquêter, mais uniquement de recueillir des "témoignages" à charge contre moi. Voilà pourquoi les déclarations de ces trois personnes m'ont toujours été cachées jusqu'à l'été 2014, il ne fallait surtout pas que je puisse les contredire, qu'une quelconque discussion ou une enquête véritable puisse s'engager sur leur base.

Même chose pendant toute la durée de l'information judiciaire menée sur plaintes de Josette Brenterch à mon encontre : je n'ai jamais été informée de rien, mon avocat qui en réalité travaillait pour mes harceleurs me cachait tout, il m'avait remis une première partie du dossier de l'information judiciaire après que celle-ci fut terminée, au cours de l'été 2012, et le reste, soit la partie la plus importante des déclarations de Josette Brenterch, où elle m'accusait encore mensongèrement de n'importe quoi, et même d'avoir fait un faux (une lettre que ma mère lui avait envoyée en octobre 2010 et qu'elle m'accusait d'avoir rédigée et signée moi-même, alors que cette lettre manuscrite était bien de ma mère, outrée par tout ce qu'elle avait déjà vu), seulement une semaine avant l'audience d'avril 2013 devant le tribunal correctionnel de Brest, de telle sorte qu'il était certain que tous ces nouveaux mensonges, inventions et dénonciations calomnieuses de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre ne seraient pas dénoncés pour ce qu'ils étaient lors du procès.

A l'inverse, mes harceleurs étaient tous hyperinformés, ils étaient toujours tenus au courant quasiment en temps réel de tout ce que je pouvais dire ou faire, que cela les concernât ou non, et au mépris de tous les secrets professionnels comme du secret de l'instruction.

Ils connaissaient aussi toutes les décisions des magistrats avant même qu'elles ne fussent prises.

On notera encore que le gendarme chargé d'auditionner Pascal Luraghi en mars 2011 devait initialement consulter l'intégralité des sites indiqués dans ma plainte comme étant ceux où il m'injuriait, me calomniait, me menaçait et révélait à ses lecteurs des informations issues de ses écoutes illégales contre mes proches et moi-même. Or, ce gendarme s'était contenté de consulter les seuls articles de son blog principal, "ICI-BLOG", sans les commentaires où j'étais quotidiennement l'objet des "discussions" publiques de Pascal Luraghi et ses amis "déconnologues", ni surtout son blog Tique Toc ouvert en juin 2010 et m'étant intégralement consacré. Il avait enregistré toutes ses déclarations sans lui demander de les justifier ni de s'expliquer sur les quelques textes qu'il avait bien vus et où j'étais outrageusement calomniée avec mes parents, à propos de notre vie privée.

Lorsqu'en octobre 2012 j'étais auditionnée pour la toute première fois en qualité de partie civile par la juge d'instruction Céline Verdier, elle m'opposait ces déclarations de Pascal Luraghi de mars 2011 sans me les dévoiler d'aucune manière, mes avocats successifs dans ce dossier n'ayant eux-mêmes jamais pu y avoir accès avant l'été 2014.

Elle refusait d'engager des poursuites à son encontre et se positionnait elle aussi en faveur de la publication de sa version entièrement mensongère, imaginaire, de ma "biographie", un "brûlot" particulièrement calomnieux et infamant à l'encontre de tous mes proches et de moi-même. 

A priori, c'est bien elle qui aurait insisté pour que je sois condamnée en juin 2013. 

Cette magistrate est aussi à l'origine de l'amende pénale supplémentaire de 10.000,00 € requise à mon encontre en août 2015 du fait que je contestais encore être une prostituée (les femmes ingénieures, dont je suis, ne sont pas des prostituées), alors que les condamnations pécuniaires prononcées en juin 2013 contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog et moi-même se montaient déjà à un total de 30.000, 00 €, et que mes harceleurs, en faisant poursuivre et condamner toujours le plus lourdement possible OverBlog dans l'Hérault et en Bretagne, attendaient naturellement que cette société se retournât contre moi pour se faire tout rembourser et obtenir de plus à mon encontre une nouvelle condamnation au paiement de dommages et intérêts.

Aussi, comme déjà expliqué ailleurs, pour être tout à fait sûrs d'obtenir les condamnations souhaitées contre OverBlog dans l'Hérault, mes harceleurs m'avaient totalement et illégalement écartée de toutes ces procédures afin que je ne pusse apporter la moindre contradiction à toutes les allégations mensongères et dénonciations calomnieuses du dénommé Jean-Marc Donnadieu à mon encontre dans le cadre de ces procédures.

