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samedi 1 juillet 2023

Violences urbaines : net recul la nuit dernière

Hier, les chefs religieux avaient appelé au calme (voir ci-dessous). Il semble qu'ils aient été suivis.

Les violences résiduelles pourraient donc être principalement ou exclusivement le fait des criminels prétendument insurrectionnels du NPA ou de LFI. 

C'est assez limpide à Brest où le fait principal a été l'incendie d'un restaurant, un fast-food, le KFC Iroise.

Pourquoi celui-là qui ne se trouve pas sur une voie passante alors que, par exemple, le MacDo Iroise implanté dans le même secteur des alentours du Carrefour Iroise est au contraire très en vue ?

Très probablement parce qu'il se trouve à proximité immédiate d'un ensemble de cabinets médicaux où je suis suivie par des spécialistes qui bien évidemment n'ont jamais été favorables à l'internement psychiatrique que le malade mental et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi continue à exiger à mon encontre.

Rappelons donc quelle fut encore sa menace du 26 juin dernier, concernant mes dossiers médicaux, que ses complices de la LCR de Brest avaient déjà intégralement en 2004 :

http://satanistique.blogspot.com/2023/06/apres-singapour-hong-kong.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/06/636-consultations-de-hong-kong-hier.html

Et précédemment la fête d'Annecy, annonçant une nouvelle procédure entièrement pilotée par le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dans le but d'obtenir mon internement "à vie" en psychiatrie (une vie forcément très courte, vu que je ne tolère plus de très nombreux médicaments dont les psychotropes depuis un empoisonnement criminel dont j'ai été victime au début du printemps 2002, avant l'attentat de Karachi du 8 mai 2002) :

http://satanistique.blogspot.com/2023/06/lattaque-dannecy-du-8-juin-2023.html

Toute cette bande de criminels qui en 2009 avaient déjà organisé l'assassinat de Jean-Jacques Le Page à Plougonvelin contre mon médecin traitant après l'avoir abondamment calomnié sur le site Le Post durant tout le printemps 2009 du fait qu'il ne m'avait jamais diagnostiquée malade mentale, bien au contraire (il faisait partie de ceux qui, à cette époque, m'avaient déjà délivré un certificat de bonne santé mentale), semblent donc, à nouveau, en train de menacer mes médecins.

A cet effet, ils ont pris pour prétexte les évènements du 27 juin 2023 à Nanterre ayant conduit à la mort du jeune Nahel. 

A ce stade, je ne vois pas très bien comment ces faits pourraient résulter d'un coup monté annoncé par la menace de la veille, 26 juin 2023, il faudrait carrément imaginer une complicité entre les policiers et le jeune Nahel lui-même, du genre : tu fais ci, ça, ça, et on va rigoler... et en bout de course il a été tué.

Mais après tout, pourquoi pas, on a déjà eu une attaque assez hallucinante et peut-être du même ordre à Brest le 27 juin 2019, soit quatre ans plus tôt jour pour jour. 

C'était celle du Lyonnais Karl Foyer qui avait laissé une lettre d'explications qualifiée à l'époque de "délirante" et avait été retrouvé mort à Guipavas.

On reste quand même médusé par la rapidité de l'ensemble des réactions à ce décès du jeune Nahel mardi dernier à Nanterre, comme si elles avaient pu être préparées avant. Même la mère du décédé a des attitudes très surprenantes.

Par ailleurs, la Mercedes jaune ne passait pas du tout inaperçue et a emprunté des rues que je connais très bien pour avoir travaillé là dans les années 1990 - vous savez, un de ces emplois d'ingénieur d'études en informatique très pointus que je n'aurais jamais eus selon les criminels qui tentent encore de me faire interner et leurs complices magistrats ultra CORROMPUS du TJ de Brest, auteurs de plusieurs faux criminels à ce sujet.


 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/mort-de-nahel-une-troisieme-nuit-de-violences-a-brest-un-kfc-incendie-8332823

Mort de Nahel : une troisième nuit plus calme à Brest, malgré un KFC incendié et 5 interpellations

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La nuit de vendredi à samedi a été plus calme, à Brest, malgré des incidents et des violences, comme un peu partout en France, après la mort de Nahel à Nanterre, en région parisienne mardi, l'adolescent a été tué par un policier. Neuf individus ont été interpellés.

