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dimanche 26 mars 2023

De l'intérêt du diagnostic de "schizophrénie" pour les femmes ingénieurs

Deux articles publiés hier et aujourd'hui me permettent d'en faire la démonstration sans me faire encore traiter de tout à propos de tout, chaque mot, chaque phrase.

Il s'agit d'abord du témoignage de Sandra, âgée de 34 ans et diagnostiquée schizophrène à 22 ans, qui parle de sa maladie et de son parcours de malade, mais aussi de la manière dont elle est perçue, selon que les gens sont au courant ou non de sa maladie, et qui l'oblige à garder le secret à ce sujet autant que possible pour éviter d'avoir à pâtir d'une image très négative liée à sa maladie et non à sa personne :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/corse/temoignage-j-etais-convaincue-que-j-allais-bientot-mourir-qu-on-me-poursuivait-sandra-34-ans-souffrant-de-schizophrenie-2740074.html

Déjà, en tant que non malade, mais partout calomniée par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses nombreux complices qui me prétendent toujours malade mentale de manière à m'isoler ou me maintenir dans une situation d'isolement total et discréditer aussi tous mes propos, témoignages et dénonciations, je confirme l'effet produit par ce genre de "révélation" : il est toujours désastreux. Et c'est d'ailleurs bien pour cette raison que tous ceux qui me prétendent malade mentale le font mensongèrement, ils n'ont toujours cherché qu'à me nuire au maximum.

Mas il y a aussi ceci qui est tout aussi capital pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et nombre de ses complices :

"Elle qui rêvait, adolescente, d’une famille nombreuse, se souvient des mots douloureux d’un personnel médical, quelques jours seulement après le diagnostic de sa schizophrénie : "« Il ne faudra pas faire d’enfant madame, ce serait égoïste de votre part. » On a même commencé à me parler de procédure de stérilisation définitive, comme la ligature des trompes, alors que je n’avais rien demandé. C’était très violent, et c’est à partir de ce moment-là que je me suis rendue compte de l’impact que tout cela allait avoir sur ma vie.""

Tous les employeurs de femmes ingénieurs s'intéressent à leur fertilité bien plus qu'à celle des autres femmes du fait qu'elles occupent généralement des postes plus importants, plus personnalisés, et sont aussi mieux payées. Certains n'admettent absolument pas que des congés maternité et une tendance à l'absentéisme liée aux obligations parentales puissent perturber leurs projets, éventuellement leur faire perdre des contrats, et faire chuter la rentabilité de ces bêtes de travail, dont ils ne veulent pas non plus se séparer tant elles leur rapportent. On voit alors de tout : obligation pour la femme ingénieure de se faire stériliser, stérilisation à son insu et naturellement contre son gré à l'occasion d'une autre intervention, par un praticien acheté par l'employeur, etc, etc... Dans ce cadre-là, le faux diagnostic de schizophrénie peut aussi être intéressant, le temps que la stérilisation ait bien été effectuée.

Pour tous les escrocs que l'on peut trouver accrochés aux basques d'une femme ingénieur, cette stérilisation déjà très avantageuse pour son employeur et ses complices se doublera un jour ou l'autre d'un second effet Kiss Cool que je vous laisse découvrir avec l'article ci-dessous, sachant qu'en général les femmes ingénieures n'ont pas été ramassées dans le ruisseau, ni pour faire des études, ni pour occuper des emplois d'ingénieurs, qui par ailleurs leur permettent de bien gagner leur vie, outre qu'elles sont donc susceptibles d'hériter un jour de biens ou de valeurs conséquents ou non négligeables. Et dans ce cadre-là, le faux diagnostic de schizophrénie peut encore s'avérer très intéressant, car il peut permettre aux escrocs de mettre la main sur l'héritage convoité sans trop attendre, par le biais d'une tutelle ou d'un assassinat pur et simple en psychiatrie. 

