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jeudi 13 juin 2024

Pédocriminalité : Hé ! Chantal Frei a été brûlée exactement comme moi !

 

 

Je retiens dans cette longue interview postée hier sur YouTube le passage où Chantal Frei parle d'une plainte contre son père pédocriminel, classée sans suite pour défaut de preuves, notamment parce qu'une des accusatrices, elle, Chantal Frei, n'avait pu être entendue du fait qu'elle était alors très malade.

JE SAIS CE QUE C'EST !!!

Les salopards de Brestois de merde dont je parle très souvent des innombrables exactions contre mes proches et moi-même m'ont aussi pété un paquet de procédures avec exactement la même "maladie", provoquée par un empoisonnement criminel.

En tête de liste des toxiques suspectés : métaux lourds radioactifs (pouvant très bien provenir des services hospitaliers qui en utilisent) et armes chimiques.

Chantal Frei a dû être empoisonnée exactement comme moi après le dépôt de la plainte contre son père.

Et de mon côté, j'ai tout ce qu'il faut pour établir l'empoisonnement criminel, j'ai fait tous les examens médicaux nécessaires.

J'ai même porté plainte. Cela s'est terminé par un non-lieu au motif que j'avais soi-disant "manipulé" tous mes médecins et tous les techniciens de laboratoires ayant produit les résultats d'analyses sur lesquels mes médecins avaient fondé leurs diagnostics.

Bien évidemment, les autrices de cette saloperie sont encore les deux pourritures Isabelle Johanny et Céline Verdier, respectivement vice-procureure et doyenne des juges d'instruction du TJ de Brest, ayant comme d'habitude rédigé les faux en écriture publique qu'elles ont produits dans le cadre de cette procédure sous la dictée de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, laquelle faisait écrire les mêmes insanités par son obligé le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs alors actifs au tout début de ses très vastes campagnes de calomnies publiques nominatives à mon encontre, au cours de l'été 2010 : elle m'accusait mensongèrement d'avoir "manipulé" tout au long de ma vie tous ceux qui pouvaient confirmer ce que j'en disais moi-même, en contradiction totale avec sa version entièrement fausse, calomnieuse et particulièrement infamante de ma biographie.

Et devinez quoi ?

L'immonde salope Josette Brenterch et toute sa clique de salopards de Brestois de merde, islamogauchistes, pédocriminels et trafiquants en tous genres, étaient aussi, autrefois, très très très liés à l'Ordre du Temple Solaire, dont ils ont adoré le gourou Luc Jouret autant que Satan.

Le pharmacien de la secte était le Brestois Claude Giron.

 

P.S. : Un autre Français a possiblement été empoisonné de la même manière, il s'agit d'un de mes anciens employeurs, de ceux qui ont le plus dérangé les mafieux : Jean-Luc Lagardère, un an après moi. Lui n'a pas survécu.

Question : comment provoquer des troubles neurologiques d'une telle sévérité chez la personne visée sans toucher les membres de son entourage (dans le mien, il y avait quand même bien eu des formes très atténuées des mêmes symptômes) et sans aucun risque pour les empoisonneurs eux-mêmes ? Personnellement, je pense avoir été exposée le même jour à quelques minutes d'intervalle en deux lieux différents à deux saloperies dont le mélange aura provoqué la "maladie".


https://www.lemonde.fr/archives/article/1997/02/21/claude-giron-nie-etre-le-pharmacien-de-l-ots_3768669_1819218.html

Claude Giron nie être « le pharmacien de l'OTS »

Par CLAUDE FRANCILLON

Publié le 21 février 1997 à 00h00, modifié le 21 février 1997 à 00h00

Temps de Lecture 2 min.


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« Je n'ai rien à me reprocher. Je n'ai donc pas besoin d'avocat », affirme Claude Giron. Ce pharmacien brestois, qui s'est présenté seul, le 4 février, devant le juge d'instruction grenoblois Luc Fontaine lors de sa mise en examen, nie toute implication dans le fonctionnement de l'Ordre du temple solaire (OTS). Il jure avoir « pris ses distances » avec la secte en décembre 1988, à la suite d'une grave maladie, mais aussi en raison de la « fragilité d'un certain nombre d'adeptes » et des « dérives apocalyptiques » de leur gourou, le médecin homéopathe Luc Jouret.

Les deux hommes se sont rencontrés en 1984 à Plougastel (Finistère) lors d'une conférence sur les médecines douces. Aussitôt, ils deviennent amis et coprésident, pendant un an et demi, les débats organisés dans le cadre du club Archedia, une structure satellite de l'OTS servant notamment à recruter de nouveaux membres pour la secte. Claude Giron connaît alors une ascension fulgurante au sein de l'ordre : il devient, par cooptation, l'un des principaux administrateurs aux côtés de Joseph Di Mambro, de Luc Jouret et d'un diplomate jamaïcain en poste à Genève.

Chargé, avec Michel Tabachnik, de surveiller la formation des adeptes de la secte, il estime avoir été « l'alibi scientifique d'un enseignement ésotérique auquel [il] ne comprenait rien ». Il déclare enfin ne pas avoir été surpris par le fonctionnement interne de cet ordre initiatique, « qui [lui] rappelait la franc-maçonnerie qu'[il] connaît de l'intérieur », précise M. Giron, qui fut vénérable de la loge de Brest. Le pharmacien affirme avoir tenu un rôle « essentiellement profane » jusqu'à son départ en 1988. « J'ai perdu le contact philosophique avec l'organisation, mais j'ai gardé un pied dedans pour essayer d'aider Luc Jouret. »

FACTURE DE RAPPEL

La justice s'intéresse surtout à une commande faite par M. Jouret au pharmacien de Brest, quelques jours avant les massacres survenus en Suisse les 4 et 5 octobre 1994. Quinze doses d'un produit homéopathique, le Natrom Muriaticum 50 000 K, prescrit pour des patients atteints de dépressions très sévères, ont été adressées au médecin. « C'est ce qui me vaut aujourd'hui mes ennuis avec la justice », admet le pharmacien, qui réfute l'idée selon laquelle il aurait été le principal fournisseur de médicaments pour les membres de l'OTS. Le 9 avril 1996, il a envoyé à Patrick Rostan, l'un des seize membres de l'OTS décédé quatre mois plus tôt dans le Vercors, une note de rappel de 30,40 francs correspondant à un produit homéopathique expédié le 30 novembre 1995.

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