 

 Le KFC Brest Iroise a été incendiéLe KFC Brest Iroise a été incendié © Radio France - Astrid Maigné-Carn

 

La nuit de vendredi à samedi a été plus calme, à Brest. Depuis mercredi soir, des individus allument des incendies et dégradent - voire pillent - des bâtiments publics et des commerces.

Dans la nuit de vendredi à samedi, c'est le restaurant KFC de la zone Carrefour Iroise qui a été incendié. C'est le plus important dommage à déplorer, deux commerces ont été vandalisés, quelques feux allumés.

Rien à voir avec la situation dans la nuit de jeudi à vendredi, 80 interventions alors contre 10 la nuit dernière.

Selon la préfecture du Finistère, cinq individus ont été interpellés. Selon Yohann Nédélec, adjoint au maire en charge de la tranquillité urbaine et du centre-ville, quelques tirs de mortier ont eu lieu notamment dans les quartiers de Pontanézen et Bellevue.

156 policiers, gendarmes et pompiers ont été déployés, face à des individus en moins grand nombre dans le centre-ville.

 

 Le KFC a été incendié à Brest sur la zone Carrefour IroiseLe KFC a été incendié à Brest sur la zone Carrefour Iroise © Radio France - Astrid Maigné-Carn

 

Ces violences interviennent après la mort de Nahel, 17 ans, mardi en région parisienne. Au volant d'une voiture, l'adolescent a été abattu par un policier à la suite d'un contrôle routier.

"Vols crapuleux"

Pour le préfet du Finistère,  ce sont "des violences inadmissibles qui instrumentalisent l'actualité pour s'attaquer aux forces de l'ordre et couvrir des vols crapuleux."

Le ministère de l'Intérieur avait interdit toute circulation en France des bus et tramways après 21 heures ce vendredi soir, après la réunion d'une cellule interministérielle de crise.

Troisième nuit de violences à Brest

Dans la nuit de mercredi à jeudi, les violences ont frappé essentiellement Pontanézen : voitures brûlées, magasin bio dévasté par un incendie, mairie annexe dégradée...

Dans la nuit de jeudi à vendredi, près de 300 individus selon la préfecture du Finistère, se sont retrouvés au centre-ville pour dégrader du mobilier urbain, notamment quatre abribus, et pillé la boutique de doudounes Jott et une supérette. La boutique Lacoste a aussi été visée.

Le centre social de Kerourien a été incendié, son local de Brest métropole habitat, mais aussi la mairie annexe et le poste de police de Bellevue ont été dégradés. A Saint-Pierre, une salle de sport a été ravagée par les flammes, la plaine de jeux pour enfants au sous-sol est inutilisable à cause de l'eau utilisée pour éteindre le feu.

Les pompiers sont intervenus plus de 80 fois durant cette nuit.


 

https://www.radiofrance.fr/franceinter/emeutes-malgre-des-violences-d-une-plus-faible-intensite-994-interpellations-la-nuit-derniere-en-france-3665420

Émeutes : malgré des violences "d'une plus faible intensité", 1 311 interpellations la nuit dernière en France

 
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La nuit de vendredi à samedi a été très tendue à Lyon.
La nuit de vendredi à samedi a été très tendue à Lyon.
© AFP - JEFF PACHOUD

 

Même si selon le ministère de l'Intérieur, les violences ont été d'une "plus faible intensité", la situation a été tendue la nuit dernière dans plusieurs villes du pays, notamment à Marseille et Lyon, suite à la mort de Nahel à Nanterre. Plus de 1 300 interpellations ont été recensées en France.

La situation a une nouvelle fois été tendue la nuit dernière dans certaines villes de France, quatre jours après la mort de Nahel, 17 ans, à la suite d'un contrôle routier à Nanterre. D'après le dernier bilan du ministère de l'Intérieur, quelque 1.311 personnes ont été interpellées, 79 policiers et gendarmes ont été blessés (contre 249 la nuit précédente), 1 350 véhicules ont été incendiés, 266 bâtiments ont été incendiés ou dégradés (dont 26 mairies, 24 écoles et 5 établissements de justice) et 2.560 incendies ont été comptabilisés sur la voie publique (contre 3 880 la nuit précédente).

Mais ce n'est pas tout. On est également été recensés :  31 attaques de commissariats, 16 attaques de postes de police municipales et 11 casernes de gendarmerie. Des chiffres en baisse par rapport à la nuit de jeudi à vendredi. Le ministère de l'Intérieur précise d'ailleurs que "les violences commises cette nuit ont été d’une plus faible intensité en comparaison à la nuit précédente".

