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mercredi 4 septembre 2024

Affaire Telegram et régulation des plateformes : des avis éclairants

 

 

Le pervers sadique Gérald Bronner, qui applaudit à toutes les atrocités des pédocriminels, violeurs, proxénètes, trafiquants de drogue, trafiquants d'armes et terroristes islamistes de la bande des malades mentaux et néanmoins cybercriminels Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Dominique Le Brun alias Charles Mouloud, Jean-Marc Donnadieu, Patrice Seray, Jean-Marc Manach, Josette Brenterch et Julie Le Goïc, pour ne citer que ceux-là, les dernières en date étant celles des cérémonies des jeux olympiques et paralympiques, où l'on a pu voir notamment des femmes se balançant en agitant les bras en haut de perches ou de piques où elles étaient empalées par le vagin, se positionne clairement contre la liberté totale dont disposent sur la plateforme Telegram ses utilisateurs.

Or, cette grosse référence de Jean-Marc Manach et Thomas Durand de la Tronche en biais = "Déconnologues" des Luraghi, Pascal Edouard Cyprien, Annie, Gaspard et Shanti Devi (tous complices) = Ligue du LOL = secte zététicienne ou "sceptique" (des nuls en maths qui haïssent matheux et ingénieurs au point d'en assassiner et osent se prétendre "rationnels"), s'est toujours positionnée en faveur d'une liberté totale pour les violeurs, les pédocriminels, les trafiquants de drogue, d'armes, et les terroristes islamistes. C'est leur paravent à tous dès qu'ils sont menacés de poursuites.

Lire ou relire à ce sujet :

https://satanistique.blogspot.com/2020/03/jean-marc-manach-journaliste-harceleur.html

https://satanistique.blogspot.com/2023/03/gerald-bronner-le-valet-plus-royaliste.html

https://satanistique.blogspot.com/2023/03/des-reactions-au-rapport-de-la.html

https://satanistique.blogspot.com/2023/04/des-pecheurs-en-colere-brest-quimper-et.html

Sans oublier cet étrange article de Gérald Bronner lui-même du 11 janvier 2020 :

https://www.lepoint.fr/editos-du-point/sebastien-le-fol/gerald-bronner-affaire-matzneff-le-moment-de-la-fureur-morale-11-01-2020-2357244_1913.php#11

Comme l'on pouvait s'en douter, il n'est donc toujours pas question de faire tomber des réseaux criminels, mais uniquement de leurs victimes... ou des personnes qui enquêtent sur toutes les exactions des protégés de Gérald Bronner, dont le pédocriminel et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Lire ou relire à ce sujet :

https://satanistique.blogspot.com/2024/09/de-la-censure-privee-sur-internet.html

Rappel : pour les attentats terroristes, les magistrats n'ont jamais rien fait alors que l'on savait pertinemment que Telegram était utilisé... 

En revanche, les groupes d'extrême-droite ou dits "complotistes" sont bien visés (voir articles ci-dessous).

Etant haïe autant à l'extrême-droite qu'à l'extrême-gauche et dans les centres, je me doute bien que circulent aussi dans ces groupes de discussion des tas d'horreurs et quantité de faux en écriture publique sur mon compte, mais rien de tout cela n'a jamais dérangé aucun magistrat, bien au contraire, puisqu'ils sont les premiers à en produire pour le compte de criminels notoires...

Ce sont donc encore de braves gens qui sont visés par une magistrature globalement pourrie, et non des criminels.

 

N.B. : La fiche Wikipédia de Gérald Bronner ne comporte pas un mot sur sa vie privée ou sa vie de famille. Comme il ne fait pas partie de personnes harcelées à mort et contrariées à ce sujet comme à tous les autres, s'il n'a ni conjointe ni enfants, c'est forcément son choix. Quelles sont ses relations avec les femmes ? Il les découpe en morceaux, lui aussi ?