Enfin, il est bien évident que le faux diagnostic de schizophrénie présente aussi et toujours l'avantage de permettre aux mêmes escrocs de discréditer très facilement les éventuelles dénonciations de malversations ou autres de l'intéressée, qui par son emploi d'ingénieur pour commencer a bien plus de chances ou malchances que d'autres d'avoir à connaître d'escroqueries ou autres exactions diverses et variées dans son milieu professionnel, peut s'en trouver par conséquent victime de harcèlements et de tentatives d'assassinat, et restera de toute façon toute sa vie bien plus que d'autres une cible.


https://www.nouvelobs.com/justice/20230325.OBS71350/un-reseau-de-notables-qui-detournait-des-millions-d-euros-d-heritages-devant-le-tribunal.html

Un réseau de notables qui détournait des millions d’euros d’héritages devant le tribunal


Photo d’illustration d’une plaque d’un office notarial en France, à Paris. (ERIC BERACASSAT / Hans Lucas via AFP)
Photo d’illustration d’une plaque d’un office notarial en France, à Paris. (ERIC BERACASSAT / Hans Lucas via AFP)

Neuf personnes comparaissent pour « escroquerie en bande organisée » à partir de lundi devant le tribunal de Cusset (Allier) pour avoir détourné plus de cinq millions d’euros d’héritages de personnes âgées isolées.

Par L'Obs avec AFP
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Avocat, notaire, responsable de pompes funèbres ou directeur de maison de retraite : neuf personnes comparaissent à partir de lundi devant le tribunal de Cusset (Allier) pour avoir détourné plus de cinq millions d’euros d’héritages de personnes âgées isolées. Les neuf prévenus sont notamment poursuivis pour « escroquerie en bande organisée ».

L’affaire commence en 2015 après la mort à Servilly (Allier) d’un retraité vivant seul depuis la mort de son épouse, sans famille ni proches connus. Un huissier de justice désigné pour procéder à l’inventaire de ses biens avait alors retrouvé un testament dans lequel les époux se léguaient réciproquement leurs propriétés. Mais quelques semaines plus tard, un notaire de Saône-et-Loire, Me Alain Cauvel, attestait qu’un autre testament avait été confié par le défunt à un avocat parisien, Me Georges-Henri Laudran, désignant une légataire libanaise.

Face aux doutes formulés par l’huissier sur l’écriture du testament et l’identité de son auteur, une information judiciaire avait été ouverte pour « faux et usage de faux ». L’enquête, qui a duré plusieurs années, a révélé une dizaine d’autres cas de décès assortis de de détournements de biens entre 2011 et 2015. Cette enquête a surtout permis d’identifier le personnage central et cerveau de l’affaire : Jean-Louis Magnin, 67 ans, un ancien notaire parisien destitué. L’homme avait fondé une société « Direct skyline » qui lui permettait, via un « fichier deuil » de recenser les titulaires de contrats obsèques, avec l’aide d’un généalogiste.

« Il organise le détournement des successions en produisant un faux testament olographe dès qu’il est informé d’un décès et de l’absence d’héritiers réservataires », souligne l’ordonnance de renvoi consultée par l’AFP.

5,6 millions d’euros détournés

Les faux testaments désignaient Jean-Louis Magnin ou ses proches comme légataires universels. L’une des successions comprenait 60 biens distincts, des contrats d’assurance-vie et des produits bancaires à hauteur de 1,1 million d’euros. Les biens immobiliers ainsi détournés étaient revendus « à vil prix » aux proches du patron de « Direct skyline » ou aux membres de sa famille. Le montant total des détournements a été évalué à 5,6 millions d’euros dont 4,7 millions au seul profit de l’ancien notaire, propriétaire de plusieurs biens immobiliers situés dans différentes communes ou arrondissements, mais aussi de chevaux de course et de voitures de luxe.

En même temps, le notable avait affirmé à de nombreuses reprises avoir des problèmes financiers, selon les déclarations des autres prévenus en garde à vue.

« Il apparaît que Jean-Louis Magnin est bien l’instigateur et le dénominateur commun de tous les détournements de successions », selon l’ordonnance de renvoi.

Outre le notaire de Saône-et-Loire, l’avocat parisien et le généalogiste, un chef d’entreprise du BTP, un responsable de pompes funèbres, un directeur d’Ehpad chargé de repérer les pensionnaires sans famille et deux femmes proches de Jean-Louis Magnin seront jugés à ses côtés pour leur implication à des degrés divers.

« Bien que les personnes mises en examen ne soient pas intervenues sur l’ensemble des successions détournées, elles ont toutes agi à la demande de Jean-Louis Magnin au sein d’une organisation structurée »« chacun par intérêt personnel et en raison de sa qualité professionnelle a pu jouer un rôle », selon l’ordonnance de renvoi.

Les prévenus, qui comparaissent jusqu’à vendredi, encourent une peine maximale de 10 ans d’emprisonnement.

Par L'Obs avec AFP

 

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