Pillages de commerces et affrontements avec les forces de l'ordre

Cependant, dans certaines villes, la soirée et la nuit dernière ont été très agitées. Marseille par exemple a été à nouveau le théâtre de heurts et de scènes de pillages, du centre-ville puis plus au nord dans ces quartiers populaires longtemps laissés pour compte que le président Emmanuel Macron a visités en début de semaine. Selon France Bleu Provence, une armurerie a été pillée en centre-ville et quatre fusils ont été dérobés, mais aucune munition n'a été volée.

La préfecture de police des Bouches-du-Rhône annonce que 95 interpellations ont eu lieu et que 31 policiers ont été légèrement blessés. Il y a eu de "nombreux magasins pillés", précise la préfecture de police et le magasin Aldi des Flamants, dans le 14e arrondissement de la ville, a été incendié. La situation est restée "assez calme" dans le reste du département, avec quelques interpellations.

Des scènes de pillage de commerces et d'affrontements entre manifestants cagoulés et forces de l'ordre ont également enfiévré la soirée dans certains coins de Grenoble, Saint-Etienne et Lyon alors que dans la région ouest, des points de tension comme à Angers ou Tours et sa région, il ne restait en milieu de nuit que quelques groupes très mobiles face aux forces de l'ordre. Près de Lyon, à Vaulx-en-Velin, quatre policiers ont été blessés vendredi soir, par des tirs de fusil à grenaille, selon les informations de franceinfo. Une enquête est ouverte par le parquet de Lyon. Deux policiers souffrent d'hématomes, deux autres ont été touchés par des grenailles, sortes de petites billes d'acier ou  de fer : au nez pour l'un et à la cuisse pour l'autre.

La région parisienne n'a pas été épargnée par les flammes notamment Colombes (Hauts-de-Seine) enveloppée d'une forte odeur de brûlé et où les pompiers éteignaient une voiture en feu, a constaté un journaliste de l'AFP sur place. A Saint-Denis, un centre administratif a été touché par un incendie, et dans le Val-d'Oise, la mairie de Persan-Beaumont et le poste de police municipale se sont embrasés et ont été en partie détruits.

Parmi les autres faits marquants relevés place Beauvau, une crèche a été dégradée à Conflans-Saint-Honorine et un local des Restos du coeur à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines). Des bureaux et véhicules d'Enedis ont par ailleurs été brûlés à Nanterre, où est mort Nahel, 17 ans. Une tentative d'intrusion a eu lieu dans les locaux de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), situés à Nanterre. La préfecture de police de Paris annonce de son côté que 120 personnes ont été interpellées, contre 400 dans la nuit de jeudi à vendredi. Dans le détail, 15 personnes ont été arrêtées pour avoir tenté de s'introduire dans un magasin d'électroménager. Neuf individus " porteurs de jerrican et cocktail Molotov " ont été interpellés à Nanterre.

En Côte d'Or, neuf personnes ont été interpellées à Dijon et Beaune, et 16 voitures ont été incendiées et une boulangerie a été vandalisée à Beaune. Des violences se sont également produites à Mâcon, Sens, Auxerre, Saint-Florentin, Joigny, Migennes et Tonnerre, ou encore à Albertville et Chambéry en Savoie. Dans l'Yonne, "plusieurs commissariats et brigades de gendarmerie ont été pris pour cible sans que des dégâts importants ne soient occasionnés". À Saint-Florentin, un magasin de bricolage a été incendié.

En Ardèche, les violences ont également affecté plusieurs communes dont Privas, où un camion du bailleur social Ardèche Habitat a été incendié, Annonay où 12 véhicules ont été brûlés. Les forces de l'ordre ont répliqué par des tirs de LBD et des lacrymogènes. Le procureur de la République a été saisi.

Dans la Sarthe, les heurts se sont concentrés sur les secteurs d'Allonnes, Coulaines et le Mans, avec 38 interpellations et 34 gardes à vue, d'après un bilan de la préfecture. En Vendée, des heurts et des dégradations ont également eu lieu à La-Roche-sur-Yon. En Seine-Maritime, "l'action de 280 policiers et gendarmes et de 360 sapeurs-pompiers engagés sur cette période a permis de contenir les risques pour les personnes et les biens et d'enregistrer un bilan moins lourd que la nuit précédente", selon la préfecture. Même son de cloche dans le Finistère : "les violences urbaines, à l'instar du niveau national, se sont poursuivies cette nuit à Brest, mais ont été en nette décrue", selon un communiqué de la préfecture du Finistère samedi matin.

