À Brest, une femme de 27 ans placée en garde à vue pour apologie du terrorisme
Une femme âgée de 27 ans a été placée en garde à vue, ce mardi 4 juin 2024, au commissariat de police de Brest (Finistère). Il lui est reproché d’avoir fait l’apologie d’actes de terrorisme dans la bande de Gaza, sur les réseaux sociaux.
Une femme âgée de 27 ans a été placée en garde à vue, mardi 4 juin 2024, au commissariat de police de Brest (Finistère).
Il lui est reproché d’avoir fait publiquement l’apologie d’actes de terrorisme, du 1er novembre au 30 novembre 2023, en publiant sur ses comptes X (ex-Twitter) et Tik-Tok des vidéos et des propos niant ou relativisant les massacres commis le 7 octobre 2023 par le Hamas dans des villages proches de la bande de Gaza
, rapporte le procureur de la République de Brest.
Elle aurait ainsi présenté des actes terroristes sous un jour favorable
.
L’intéressée, sans emploi et ayant des antécédents judiciaires, est
convoqué le 28 octobre 2024 devant le tribunal correctionnel. Dans
l’attente de son jugement, elle a été placée sous contrôle judiciaire.
Une femme de 27 ans poursuivie à Brest pour apologie d’actes de terrorisme
Une femme de 27 ans est poursuivie d’apologie d’actes de terrorisme par le parquet de Brest, pour présenter sous un jour favorable les attaques du Hamas du 7 octobre.
Durant le mois de novembre 2023, cette femme de 27 ans, sans emploi mais ayant des antécédents judiciaires, a publié des vidéos et propos, sur les réseaux sociaux TikTok et X (ex-Twitter) « niant ou relativisant les massacres commis le 7 octobre 2023 par le Hamas dans des villages proches de la bande de Gaza, présentant ainsi cet acte terroriste sous un jour favorable », selon le parquet de Brest.
Placée en garde à vue au commissariat de Brest ce mardi 4 juin 2024, elle a été déférée dans l’après-midi. Elle sera convoquée le 28 octobre prochain devant le tribunal correctionnel pour apologie d’actes de terrorisme. Dans l’attente, elle a été placée sous contrôle judiciaire.
Brest : une femme placée en garde à vue pour apologie du terrorisme
La jeune femme de 27 ans a été placée sous contrôle judiciaire et sera convoquée en octobre devant le tribunal correctionnel, selon le parquet de Brest dont Ouest-France se fait écho.
À Brest (Finistère), une femme de 27 ans a été placée en garde à vue pour apologie du terrorisme ce mardi. Elle est poursuivie « pour avoir présenté sous un jour favorable les attaques du Hamas du 7 octobre », a indiqué le parquet de Brest dont Ouest-France se fait écho.
Cette jeune femme est accusée d’avoir fait publiquement l’apologie d’actes de terrorisme entre le 1er novembre au 30 novembre 2023. Les messages, « niant ou relativisant les massacres commis le 7 octobre 2023 par le Hamas dans des villages proches de la bande de Gaza », auraient été diffusés sur les réseaux sociaux X et TikTok, a précisé le procureur de la République de Brest, Camille Miansoni, auprès de nos confrères de la presse locale.
La personne mise en cause, sans emploi et ayant des antécédents judiciaires, a été placée sous contrôle judiciaire et sera convoquée en octobre devant le tribunal correctionnel.
À Brest, dans le département du Finistère, une femme de 27 ans a été placée en garde à vue ce mardi pour apologie du terrorisme.
Selon les informations rapportées par Ouest-France et confirmées par le parquet de Brest, elle est accusée d’avoir “présenté sous un jour favorable les attaques du Hamas du 7 octobre”.
Le parquet de Brest, via Camille Miansoni, a précisé que cette femme est poursuivie pour avoir fait publiquement l’apologie d’actes de terrorisme entre le 1er et le 30 novembre 2023.
Les messages incriminés, diffusés sur les réseaux sociaux X (anciennement Twitter) et TikTok, auraient nié ou relativisé les massacres commis le 7 octobre 2023 par le Hamas dans des villages proches de la bande de Gaza.
Sans emploi et avec des antécédents judiciaires, la jeune femme a été placée sous contrôle judiciaire. Elle devra comparaître en octobre prochain devant le tribunal correctionnel pour répondre de ses actes.
Brest : une femme devant le tribunal pour apologie d'actes de terrorisme
Une femme est poursuivie pour apologie d'actes de terrorisme, après avoir publié des vidéos sur les réseaux sociaux. Elle est convoquée devant le tribunal de Brest en octobre.
Mardi 4 juin 2024, une femme âgée de 27 ans, sans emploi et ayant des antécédents judiciaires, a été placée en garde à vue au commissariat central de Brest. Déférée le même jour, elle est convoquée le 28 octobre devant le tribunal correctionnel.
