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samedi 9 avril 2022

L'affaire McKinsey sera-t-elle fatale pour Emmanuel Macron ?

 

 

 

Personnellement, je n’en sais rien.

Par contre, tous les discours qui se développent autour de cette affaire commencent à se rapprocher de la mienne, et je l’observe bien entendu avec beaucoup d’intérêt.

Ici, par exemple, le monsieur évoque clairement quelques problèmes concrets que l’on connaît très bien dans l’informatique – encore ne s’en tient-il qu’à la surface des choses.

Puisque ce fut mon métier et mon milieu professionnel durant quand même quelques années, je peux être intarissable sur ces divers problèmes, qui n’ont nullement changé depuis que je m’en suis fait chasser au moyen d’agressions graves à répétition et de campagnes de calomnies similaires à celles dont je suis toujours victime actuellement.

Commençons par mettre au point quelques petites choses très simples : dans ce milieu, les organisateurs de la merde sont TOUJOURS les commerciaux, JAMAIS les ingénieurs ou informaticiens. Pour la plupart d’entre nous, nous n’avons pas fait des études d’ingénieurs ou d’informaticiens pour nous retrouver ensuite à faire de la merde. Sauf les incompétents ayant bénéficié du principe de Peter, lesquels ne savent pas faire autre chose, mais peuvent néanmoins rester très utiles pour leurs employeurs, ne serait-ce que pour harceler ceux qui bossent bien, nous détestons tous être obligés de faire de la merde et ne pouvons pas le supporter bien longtemps, même si c’est mieux payé qu’un SMIC. Sauf exception, et contrairement aux prétentions de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et de tous ses affidés à petits QI, nous ne sommes pas motivés par l’argent et n’en gagnons d’ailleurs pas autant qu’ils ne se l’imaginent. Si c’était le cas, nous aurions fait du commerce comme tous ceux qui courent après le fric, plutôt que des études réputées très difficiles en mathématiques, physique, chimie et/ou informatique. Comme partout ailleurs, ce sont donc les commerciaux qui, toujours essentiellement motivés par leurs commissions, réussissent assez souvent à vendre à leurs clients les moins compétents absolument n’importe quoi : d’abord des projets, et ensuite les « compétences » pour les mener à bien… d’où tous ces chantiers informatiques souvent pharaoniques qui sont abandonnés avant d’avoir abouti comme prévu et après avoir coûté des fortunes…

Ce type de problème n’est vraiment pas nouveau, il est récurrent dans le milieu informaticien.

Et il y en a encore bien d’autres, qui peuvent s’apparenter très clairement à de l’escroquerie, notamment en maintenance où certains commerciaux exigent des informaticiens qu’ils créent eux-mêmes leurs missions futures en détériorant autant que possible les systèmes qu’ils sont censés maintenir, à la manière du plombier ou du mécanicien automobile qui vous casse tout ou presque à l’occasion d’une petite réparation pour s’assurer de vous revoir très vite avec de nouveaux dysfonctionnements à résoudre, ou le cas échéant, vous convaincre de jeter l’ancien pour acheter du neuf.

Tout cela est classique de chez classique.

L’introduction de prestataires extérieurs dans certaines organisations pour les espionner ou les saboter au profit de toutes sortes d’intérêts privés ou étrangers l’est aussi.

Quant aux moyens déployés par les commerciaux pour forcer ou contraindre les informaticiens à de telles exactions, ils s’apparentent toujours à un chantage quelconque ou à des menaces.

Je rappelle ici ce que j’ai déjà dit hier dans cet article :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/04/08/nouvelles-revelations-sur-la-macronie-et-ses-cabinets-de-conseil-mckinsey-et-autres/

Quand on voit tout ce que j’ai pu subir et subis encore pour avoir jadis refusé d’obéir à des ordres illégitimes, on comprend très bien l’un des intérêts du travail de publicité effectué à mon sujet depuis juin 2010 par le pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi : voulez-vous subir le même sort, ou préférez-vous obéir à votre employeur ?

Enfin, puisqu’un logiciel de paie de militaires est cité dans la vidéo ci-dessus, je rappelle qu’en ce qui me concerne, à l’époque où je me plains d’avoir subi plusieurs tentatives d’assassinat, je travaillais sur un très gros projet touchant au coeur de métier de l’Armée de l’Air dans des conditions absolument dantesques. Je précise au passage que contrairement à ce qui se passait pour la plupart de mes collègues, mes relations avec l’AA étaient très bonnes, ce qui est assez normal : d’une part, nous nous connaissions déjà, car j’avais déjà travaillé sur un projet classé Secret Défense du même client, lequel avait gardé de mes compétences un très bon souvenir, et d’autre part, je ne le décevais toujours pas.

 

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