45 000 policiers et gendarmes étaient mobilisés

Afin de tenter d'enrayer la spirale des émeutes, Gérald Darmanin avait annoncé vendredi dans l'après-midi, à l'issue d'un deuxième comité interministériel de crise en deux jours, la mobilisation "exceptionnelle" de 45.000 policiers et gendarmes et unités d'élite comme le GIGN.

Des dizaines de fourgons de policiers étaient ainsi positionnés non loin de l'entrée du quartier du Vieux pont à Nanterre, épicentre des violences urbaines et rythmé vendredi encore par des tirs de mortiers d'artifice. De leur côté, les joueurs de l'équipe de France de football ont envoyé dans la soirée un "appel à l'apaisement, à la prise de conscience et à la responsabilisation". "Le temps de la violence doit cesser pour laisser place à celui du deuil, du dialogue et de la reconstruction", ont exhorté les Bleus.


 

https://www.bfmtv.com/police-justice/violences-urbaines-apres-la-mort-de-nahel-appel-au-calme-commun-des-responsables-religieux_AN-202306300801.html#xtor=AL-68

Violences urbaines après la mort de Nahel: appel au calme commun des responsables religieux

 
Théo Putavy
Des CRS à Nanterre le 29 juin 2023, face aux émeutes qui ont éclaté après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier

Des CRS à Nanterre le 29 juin 2023, face aux émeutes qui ont éclaté après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier - Zakaria ABDELKAFI / AFP

 
Des responsables musulmans, chrétiens, juifs ou encore bouddhistes ont demandé à ce que les violences urbaines cessent, trois jours après la mort de Nahel à Nanterre, tué par un tir de policier.

"L'apaisement pour la vérité et la justice." Alors qu'une quatrième nuit de violences urbaines après la mort mardi à Nanterre de Nahel, tué par un tir de policier, est redoutée par les autorités, les responsables des principales religions ont appelé au calme, tout en demandant que justice soit faite.

"Nous partageons la douleur de la famille de Nahel et prions pour elle, tout spécialement pour sa maman" et "nous entendons les souffrances et les colères qui s'expriment", mais "nous affirmons aussi d'une seule voix que la violence n'est jamais un bon chemin", ont-ils écrit dans un communiqué.

"Si l'incompréhension, la douleur et la colère sont légitimes à la suite d'un tel drame, la Grande Mosquée de Paris appelle en particulier les jeunes à ne pas réagir par la violence", avait déjà lancé jeudi Chems-eddine Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris.


Il avait poursuivi: "Elle les invite à faire entendre leur voix et à se mobiliser pacifiquement pour que la mémoire de Nahel soit respectée et pour que la justice soit rendue."

Des messages dans toute la France

Ce vendredi, Chem-eddine Hafiz a indiqué que, "à l'occasion de la grande prière", toutes les mosquées de France ont transmis "ce message au cours de leurs prêches".

C'est le cas dans la mosquée Averroès de La Paillade à Montpellier. Les responsables de l'établissement religieux ont appelé au calme après les violences survenues dans le quartier jeudi, ont rapporté nos confrères de Midi Libre.

Émeutes après la mort de Nahel: quelle responsabilité des réseaux sociaux?
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3:38

De son côté, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a publié un communiqué jeudi dans lequel il déplore les débordements des précédents jours. "Le CFCM condamne également la violence intolérable des émeutiers et des casseurs qui s'en prennent aux biens publics et privés et dont les premières victimes sont les citoyens que nous sommes", a développé le conseil.

Le CFCM a aussi demandé à ne pas "jeter l'opprobre sur l'ensemble des femmes et des hommes qui assurent notre sécurité et celle de notre pays au risque de leur vie", même si, son président, Abdallah Zekri, a déploré auprès de Midi Libre "le fait qu'il y ait beaucoup de contrôles au faciès de jeunes".

"Dans ces moments difficiles", les membres de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF) ont aussi appelé "à la sauvegarde et la consolidation du lien de confiance nécessaire entre la population et les forces de l'ordre qui ont tant donné lors des épreuves que notre pays a traversées".

Théo Putavy

 

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