« Acte terroriste sous un jour favorable »
Il lui est reproché d’avoir fait publiquement l’apologie d’actes de terrorisme. « En publiant sur ses comptes Twitter et TikTok des vidéos et des propos niant ou relativisant les massacres commis le 7 octobre 2023 par le Hamas dans des villages proches de la bande de Gaza, présentant ainsi cet acte terroriste sous un jour favorable, avec cette circonstance que les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne », précise le parquet.
Il précise que « cette femme était en couple avec un individu qui souhaitait qu’ils vivent en Arabie Saoudite. Pour le forcer à reconnaître leur enfant, elle lançait des messages sur les réseaux sociaux puis évoquait le sujet de la Palestine à plusieurs reprises. »
Apologie du terrorisme : à Brest, un jeune homme de 16 ans interpellé pour avoir diffusé des vidéos d'Al-Qaida
Justice
Publié le
Un jeune homme de 16 ans, déjà connu de services de police, a été interpellé à Brest (Finistère) pour apologie du terrorisme après avoir partagé plusieurs contenus liés à Al-Qaida sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram. Selon « Le Télégramme », il sera convoqué devant le tribunal pour enfants le 5 avril prochain.
Malgré ses moins de 3 000 abonnés au total sur les réseaux, les forces de l'ordre ne sont pas passées à côté de ses publications. Selon les informations du Télégramme ce mercredi 31 janvier, un jeune homme de 16 ans a été interpellé à Brest (Finistère) pour apologie du terrorisme après avoir partagé plusieurs contenus liés à Al-Qaida sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram.
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Parmi les posts mis en cause, le premier expose une vidéo dans laquelle plusieurs combattants armés entonnent des chants religieux incitant à tuer les ennemis pour parvenir à la justice et à la victoire. L’autre publication concerne un prêche audio de Faris Al-Zahrani, stratège d’Al-Qaida décédé en 2016. Dans cette séquence sonore, celui-ci met en garde les musulmans contre ceux qui outrepassent les limites d’Allah.
L'adolescent se défend
Devant les enquêteurs, le jeune homme, déjà connu des services de police selon Le Télégramme, aurait admis que ses partages pouvaient être perçus comme des faits d’apologie du terrorisme , tout en indiquant ne pas être en contact avec des personnes violentes. Il a par ailleurs assuré ne pas projeter d’attaques contre la France ou quiconque relevant d’une autre confession religieuse que la sienne.
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L’adolescent sera convoqué le 5 avril 2024 devant le tribunal pour enfants de Brest. Il a, par ailleurs, été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de s’absenter de son domicile – entre 18 heures et 8 heures – dans l'attente de son jugement.
Brest : Un mineur de 16 ans qui relayait des vidéos de propagande terroriste sur les réseaux interpellé
Il était suivi par 2.759 abonnés sur TikTok et 97 followers sur Instagram. Sur ses comptes, un adolescent de 16 ans vivant à Brest avait pris l’habitude de relayer des messages de propagande islamiste. Il avait notamment publié une vidéo dans laquelle plusieurs combattants armés récitaient des chants religieux incitant « à tuer les ennemis » ou un prêche audio de Faris Al-Zahrani, l’un des stratèges d’Al-Qaida décédé en 2016, dans lequel le théoricien mettait en garde les musulmans contre ceux « qui outrepassent les limites d’Allah. »
Déjà connu de la justice, le mineur a été interpellé mardi et placé en garde à vue, a-t-on appris auprès du parquet de la ville. Devant les enquêteurs, il a admis « que ses diffusions pouvaient être perçues comme des faits d’apologie », souligne Camille Miansoni, procureur de la République de Brest. Mais il a nié en revanche « être en contact avec des personnes violentes » ou « projeter des attaques contre l’État français ou toute autre personne relevant d’une autre religion que la sienne. »
Il sera convoqué le 5 avril devant le tribunal pour enfants pour apologie du terrorisme. Dans l’attente du jugement, l’adolescent a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de sortir de chez lui entre 18 heures et 8 heures. Il devra également se soumettre à un traitement médical « notamment aux fins de désintoxication », précise le parquet.
Tribunal de Brest : un homme relaxé pour « apologie publique d’un acte terroriste »
Poursuivi pour « apologie publique d’un acte terroriste », un Afghan de 27 ans a été relaxé, ce mardi 22 novembre 2023, par le tribunal de Brest, vu son « état d’alcoolisation » au moment des faits.
Le délit d'« apologie publique d’un acte terroriste » est une très grave infraction depuis bien des attentats. C’est la qualification des actes reprochés à l’homme de 27 ans qui est dans le box, ce mardi 21 novembre 2023, à l’audience des comparutions immédiates. Les faits commis le 15 novembre 2023 à Brest justifiaient, selon le parquet, cette procédure d’urgence.
https://www.tribunejuive.info/2017/06/21/brest-quatre-mois-de-prison-pour-apologie-du-terrorisme/
Brest : Quatre mois de prison pour apologie du terrorisme
À Brest, deux femmes ont été condamnées pour avoir diffusé des images à caractère djihadiste sur Facebook. Elles ont nié toute idéologie terroriste.
