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vendredi 24 mars 2023

Des attentats islamistes pour des bouquins ?

Eh oui, c'est bien ça le scénar depuis le début, ou au moins, c'en est un élément constitutif non négligeable. En effet, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi est "obligé" d'écrire des bouquins, car ce serait son métier, dit-il, et je l'en empêche pour celui qui me concerne, une version entièrement fausse de ma biographie dont il avait jeté les bases sur son blog Tique Toc au cours de l'été 2010, sous la dictée de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest. D'où tous leurs procès à mon encontre, après que j'eus publié des droits de réponse dans lesquels je démentais toutes leurs inventions calomnieuses me concernant et rectifiais a minima tout ce qu'ils "révélaient" au public à mon sujet depuis le 19 juin 2010. Ma biographie en a toujours été l'objet essentiel, la version entièrement fausse que veut absolument en publier le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi étant censée lui procurer enfin gloire et richesse.

Quant à l'ami d'Yvan Colonna Michel Ucciani, il a eu l'audace de lui couper l'herbe sous les pieds en écrivant lui-même sa biographie, qui a été publiée le 5 mars 2020.

La vidéo de revendication de l'attentat de Charlie Hebdo par Amedy Coulibaly comportait bien cette dimension "littéraire", comme l'avait relevé de manière détaillée Alexis Kropotkine, auteur du Greffier Noir, dès le mois de mars 2015 :

https://www.greffiernoir.com/attentats-contre-charlie-hebdo-une-creature-de-reve-de-phighsmith-dans-la-video-de-revendication-avec-pennac-et-nothomb

Extrait :

Bouc-émissaires, avatars et assassins

Un personnage de Daniel Pennac affirme que lorsqu'un «un homme se fait abattre en présentant son dernier roman à un public innombrable, la moindre des choses est de lire le roman en question » (page 398). Bien entendu, Amedy Coulibaly n'a pas écrit les livres qu'il met en scène, mais le bouc-émissaire de La petite marchande de prose, lui non plus, n'a pas écrit ceux pour lesquels il se fera finalement abattre.

La petite marchande de prose conte l'histoire de Benjamin Malaussène, bouc-émissaire professionnel pour les éditions du Talion dont le travail consiste à endosser l'identité d'un auteur au succès planétaire pseudo-nommé J.L.B. Alors que la campagne de lancement du dernier J.L.B., Le seigneur des monnaies, bat son plein, Malaussène est victime d'un attentat commis en représailles d'une œuvre dont il ne devait qu'assurer la promotion. Il survivra mais sera démembré, « vidé comme une huître » par les médecins, son foie étant notamment transplanté sur un alcoolique inéluctablement condamné à brève échéance et qui d'ailleurs ne survivra que vingt-quatre heures à la transplantation.
Derrière Malaussène, derrière notre bouc-émissaire, derrière le pseudonyme J.L.B. se cache en réalité l'ancien ministre de l’intérieur Chabotte, fondateur d'une brigade volante motorisée de sinistre réputation, dissoute des années plus tôt, sous la pression des médias et de l'opinion publique, après la mort d'un jeune manifestant maghrébin (6).

Contraint à la retraite, le ministre se consacre, en tout cas le prétend-il, à l’écriture. Nous vous laissons le plaisir de découvrir un autre personnage du roman, M. de Saint-Hiver, directeur de la prison modèle de Champrond.

Dans la "bibliothèque Coulibaly" vient ensuite Une créature de rêve de Patricia Highsmith, un roman qui comme La petite marchande de prose et Hygiène de l'assassin se déroule dans le milieu de l'édition.
Elsie, serveuse habituée des night-clubs, ne « laisse personne indifférent, ni les hommes ni les femmes. Ni Ralph Linderman, un solitaire aigri et puritain qui l’observe en promenant son chien, baptisé Dieu, et se met en tête de la sauver des tentations et du péché. Inquiète, Elsie trouve protection auprès de grands bourgeois new-yorkais ». Mais pour tous ces êtres elle va « représenter une sorte de rêve. De ces rêves qui (…) tournent doucement et implacablement au cauchemar. »(7)
Elsie meurt assassinée dans un « tourbillon de passion sordide », la tête défoncée, vraisemblablement victime de la jalousie d'une déviante sexuelle alcoolique et toxicomane, prénommée Fran.

