Cérémonie de clôture des JO : le piano à la verticale d'Alain Roche

 

 

Il faut bien le voir en mouvement et pas seulement sur des images statiques, comme celles que j'ai rapportées dans ces deux précédents articles :

http://satanistique.blogspot.com/2024/08/ceremonie-de-cloture-des-jo-2024-on-en.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/08/les-phryges-mascottes-des-jo-2024.html

Et là, on le reconnaît tout de suite : il sort de l'Océan pour s'élever dans les airs... c'est le poulpe de Bob l'Eponge ou Cyprien Luraghi.

J'en avais illustré cet article du 7 juin 2010 sur mon ancien blog "Un petit coucou" chez OverBlog (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :

 

 

 

Parce que moi aussi, je peux me moquer un peu, si je veux, et c'est forcément plus fin que tout ce qu'il fait.

Il s'agissait d'un enchaînement d'extraits de Bob l'éponge illustrant à merveille cette chanson de Christophe Willem en fond sonore :

La vidéo que j'avais utilisée en 2010 n'est plus disponible aujourd'hui. 

On trouve celle-ci en remplacement :

 

 

Finalement, quand on sait que dans les cérémonies des JO de cette année 2024, tout était inversé, comme d'habitude avec le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices, l'épisode de la Cène est assez lisible :

Je n'ai jamais trahi, et c'est justement ce que tous mes harceleurs me reprochent, la pute Céline Verdier en tête - j'aurais dû accepter de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de mes anciens employeurs mafieux... et me faire ensuite tuer par les cow-boys de la DST... J'ai toujours fait le choix de la légalité, d'où ma condamnation à mort, puis celles de tous mes proches à compter de l'année 1994.

Je suis blanche.

 

N.B. : Le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi raconte dans certains de ses écrits publics qu'à l'époque où il a brutalement quitté à la fois l'école et sa famille en situation d'échec scolaire à l'âge de 14 ans, c'est lui qui organisait les boums au collège pour les élèves de sa classe, avec ses propres disques. Son père ne supportait pas qu'il les écoute chez lui à tue-tête et avait fini par les casser. C'est pour cette raison qu'il lui avait lui-même cassé la gueule avant de fuir le domicile familial pour ne plus jamais y revenir.

Aujourd'hui, il a dans ses disques durs quantité d'enregistrements de mes conversations téléphoniques et autres, toutes illégalement captées.

Bob l'éponge pleine de trous et son ami Patrick la phryge :