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lundi 25 juillet 2022

De l'histoire de Cyprien Luraghi...

 Cyprien Luraghi le 22 juillet 2022 sur Twitter :

« Tu connais un peu mon histoire, donc tu sais tout le mal que je pense de la liberté d’expression des ordures et autres psychos craignos. »

Oh la, oui, on la connaît, son histoire, c’est celle d’un type qui se prend pour un écrivain de génie (un « génie littéraire », pas moins) et s’est mis à écrire dans les colonnes de commentaires du site Rue89 en 2008 dans le but de s’y faire reconnaître comme tel.

Très vite, il se met à injurier tous ceux qui refusent de reconnaître son « génie littéraire » ou ne le remarquent même pas, à l’instar des journalistes du site eux-mêmes qui ont pour manie de valoriser dans leurs sélections de commentaires ceux de gens comme moi, qui non seulement écrivent mieux lui sans jamais injurier ni diffamer qui que ce soit mais de plus font des commentaires intéressants ou pertinents sur les sujets proposés quand lui est constamment hors sujet avec toutes ses débilités, ses papotages et radotages personnels qui n’intéressent personne ou, pire encore, ses attaques perpétuelles contre les uns ou les autres, ceux qu’ils jalousent et appellent les « premiers de la classe » du fait que leurs commentaires sont fréquemment sélectionnés, et pas les siens, ceux qui n’apprécient pas sa prose et encore moins toutes ses attaques contre les autres intervenants, ceux qui ne la remarquent même pas comme moi avant qu’il ne commence à m’attaquer, ou bien encore ceux qui tiennent des propos ou fournissent des témoignages non conformes aux idéologies extrême-gauchistes qu’il défend par opportunisme ou cirage de bottes – il est très lèche-cul, en fait, il le fait constamment pour s’attirer les bonnes grâces de tous ceux dont il attend de l’aide pour parvenir à ses buts ultimes, c’est-à-dire être enfin reconnu comme un « génie littéraire » et obtenir tout ce qui va avec : gloire et richesse.

Dès 2008, il instaure le « pilori » internétique pour tous ces gens-là tout en réclamant constamment leur interdiction de toute expression publique, d’abord sur le site Rue89 où il les rencontre à compter de 2008 et harcèle aussi les journalistes modérateurs jusqu’à en obtenir la suppression des commentaires et leurs bannissements respectifs, puis bien au-delà, sur tous les autres sites où ils tentent de s’exprimer et où il continue à les traquer quels que soient les pseudonymes qu’ils utilisent.

Mais comment fait-il pour toujours savoir sous quels pseudonymes écrivent ses cibles et sur quels sites ?

Ses victimes vont-elles gentiment les lui fournir d’elles-mêmes pour qu’il puisse continuer à les harceler ?

Bien sûr que non, il les pirate pour ne jamais rien rater de leurs productions sur Internet.


 






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