P.S. : J'ai le souvenir d'avoir vu des images de femmes empalées sur le blog Luraghi du temps où il était entièrement public, un blog où règne aussi une liberté totale et criminelle pour ses utilisateurs, tous inscrits par le maître des lieux lui-même. Et ce criminel-là, cybercriminel, pédocriminel, trafiquant de drogue, assassin, terroriste islamiste, il n'est toujours pas question de l'ennuyer...



https://www.leparisien.fr/faits-divers/gerald-darmanin-demande-a-telegram-de-fermer-des-discussions-du-groupe-dextreme-droite-frdeter-03-04-2023-VH2QFBYQ6NG4FFVAPRUFXLJLAQ.php

Gérald Darmanin demande à Telegram de fermer des discussions du groupe d’extrême droite « FRDETER »

 

Des propos racistes et des appels à la violence ont été identifiés dans plusieurs boucles de discussion utilisées par le groupe d’extrême droite sur la messagerie cryptée Telegram.

Gérald Darmanin a adressé un signalement à Telegram concernant des discussions d'extrême droite sur la messagerie cryptée, selon l'entourage du ministre. LP/Philippe Lavieille
Gérald Darmanin a adressé un signalement à Telegram concernant des discussions d'extrême droite sur la messagerie cryptée, selon l'entourage du ministre. LP/Philippe Lavieille

 

Ils sont sous surveillances depuis plusieurs mois déjà. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a demandé ce lundi à la messagerie cryptée Telegram de fermer des boucles de discussion utilisées par le groupe d’extrême droite « FRDETER » qui y échangeait, selon lui, propos racistes et appels à la violence.

« Sur instruction du ministre, un signalement, via la plateforme Pharos, a été adressé lundi à Telegram », a précisé l’entourage de Gérald Darmanin, ajoutant qu’il avait demandé « aux services de travailler aux suites judiciaires à donner, en lien avec l’autorité judiciaire ».



Ces groupes Telegram, sous surveillance depuis « fin 2022 », « comptent plusieurs centaines de comptes », a détaillé à l’AFP une source policière. Parmi ses utilisateurs, « certains profils étaient déjà connus des services de renseignement », a ajouté cette source.

Des policiers et militaires parmi les utilisateurs ?

L’existence de ces groupes a été révélée sur Twitter ce week-end par le compte Tajmaât, qui se présente comme une « plateforme collaborative pour les Maghrébins », et qui a diffusé plusieurs captures d’écran des boucles de discussion du « groupe nationaliste français Deter » (déterminés). Les échanges dévoilés montrent notamment des propos racistes et des menaces.

Parmi les utilisateurs, « certains se prévalent de la qualité de militaires ou de fonctionnaires de police, mais cela reste à démontrer car beaucoup de ces comptes n’ont pas encore été identifiés », a précisé la source policière.

Selon elle, ces boucles ont « d’abord été constituées pour servir de plateformes d’échange d’idées identitaires, pour permettre aux sympathisants de ces idéologies de se retrouver par région ». C’est ensuite que « des profils plus violents et extrémistes sont apparus sur ces boucles, suscitant d’ailleurs parfois la désapprobation d’anciens membres », a poursuivi cette source policière, ajoutant que « c’est cette dérive vers les appels à la violence qui a justifié l’attention des services ».

Contacté par l’AFP, Telegram n’avait pas donné suite immédiatement.



https://www.leparisien.fr/faits-divers/terrain-de-jeu-des-antivax-la-messagerie-telegram-dans-le-viseur-des-autorites-allemandes-15-12-2021-KYATTWYBYJFKRJWYNOVLPN6MDI.php

«Terrain de jeu» des antivax, la messagerie Telegram dans le viseur des autorités allemandes

 

A la suite des menaces de mort proférées à l’encontre d’un élu sur une conversation d’opposants à la vaccination, plusieurs personnalités politiques allemandes cherchent des voies juridiques pour forcer la plateforme à effectuer une modération des contenus.

En Allemagne, la loi obligeant les réseaux sociaux comptant au moins deux millions d’utilisateurs à lutter contre les contenus criminels, ne s'applique pas aux messageries cryptées telles que Telegram. LP/Arnaud Journois
En Allemagne, la loi obligeant les réseaux sociaux comptant au moins deux millions d’utilisateurs à lutter contre les contenus criminels, ne s'applique pas aux messageries cryptées telles que Telegram. LP/Arnaud Journois

 

De faux passes sanitaires, des témoignages de médecins controversés et même les adresses de députés favorables à la vaccination obligatoire… Voici un exemple de contenus partagés dans les groupes d’antivax allemands via l’application Telegram. Outre-Rhin, la messagerie cryptée est plus que jamais dans le collimateur du gouvernement, après les menaces de mort proférées à l’encontre de Michael Kretschmer, ministre président de la Saxe, sur une boucle téléphonique regroupant des opposants à la vaccination.

