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mardi 30 avril 2024

Des filles musulmanes se retiennent d'être trop bonnes à l'école...

 

 

Des Françaises de souche absolument pas musulmanes aussi !!!

Avoir de bonnes notes à l'école, c'est mal vu partout en France, surtout là où dominent les extrême-gauchistes, quasiment tous des matérialistes à l'extrême, particulièrement avides et jaloux, très agressifs, comme on le voit bien en ce moment, également excessivement pervers, et c'est vraiment très français, ce n'est pas dans la culture anglo-saxonne, par exemple.

Ainsi donc, moi aussi, à Brest dans les années 1970, après avoir vécu quatre années de calvaire toujours en tête de classe au collège, me suis-je bien un peu cachée : j'avais profité du changement d'établissement et d'environnement occasionné par le passage en seconde (C à l'époque) pour me fondre dans la masse avec des notes tout juste moyennes (sauf en français, et d'autres matières littéraires que je n'ai jamais sacrifiées, mais à ce niveau-là cela ne dérangeait plus personne, la tension ne portant plus, pratiquement, que sur les mathématiques, et je me suis même amusée en seconde à revenir participer aux cours de latin après avoir eu un "A, très bon travail" en appréciation avec le prof, alors que je n'étais pas inscrite en latin mais en grec, et que celui-là qui nous faisait français et latin ne m'avait jamais vue qu'en français...). Cela a duré deux ans, les années de seconde et première. Résultat : super cool, j'avais plein de copines et copains et me marrais bien. Exit le harcèlement scolaire ! Ne restaient plus que les professeurs politiquement engagés très à gauche à m'emmerder ou me persécuter (et mes camarades de classe me voyaient bien persécutée par eux injustement ou sans aucune raison et en étaient stupéfaits).

En terminale, année du bac, je me suis dit que c'était sérieux et qu'il me fallait me remettre à travailler un peu. Résultat : remontée des notes en flèche, atteignant de nouveau le plus haut niveau, et en parallèle, bien évidemment, grosse déception avec les copines dont le cercle s'était réduit à peau de chagrin...

Et je ne dis pas ce que j'ai subi par la suite en prépa, toujours à cause de mes bonnes notes, ou de ma faculté à être toujours la seule à savoir résoudre certains problèmes, personne ne me croirait.

A titre de rappel, pour l'édification des foules, voir ici un aperçu des procès tous plus hallucinants les uns que les autres que me font la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses divers complices :

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/olivier-cuzon-au-media.html

Les Brestois n'ont pas oublié qu'autrefois j'étais bien toujours la meilleure... ce qu'ils ne m'ont jamais pardonné... pas plus qu'ils n'ont ensuite toléré mes résultats dans le domaine professionnel... surtout lorsque dans le cadre d'opérations de harcèlement moral en entreprise auxquelles ils participaient autant qu'ils pouvaient je me voyais confier des missions dites impossibles...

 

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