Il sera à Brest vendredi 27 janvier 2023 pour présenter et dédicacer son dernier livre, sur les paradis fiscaux.
Brest est pour l'heure sa seule étape programmée en Bretagne pour une telle séance, alors qu'il n'a jamais exercé dans cette ville mais à Rennes, et il dit se "radicaliser", comme son ami Denis Robert qui lui aussi s'est radicalement rapproché de la mafia brestoise en 2006, et notamment de la criminelle en chef Josette Brenterch du NPA de Brest, comme on peut le voir très régulièrement sur sa chaîne dite "d'information" dénommée Blast - "Vive Poutou", ce n'est pas vraiment de l'information, mais on en retire bien comme information qu'il s'agit d'une chaîne de propagande pour la mafia la plus dégueulasse que l'on puisse connaître, et par voie de conséquence, la certitude absolue de ne jamais y trouver aucune dénonciation sérieuse de la CORRUPTION en France, laquelle passe quand même, toujours, par la corruption de fonctionnaires et notamment de magistrats.
Et donc, apparemment, l'ancien juge parisien viendrait nous faire une petite colère assez désuète sur le même thème exactement que la conférence-débat du 7 janvier 2005 où, bravant les cris de tout un amphithéâtre d'extrême-gauchistes bien déterminés à me faire taire, j'avais parlé du travail de Denis Robert sur Clearstream, qu'à l'époque je trouvais intéressant, n'ayant pas connaissance qu'un autre journaliste français ait jamais daigné écouter un informaticien, et aussi, bien sûr, de mafias et de corruption de fonctionnaires, puisque la corruption est essentiellement celle-là, comme chacun le sait.
Je me trouvais au coeur de la mafia brestoise qui à l'époque se moquait de Denis Robert, le traitant de fou, tout comme la juge Eva Joly qui elle aussi n'était qu'une folle, ou de rigolo dont le travail était sans intérêt car aussi peu rigoureux que le soutenait Edwy Plenel, grande référence de la LCR de Brest.
Pour cette mafia, les notions de "mafia", "crime organisé", "corruption" et "blanchiment d'argent sale" ne correspondaient de toute façon toujours à aucune réalité française. Pour ses membres, il était même strictement interdit d'en parler, d'où les cris et hurlements montant d'un peu partout dans l'amphi lorsque je m'étais exprimée.
Aujourd'hui, dix-huit ans plus tard, rien n'a changé à Brest, ville mafieuse par excellence, sauf en ce qui concerne Denis Robert qui s'est bien rangé des voitures et n'embête plus personne et surtout pas la mafia brestoise.
Que vient chercher ici son ami Renaud Van Ruymbeke ?
Une approbation pour avoir jadis participé à une manipulation totalement démente pour étouffer une très grosse affaire criminelle avec corruption de magistrats ?
Elle lui est acquise, il n'y a aucun doute à ce sujet, les magistrats brestois sont bien tous CORROMPUS.
Il étaient déjà corrompus dans les années 2000, ils l'ont toujours été depuis le début des années 1990.
Mais ces dernières années, avec leur participation active à tous les attentats islamistes qui ont été commis depuis 2012, ils ont dû battre tous leurs précédents records.
Les paradis fiscaux s'en portent d'autant mieux.
« 8 700 milliards sont cachés dans les paradis fiscaux », rappelle l’ancien juge Van Ruymbeke Réservé aux abonnés
À l’heure où l’argent public est compté, où les citoyens sont priés de se serrer la ceinture et de travailler plus longtemps, le dernier livre de l’ancien juge Renaud Van Ruymbeke rappelle qu’au moins 8 700 milliards de dollars volés aux contribuables dorment dans les paradis fiscaux. « Faute de volonté politique ».
La librairie Dialogues à Brest est, pour le moment, votre seule étape programmée en Bretagne pour présenter et dédicacer votre dernier livre (*). Celui-ci est un véritable cri du cœur. On était habitué à plus de réserve ! Est-ce de la colère ?
Il y avait sans doute plus de réserve quand j’étais en fonction. Peut-être est-ce que je me radicalise ? ! Plus sérieusement, j’ai eu le temps de réfléchir depuis mon départ à la retraite de la magistrature (NDLR, fin juin 2019). En écrivant ce livre, je suis allé au bout de ma logique. En matière de fraude fiscale et de blanchiment d’argent, on ne peut pas se satisfaire de demi-mesures. Je reprends ce chiffre effarant d’au moins 8 700 milliards de dollars (NDLR : environ 8 000 milliards d’euros, l’équivalent du coût de construction de quelque 175 000 lycées, ou encore de quoi payer tout le personnel médical des établissements publics de santé français pendant 735 ans) cachés dans les paradis fiscaux. Tout cet argent soustrait aux États, et donc aux citoyens, manque aujourd’hui. En France, comme ailleurs, et alors que les prix de l’énergie s’envolent, qu’il faut faire face à des dépenses liées à la santé, à l’éducation, au dérèglement climatique… Tout cet argent pourrait être utilisé pour ça.
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