Alors que le nouveau chancelier Olaf Scholz a promis une riposte, plusieurs personnalités politiques allemandes ont appelé à un meilleur contrôle de la messagerie cryptée, qu’ils accusent d’être « le terrain de jeu » des complotistes et de l’ultra droite. « Telegram ne doit pas être un repaire pour les criminels qui ne sont pas tenus responsables de leurs actes », a déclaré le député libéral Konstantin Kuhle au quotidien économique allemand Handelsblatt. « Nous devons agir de manière plus déterminée contre l’incitation, la violence et la haine sur le Net », a de son côté réagi la nouvelle ministre fédérale de l’Intérieur, Nancy Faeser, déplorant que « ces messageries cryptées (Telegram, Signal, WhatsApp…) ne soient actuellement pas concernées » par la législation contre la haine en ligne contrairement à Facebook ou Twitter.



En Allemagne, la loi oblige les réseaux sociaux comptant au moins deux millions d’utilisateurs à lutter contre les contenus criminels tels que les propos haineux. À partir de l’année prochaine, les fournisseurs de réseaux sociaux devront également signaler les contenus illégaux à l’Office fédéral de la police criminelle. Mais cela ne s’applique pas actuellement aux services de messagerie tels que Telegram, selon Handelsblatt. Or, les politiciens aimeraient que la société filtre les contenus haineux ou les fake news. Konstantin Kuhle va même plus loin, estimant que « le pouvoir judiciaire et non les entreprises privées doivent décider si un contenu individuel est criminel ».

Correspondance privée

« Cela me paraît très compliqué à mettre en place », estime auprès du Parisien Basile Ader, avocat au barreau de Paris. Pour lui, Telegram permet une correspondance privée entre les internautes, toute modération est donc impossible. « C’est comme si on demandait aux employés de la Poste de surveiller le contenu des lettres que les gens s’envoient », explique-t-il. Mais un canal de discussion regroupant plusieurs milliers d’internautes peut-il vraiment être considéré comme un échange privé ? « Le caractère privé ou public ne dépend pas seulement du nombre de personnes qu’il concerne mais aussi s’ils appartiennent à la même communauté d’intérêt », rappelle Basile Ader. Autrement dit, si les membres de la conversation se connaissent entre eux, ce qui est compliqué à déterminer.

Difficile donc d’attaquer Telegram sur le plan juridique. Mais le ministre de l’Intérieur de Basse-Saxe, Boris Pistorius, a émis une autre proposition : celle de forcer les géants du numérique tels que Google et Apple à retirer la messagerie de leurs boutiques d’applications. Une méthode qui s’apparente à celle prise le 24 novembre en France par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), qui a ordonné aux moteurs de recherche de déréférencer le site de vente en ligne Wish. Mais là encore, Basile Ader est sceptique face à cette option qu’il juge « arbitraire » et « non conforme à la liberté de commerce et à la liberté d’expression ».



Depuis le début de la pandémie et plus particulièrement après que le gouvernement allemand a annoncé son projet de décréter la vaccination obligatoire, des centaines de complotistes et opposants au vaccin se retrouvent et échangent sur Telegram. Et les autorités allemandes soupçonnent l’extrême droite d’être aux avant-postes du mouvement antivax. Outre « Dresden Offline Networking », la conversation ciblée par la police dans l’affaire des menaces de mort à l’encontre de Michael Kretschmer, Handelsblatt cite le groupuscule d’extrême droite « Free Saxony », qui a créé une boucle Telegram comptant plus de 100 000 utilisateurs, critiquant la politique sanitaire du gouvernement.

En France, si le lien entre l’extrême droite et le complotisme est moins évident, la crise sanitaire a entraîné l’émergence du même type de groupes antisystème. Ainsi selon Mediapart, la boucle Telegram « La Vérité censurée », qui se présente comme « un média alternatif indépendant, sans conflits d’intérêts », rassemble près de 45 000 personnes, majoritairement antivax.


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