« Je suis une guerrière qui mange des Chocapic devant sa télé. » Devant le tribunal correctionnel de Brest, la prévenue brestoise ne semble pas comprendre la raison de sa présence. Jugée lundi pour apologie du terrorisme, la trentenaire dément toute adhésion aux actes terroristes perpétrés par l’État islamique.
« Les attentats sont une tragédie. Bien sûr que je suis contre ! » affirme-t-elle, tentant de convaincre les juges de sa bonne foi. De foi, il est largement question pendant les trois heures d’audience. Car si la Costarmoricaine installée à Brest depuis dix-sept ans est aujourd’hui à la barre, c’est parce qu’elle a publié des contenus considérés comme apologiques du terrorisme sur le réseau social Facebook.
Assignée à résidence en 2015
Oui, elle aimerait un état « dirigé par les lois d’Allah ». Oui, elle pense que les « Occidentaux », et la France surtout, sont « aussi des terroristes qui massacrent des civils ». Que les musulmans sont systématiquement « victimes d’amalgames les assimilant à des terroristes ».
Mais non, elle n’a « jamais voulu appeler au meurtre de croisés ». En publiant l’image d’un soldat brandissant une épée et arborant le logo de l’État islamique, la prévenue voulait partager l’image d’un « civil qui se bat pour sa terre ».
« Vous êtes au courant que l’État islamique est une organisation terroriste ? » lui lance la présidente Mathilde Panattoni. Un groupe pour qui la jeune femme « fragilisée, isolée et vivant à travers son clavier » constitue « le profil idéal ». Une « proie » déjà assignée à résidence en 2015 pour avoir publié des vidéos de décapitations…
La Brestoise a été condamnée à huit mois de prison, dont quatre avec sursis. Une jeune Perpignanaise jugée pour complicité a elle écopé d’un mois de prison ferme. Elle avait créé une adresse email utilisée par la Bretonne pour créer un compte Facebook. Compte sur lequel elle avait partagé des contenus à caractère djihadiste.
https://www.breizh-info.com/2017/07/29/74647/brest-jeune-interpelle-apologie-terrorisme-islamique/
Brest : l'homme jugé pour apologie du terrorisme condamné à 4 mois de prison ferme
Fin juillet dernier, un homme de 24 ans était interpellé à Brest pour apologie du terrorisme, notamment via les réseaux sociaux. Il a demandé le renvoi de son procès pour préparer sa défense, lequel se tenait ce 1er septembre. Il a été condamné à quatre mois de prison ferme.
Le procès d'un jeune homme de 24 ans se tenait au tribunal
correctionnel de Brest ce 1er septembre. Il était jugé pour apologie du
terrorisme et avait été interpellé fin juillet dernier. À ce moment-là
il avait demandé le renvoi du procès, pour préparer sa défense. Il a finalement été condamné à 4 mois de prison ferme, et deux ans de suivi socio-judiciaire. Le
procureur avait au départ requis six mois de prison ferme et cinq ans
de suivi socio-judiciaire. Il a été relaxé du chef d'accusation de
consultation habituelle de sites à caractère djihadiste.
On lui reprochait en effet d'avoir diffusé de nombreux messages sur des sites internet et via les réseaux sociaux. L'avocat de la défense plaidait la relaxe pour manque de preuves de la commission des deux infractions retenues.
Rappel des faits
Brest: quatre mois ferme pour apologie du terrorisme
Un jeune homme de 24 ans a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Brest à une peine d'emprisonnement de quatre mois ferme pour apologie du terrorisme.
Poursuivi également pour consultation habituelle de sites prônant le djihad, le prévenu a été relaxé de ces faits, son avocat plaidant qu'il n'était pas possible de dater ces consultations.
Le jeune Brestois, qui dit s'être converti à l'islam il y a trois ans, a dit au cours de son procès s'être rendu sur internet pour se faire sa propre idée de l'islam.
"Comme je débute dans l'islam, je regarde un peu tout et n'importe quoi", a-t-il affirmé, disant "condamner" les attentats et les égorgements mis en scène par le groupe Etat islamique dans les vidéos consultées et partagées sur internet.
"Vous saviez ce que vous diffusiez et vous en êtes même fier", lui a répondu le vice-procureur de la République Emmanuel Phelippeau, pointant du doigt son "sourire en coin". "Vous vous comportez comme un relais de cette idéologie depuis des mois", a-t-il poursuivi, avant de requérir une peine d'emprisonnement de six mois ferme et cinq ans de suivi socio-judiciaire.
Le prévenu, qui avait été interpellé fin juillet à son domicile et incarcéré dans la foulée, a été condamné à quatre mois de prison ferme et deux ans de suivi socio-judiciaire.
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