Rappelons donc que harcèlement sexuel et harcèlement moral sont souvent associés, qu'il s'agisse de casser une salariée qui dérange avec du harcèlement sexuel, ou que celui-ci, primitif, ne génère aussi du harcèlement moral, d'emblée ou de façon secondaire.
Et dans tous les cas, les femmes que l'on voit alors hurler avec les loups, telles la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ou la juge d'instruction Céline Verdier du TJ de Brest, ne sont toujours que des putes, comme je l'explique et le réexplique quotidiennement sur ce blog depuis très longtemps.
En effet, celles-là ne peuvent s'accepter comme elles sont que si les autres couchent aussi. Ce sont donc toujours de ces femmes-là que l'on voit s'acharner sur les victimes de harcèlement sexuel ou d'autres violences à caractère sexiste ou sexuel.
N.B. : Il va de soi que l'utilisation du mot "pute" n'est pas chez moi très naturelle. Cependant, j'insiste, car le phénomène que je décris là est bien réel et qu'il convient de ne surtout pas l'ignorer, mais de l'identifier et de le reconnaître au chapitre des violences faites aux femmes : y participent bien de ces femmes perverses narcissiques, dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest est un fort bel exemple, comme l'est aussi Ghislaine Maxwell.
De plus, leur emploi à leur profit par les pervers, pédophiles, violeurs et autres, s'est systématisé grâce à des formations ouvertes aux demi-cerveaux titulaires du demi-bac littéraire comme Sciences Po Bordeaux dont on sait maintenant sans plus aucun doute à ce sujet qu'elles ont en fait pour but de sélectionner des putes pour toutes les carrières accessibles à l'issue de quelques années de coucheries dans de telles écoles.
Ainsi une telle formation préalable à l'entrée à l'ENM apparaît-elle aujourd'hui comme l'une des meilleures garanties qui soient pour pouvoir exercer comme juge des enfants dès son premier poste de magistrat et rempiler dans cette fonction pour un bel avancement de carrière - cas de Céline Verdier, qui a fait du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi un Dieu vivant ayant absolument tous les droits, notamment celui d'organiser des attentats terroristes islamistes ou "islamigrés" uniquement pour manifester sa très grande joie à chacune de ses avancées dans sa lutte contre l'Etat français, ses armées et leur chef, auxquels je suis toujours assimilée dans l'esprit de ce malade mental extrêmement dangereux depuis le tout début de ses harcèlements démentiels à mon encontre en 2008, compte tenu de mon rôle passé sur des projets classés de la Défense nationale.
En effet, depuis le début, ce pédophile, cybercriminel et psychopathe notoire m'attaque bien pour attaquer l'Etat ou son chef, il l'a toujours dit, il l'a maintes fois répété publiquement, et il est totalement sûr de son fait, car il a toujours été "renseigné" à mon sujet par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui participait déjà à tous les harcèlements dont j'étais victime alors que je travaillais sur un de ces projets dans les années 1990.
Du coup, chacune de ses avancées contre moi constitue bien dans son esprit malade une avancée dans sa lutte contre l'Etat français, qu'il cherche à anéantir à tout jamais pour s'en venger, parce que son système éducatif n'a jamais reconnu son prétendu "génie littéraire". D'où toutes ses fêtes islamistes ou "islamigrées" suivant toujours très exactement le calendrier de toutes ses procédures abusives ou celles de ses complices à mon encontre.
Voilà où on en arrive avec des putes comme Céline Verdier qui s'acharnent des années durant sur des femmes ingénieures ou scientifiques qui comme moi refusent catégoriquement de se prostituer, car contrairement à elles, celles-ci n'ont jamais eu besoin de coucher pour obtenir leurs diplômes et postes, vu qu'elles sont dotées de cerveaux entiers.