Un livre semblant répondre à l'autre, Patricia Highsmith est la seule « écrivain femelle » (8) à trouver grâce auprès du personnage principal du roman d’Amélie Nothomb (9), Hygiène de l'assassin, en position légèrement inclinée à la droite de l'écran.

Hygiène de l'assassin restitue le dialogue de 4 journalistes avec Pretextat Tach, prix Nobel de littérature, misogyne, raciste, pervers sexuel, condamné au trépas à brève échéance et dont l’annonce de la mort prochaine tombe un 10 janvier. Sa dernière interlocutrice parvient à lui faire avouer le meurtre, lorsqu’il était adolescent, de sa cousine Léopoldine Planèze de Saint-Sulpice, qu’il refusait de voir devenir adulte. Ce meurtre fournit la trame du seul roman inachevé de cet écrivain prolifique, auteur de 22 ouvrages.

Ainsi, des livres aux thèmes cohérents - tous parlent d'assassins, de boucs-émissaires et d'avatars - ont été disposés selon une séquence apparemment logique, titrée par ses auteurs « Les raisons de l'attaque ».

 

Et voilà qui se référait déjà à ces ouvrages en 2010 sur le blog Tique Toc de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il s'agit de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest :

 


 

A noter : sa bande de cyberceleurs s'attaquait à une cousine d'Amélie Nothomb sur Le Post en 2009, car elle tentait elle aussi de se faire connaître par l'écriture et évoquait publiquement leurs conflits familiaux et personnels.

La perversité de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest est absolument terrible.

M'ayant toujours fait illégalement surveiller et tous mes proches avec moi depuis l'année 1993 au moins grâce à toutes ses complicités dans la fonction publique, notamment chez France Télécom et La Poste, elle se prend pour le ministre de l'Intérieur et se fout de la gueule du Benjamin Malaussène qu'elle a trouvé en la personne du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour assurer la promotion de toutes ses inventions calomnieuses à mon encontre et se faire trouer la peau à sa place. Ce dernier est tellement débile qu'il n'est même pas certain qu'il ait compris. A la même époque, il refusait de croire que ma commentatrice énamourée d'Olivier Besancenot ne sachant même pas aligner deux mots en français était bien la même Josette Brenterch qui s'est aussi toujours bien foutu de la gueule de tous ses camarades de la LCR ou du NPA, qu'en fait elle a toujours "contrôlés" comme elle le dit bien dans ce commentaire du 10 juillet 2010, et il aura vraiment beaucoup de mal à digérer cette supercherie de sa grande copine Josette Brenterch du NPA de Brest du jour où je la révèlerai sans plus aucun doute possible en publiant, très exactement le 25 août 2010 à 14h59, l'adresse IP de ma commentatrice "amnlae", dont il pourra alors vérifier qu'elle était bien la même que celle de sa "chepita". Pour autant, il se présente bien lui-même comme "bouc émissaire" sous prétexte qu'aucun des intéressés n'a jamais apprécié toutes ses publications calomnieuses à leur sujet.

On reconnaît aussi assez facilement en Elsie l'une des images entièrement fausses véhiculées à mon sujet par la même criminelle, qui en fait s'est toujours ingéniée elle-même à transformer en cauchemar toutes mes relations, quand celles-ci ne l'étaient pas d'emblée parce qu'elle m'envoyait me harceler ou m'agresser de ses sbires ou complices.

Si des policiers ont pu retrouver ces quat' bouquins dans la planque d'Amedy Coulibaly, il serait bon qu'ils fassent connaître celui qui reste à ce jour non identifié, car il recèle nécessairement des compléments intéressants pour identifier le ou les commanditaires des attentats, ou confirmer les identités que j'ai toujours données depuis le premier jour.


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