Rappelons encore que la bande de "déconnologues" du cybercriminel et harceleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi compte plusieurs pédocriminels dont le chef de bande lui-même, et que la juge Céline Verdier leur ayant toujours été entièrement acquise avait exercé durant trois ans comme juge des enfants à Cherbourg avant d'être nommée juge d'instruction à Brest en 2008, et qu'elle a de nouveau exercé comme juge des enfants entre 2014 et 2016, cette fois à Quimper, avant de revenir à Brest comme juge d'instruction.

Etant désormais la doyenne des juges d'instruction de Brest, c'est elle qui a reçu depuis 2016 mes nouvelles plaintes avec constitution de partie civile et les a toutes détruites sans les avoir jamais enregistrées.

Et il faut encore rappeler le curieux destin des premiers enquêteurs et magistrats chargés de nos plaintes :

- la policière qui m'avait auditionnée à Brest en février 2011 suite à ma plainte contre Pascal Luraghi aurait quitté la police d'elle-même au plus tard au printemps 2011;

- le gendarme ayant auditionné Pascal Luraghi le 14 mars 2011 avait été muté en Guadeloupe sitôt après avec une promotion;

- le magistrat qui suivait ce dossier pour le parquet de Brest est mort des suites d'un cancer en août 2015, à 41 ans :

https://satanistique.blogspot.com/2022/07/deces-de-lancien-magistrat-brestois.html

- la juge d'instruction ayant mené l'instruction sur plaintes de Josette Brenterch à mon encontre est morte elle aussi des suites d'un cancer, en octobre 2015, à 31 ans :

https://satanistique.blogspot.com/2016/03/deces-de-mathilde-boissy-ancienne-juge.html

Quant à l'ancien doyen des juges d'instruction de Brest, Raymond André, devenu juge des enfants en 2012, il n'a pas résisté au scandale de l'affaire de la Ligue du LOL quand elle-ci a éclaté en février 2019 et est mort d'une "maladie foudroyante" à l'âge de 59 ans trois jours après ses débuts :

https://satanistique.blogspot.com/2019/02/obseques-du-juge-brestois-raymond-andre.html

A mon avis, les Brestois ne s'attendaient pas à ce que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi aille se vanter en audition de son activité de "déconnologue". 

Et la juge d'instruction Mathilde Boissy, après avoir été encensée par ce pédocriminel comme étant le "Bon Dieu" durant tout le premier semestre de l'année 2012 alors qu'elle menait tambour battant son instruction contre moi, se voyait reprocher très vertement par le même malade mental les nullités de procédure qui permettront à mon avocat d'obtenir l'annulation de toute sa procédure en appel à Rennes le 2 décembre 2015.


https://www.cnews.fr/france/2024-09-13/harcelement-moral-au-travail-une-simple-moquerie-envers-un-employe-est-desormais

Harcèlement moral au travail : une «simple moquerie» envers un employé est désormais punissable, selon la Cour de cassation

 

Couverture du code du travail Dans le code du travail, le harcèlement moral est défini comme un ensemble d'agissements répétés dégradant les conditions de travail ou la dignité et la santé d'une personne. [DENIS CHARLET / AFP]

La Cour de cassation a décidé de qualifier de harcèlement moral les remarques ou moqueries visant un collègue de travail. Les juges étudiaient le cas d’une critique émise sur l'orthographe d’un cadre sur une subordonnée.

Une révolution au travail ? Une moquerie proférée à l’encontre d’un collègue peut désormais être considérée comme du harcèlement moral, a décidé la Cour de cassation, jugeant le cas d’une remarque sur l’orthographe d’un supérieur sur une employée.

Le dirigeant avait alors admis avoir plaisanté sur l'orthographe d’une salariée, en lui conseillant d’«acheter un bescherelle et de faire de la grammaire avec ses enfants». La remarque a été qualifiée par les juges de rabaissante envers un adulte dans un contexte de travail.

La réflexion a également été jugée comme créatrice de souffrance au travail et décidé qu’elle participait à l’instauration d’une ambiance de crainte ou de dénigrement ou reproches publics. Les juges n’ont pas indiqué si la remarque avait été proférée sur un ton amical ou dans une ambiance de reproches hiérarchiques.

Droits et dignité

D'après le code du travail, le harcèlement moral est défini par des agissements répétés ayant pour but ou effet de dégrader les conditions de travail et potentiellement portant atteinte aux droits, dignité ou santé des destinataires.

Selon la justice, le harcèlement moral se définit en prenant en compte les remarques ou gestes isolés du contexte, qui peuvent même paraître anodins et n'ont pas besoin d'être répétés pour être qualifié comme du harcèlement.

 

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