Bien sûr, ce n'est pas la seule ni la première des magistrats brestois à tenter de me contraindre à la prostitution par tous les moyens, mais celle-là est quand même particulièrement violente, puisqu'elle me fait harceler et tous mes proches avec moi par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de cybercriminels au moins depuis le premier attentat islamiste qu'ils avaient organisé tous ensemble en mars 2012, tout en cherchant à me faire condamner par tous les moyens à payer 10000,00 € d'amende par-ci ou par-là, des sommes aussi folles en guise de dédommagements pour ces pauvres cyberharceleurs et assassins notoires dont je tente vainement de faire cesser tous les crimes et délits, et encore plusieurs fois cette somme délirante de 10000,00 € d'honoraires d'avocats parfaitement inutiles ou injustifiés (je ne fais pas le total, c'est monstrueux), sachant qu'elle me fait bien harceler pour m'empêcher de travailler et bénéficier d'un quelconque salaire. Elle veut absolument me contraindre à la prostitution et n'a jamais lésiné sur les moyens pour y parvenir, comme le savent bien ceux de mes avocats qui eux aussi ont eu à se plaindre de ses harcèlements démentiels me concernant : elle leur interdit à tous de me défendre et leur demande systématiquement de me faire payer très cher pour rien, en conséquence de quoi, celle qui régulièrement lui met une claque en appel à Rennes en faisant annuler ou infirmer des décisions scandaleuses dont elle est l'auteure, la commanditaire ou l'instigatrice, c'est moi seule, sans l'aide d'aucun avocat, d'où ses délires récurrents sur de soi-disant "passe-droits" dont je bénéficierais à Rennes, alors qu'en réalité elle ment constamment et n'a jamais fait de droit en tout ce qui me concerne, elle s'assoit sur toutes les lois de la République. Et comme elle ne peut pas le reconnaître, elle me fait aussi traiter de débile mentale par sa greffière, alors que je suis manifestement bien meilleure qu'elle en droit.
Elle a certes des pouvoirs que je n'ai pas, mais n'a jamais eu et n'aura jamais mon intelligence et me hait pour cette raison. Tout comme sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, elle aussi titulaire du demi-bac littéraire, obtenu de même à l'issue de toute une scolarité dans des établissements privés catholiques parmi les plus huppés - cette dernière a ensuite fait une licence de droit en fac, à Brest.
La moitié des femmes scientifiques victime de harcèlement sexuel
Une femme scientifique sur deux dans le monde a été victime de harcèlement sexuel sur son lieu de travail au cours de sa carrière, révèle un sondage international Ipsos pour la Fondation L'Oréal publié ce jeudi. Selon cette consultation d'environ 5000 chercheurs et chercheuses dans 117 pays, dont la France, 49% des femmes scientifiques disent avoir été «personnellement confrontées à au moins une situation de harcèlement sexuel au cours de leur carrière». Dont près de la moitié après l'émergence du mouvement #MeToo en 2017.
Pour 65% d'entre elles, ces situations ont eu un impact négatif sur leurs carrières, sur les cinq continents. Pourtant seulement une victime sur cinq l'a signalé au sein de son institution, détaille ce sondage mené dans les domaines de la science (hors sciences sociales), de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques, au sein de 50 institutions publiques et privées.
Impact négatif sur le parcours scientifique
Plusieurs situations sont décrites: 25% témoignent de personnes s'adressant à elles «de manière inappropriée et répétée», avec des surnoms («poupée», «bébé», «minette», «nana»...) ou des insultes; 24% rapportent des «questions intrusives et répétées» sur leur vie privée ou sexuelle qui les «mettent mal à l'aise». Une majorité des faits se sont produits en début de carrière. Conséquence: un impact négatif sur les parcours scientifiques, 52% des victimes disant avoir «évité certains membres du personnel», 25% s'être senties «en danger sur leur lieu de travail».
64% des scientifiques interrogés (femmes et hommes) regrettent l'insuffisance des actions pour lutter contre le harcèlement sexuel au travail. «Cette enquête confirme que la science n'a pas fait suffisamment sa révolution depuis le mouvement #MeToo», a commenté auprès de l'AFP Alexandra Palt, directrice générale de la Fondation L'Oréal.
«Politique zéro tolérance»
La Fondation, qui soutient avec l'Unesco les carrières des femmes scientifiques dans le monde, appelle les institutions à «prendre leurs responsabilités et à faire évoluer les comportements». Elle prône une «politique zéro tolérance» et un «engagement budgétaire». «Il faut un dispositif de signalement interne efficace et transparent», a estimé Alexandra Palt.
Seulement 33% des chercheurs en sciences sont des femmes dans le monde et moins de 4% reçoivent des prix Nobel, rappelle la Fondation. «Si on veut pleinement valoriser le potentiel des femmes dans la recherche il faut qu'elles se sentent en sécurité», a plaidé Mme Palt. L'étude a été conduite par l'institut Ipsos selon la méthode de la consultation, du 26 juillet au 16 septembre 2022.
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