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lundi 16 mai 2022

Confidences du commissaire SI 562 sur les attentats du 13 novembre

 

Voulez-vous que je vous dise pourquoi il s’appelle SI 562, celui-là ?

Parce qu’il vaut bien mieux pour eux que les protecteurs du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de toute sa clique de criminels et terroristes « islamistes » restent inconnus d’un public qui un jour sera peut-être tenté d’aller les lyncher.

A noter : sa connexion particulière avec Mediapart n’a rien de surprenant, la grande patronne des attentats « islamistes » commis en France ou contre des Français, et ce, quand même, depuis les années 1990, ayant toujours été la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest.

Les attentats du GIA des années 1990 étaient déjà directement liés aux procédures qui à l’époque me concernaient, mon assassinat par les « services » n’ayant pas été obtenu par certains des négociateurs des contrats Agosta et Sawari II en 1994.

Rebelotte le 8 mai 2002 à Karachi (même motif, même punition).

Et ça recommence en mars 2012 avec préparations à compter de juin 2010, toujours avec la même criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à la manoeuvre.

Les attentats du 13 novembre 2015 à Paris ont été commis pour sa saloperie de procédure très abusive à mon encontre (rien que des accusations mensongères, avec de gros vices de procédure voulus par la plaignante, et ce dès le dépôt de sa première plainte en août 2011, à seule fin de m’interdire toute défense au fond), dont nous attendions l’issue devant la Cour d’Appel de Rennes pour le 2 décembre 2015.

En fait, celle-ci était initialement programmée plus tôt cette année-là, et les attentats de janvier 2015 à Paris, visant clairement la liberté d’expression tellement honnie par le pédophile et terroriste Pascal Edouard Cyprien Luraghi, avaient déjà été commis en prévision de l’arrêt qu’allait rendre la Cour d’Appel de Rennes dans cette affaire après l’audience alors fixée au 4 février 2015. Mais cette audience fut reportée de manière inattendue après les attentats de janvier 2015, non pas à la demande d’une des parties, mais sur décision non motivée de la Cour. D’où la seconde grosse opération pour la même procédure, au mois de novembre 2015.

Je rappelle ici qu’après avoir organisé à mon encontre les cyberharcèlements et campagnes de calomnies publiques monstrueuses de son complice le trafiquant de drogue et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de toute sa bande de cybercriminels à compter de l’année 2008, et tout en continuant à me harceler et me calomnier publiquement avec eux, et même à envoyer me harceler ou m’agresser à domicile d’autres pervers, la mère maquerelle et criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait décidé en 2010 d’en rajouter encore une couche avec toute une série de procédures abusives toutes viciées de manière à m’empêcher de me défendre au fond contre ses accusations mensongères et celles de ses complices, raison pour laquelle celui de Béziers, Jean-Marc Donnadieu, qui lui m’avait carrément exclue de ses procédures pour m’empêcher de le contredire, voyait toutes ses demandes rejetées par le Tribunal de Grande Instance de Béziers, tandis que les procédures Brenterch en Bretagne et Luraghi à Paris étaient finalement toutes deux annulées en appel pour vice de forme ou détournement de procédure.

 

 

https://www.mediapart.fr/journal/france/150522/les-confidences-du-commissaire-des-services-secrets-en-charge-des-attentats-du-13-novembre

Les confidences du commissaire des services secrets en charge des attentats du 13-Novembre

 

Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.

Matthieu Suc

15 mai 2022 à 14h28

Nous ne le désignerons que sous un nom de code. De 2013 à 2020, le « commissaire divisionnaire SI 562 » a dirigé la section « terrorisme islamique » à la sous-direction chargée des enquêtes judiciaires au sein de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’interroger permet d’effectuer une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement, et dans le déroulé des attentats survenus le 13 novembre 2015 à Paris.

 

 

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