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samedi 22 janvier 2022

La criminelle et terroriste Céline Verdier parle de son quotidien au tribunal de Brest

 

Et pour la justiciable que je suis, son « témoignage » est totalement inacceptable.

Je vais donc livrer le mien moi aussi, en précisant bien qu’il s’agit d’un témoignage authentique et parfaitement sincère portant sur des faits réels dont je garantis l’exactitude, disposant le cas échéant des pièces de dossier nécessaires pour en attester, et certainement pas de diffamation de ma part.

Depuis que je suis harcelée par le pédophile, trafiquant de drogue et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, j’ai été auditionnée trois fois par Céline Verdier, toujours en qualité de partie civile, de victime, donc, la première fois au mois d’octobre 2012 – c’est d’ailleurs ce qui aura convaincu le cybercriminel de fermer provisoirement son blog au mois de décembre 2012, le temps de le modifier pour que les commentaires n’en soient plus publics et me soient désormais inaccessibles, les courriers que j’ai rédigés à l’attention de la juge à la suite de cette première audition, en novembre et décembre 2012, l’ayant grandement inquiété du fait que j’y pointais de ses commentaires publics me concernant, et je rappelle à cet égard que lui et sa bande de cybercriminels lisent tous mes courriers au fur et à mesure de leur rédaction, quasiment en temps réel, grâce à leurs piratages informatiques, contre lesquels les logiciels de sécurité standard ne sont d’aucune utilité, car ils les contournent tous.

Et qu’on ne vienne pas me dire qu’il suffit alors d’utiliser un ordinateur qui n’est jamais connecté à Internet, j’ai déjà essayé par le passé et ça ne marche pas non plus tant qu’il n’est pas protégé par une cage de Faraday… Et encore faudrait-il dans ce cas être tout à fait sûr de l’inviolabilité de son domicile ou au moins du lieu où se trouve encagé l’ordinateur, alors qu’aucun verrou ne résiste au spécialiste…

Ces personnes du crime organisé disposent de tous les outils possibles et imaginables pour violer en continu des décennies durant l’intimité de la vie privée de leurs cibles. Seule la justice peut les arrêter, à la condition, bien sûr, qu’elle y soit disposée.

Je rappelle encore qu’en ce qui me concerne, cela a commencé au début des années 1990 suite à mon refus catégorique de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service du crime organisé, notamment pour commettre des crimes contre la Nation, puisque contrairement à mes employeurs harceleurs, des patrons bien connus comme « voyous », j’avais personnellement accès à des informations et logiciels classés Secret et Confidentiel Défense, ceux sur lesquels je travaillais ou avais travaillé et me trouvais encore potentiellement amenée à travailler.

La criminelle ultra militariste Josette Brenterch du NPA de Brest, qui avec ses camarades de l’extrême-droite la plus fasciste, dont une partie, comme les terroristes d’Action Directe, se réclame de l’extrême-gauche « révolutionnaire communiste », s’est toujours activée pour déclencher des conflits armés un peu partout dans le monde et avait donc besoin des produits de trafics d’armes que mon travail, pour partie, tendait à assécher, a toujours été complice de mes anciens employeurs harceleurs et mafieux depuis cette époque-là et s’était même chargée de surveiller illégalement tous les membres de ma famille résidant dans le Finistère alors que pour ma part je n’y étais pas encore. Avec l’aide de ses sbires de la LCR de Brest, notamment la dénommée Christiane Voisset, elle était allée jusqu’à infiltrer l’entourage amical de mon père pour pouvoir l’entraver au maximum tandis que de mon côté j’en étais rendue à subir des tentatives d’assassinat à répétition de la part de ses complices trafiquants d’armes.

Bien sûr, nous étions déjà tous abondamment calomniés partout où l’association de malfaiteurs le jugeait utile pour les affaires ou l’intérêt de ses membres.

Et bien évidemment, elle a toujours continué après m’avoir imposé un retour à Brest où, ne pouvant plus travailler, je dérangeais déjà nettement moins, mais encore trop tant qu’il me restait toute ma mémoire et mes facultés d’expression, d’où la poursuite de toutes les surveillances illicites dont j’ai continuellement été victime des années 1990 jusqu’à ce jour, ainsi que des campagnes de calomnies, toujours destinées à m’isoler autant qu’à me décrédibiliser, et des agressions et tentatives d’assassinat, ayant toujours pour but de me chasser ou de me faire reculer ou abandonner dès que je commence à m’intégrer à un groupe quelconque et/ou de me faire taire définitivement.

C’est bien le « travail » qu’elle a poursuivi à mon encontre à compter de l’année 2008, cette fois sur la toile et avec l’aide du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de cybercriminels alors que j’avais commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89 (ce qu’elle a su dès mes premiers mots du fait qu’elle me faisait toujours surveiller illégalement, par piratage informatique comme par écoutes téléphoniques et autres, toutes illégales), « travail » pour lequel j’ai fini par porter plainte à compter de l’année 2010 alors que les exactions avaient encore monté d’un cran, mon identité et toutes mes coordonnées, et même celles de personnes m’étant très proches, ou d’autres que j’avais jadis fréquentées, notamment en 2004 et 2005 dans le cadre de l’association AC ! Brest, ayant été révélées au public avec des montagnes d’inventions calomnieuses quotidiennes et moult menaces de mort.

Le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ayant de plus publiquement associé mon nom à l’affaire de l’attentat de Karachi dès le mois de juin 2010, il était certain que des crimes de sang en relation avec cette affaire allaient de nouveau être commis en pagaille, sauf à le mettre très rapidement hors d’état de nuire, mais ce ne fut pas le choix des magistrats brestois, bien au contraire, quoiqu’ils aient tout de suite été prévenus de la situation et aient toujours su quels en étaient tous les enjeux et tous les risques, comme j’en aurai plus tard confirmation, à travers les dossiers d’information judiciaire qui étaient détenus par la juge d’instruction ultra CORROMPUE Céline Verdier et dont je n’obtiendrai communication des premiers éléments qu’à compter de l’été 2014, les plus importants ne m’ayant été communiqués que par la Cour d’Appel de Rennes au cours de l’automne 2015, ce qui est très tardif et totalement anormal.

En effet, alors qu’en principe toutes les parties, la parte civile comme les autres, ont toujours accès au dossier de l’information judiciaire à compter de leur première audition, et même quelques jours avant cette première audition, ni mes avocats successifs ni moi-même n’avons jamais pu y accéder tant que l’information judiciaire était ouverte, car la pourriture Céline Verdier n’a jamais fait coter au dossier de l’information judiciaire l’essentiel des pièces dudit dossier avant d’avoir décrété la fin de l’information. Même sur demande de communication de l’entier dossier de l’information judiciaire après fin de ladite information, elle ne nous a jamais communiqué l’intégralité des dossiers en sa possession, que je ne découvrirai dans leur entièreté qu’en appel à Rennes au cour de l’automne 2015. C’est volontairement et de manière parfaitement illégale, dans le seul but d’entraver toute manifestation de la vérité, qu’elle nous a toujours caché des dossiers dont nous connaissions l’existence mais pas les contenus et lui avions donc à plusieurs reprises demandé la communication, sans aucun succès.

Il est ainsi avéré qu’elle a toujours été complice en toute connaissance de cause du pédophile, trafiquant de drogue et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de toute sa bande de criminels pour toutes leurs entreprises criminelles à mon encontre, visant aussi l’Etat français et son armée pour quelques contrariétés relatives à des trafics d’armes, les représailles organisées par la criminelle en chef Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices trafiquants d’armes étant toujours passées depuis les années 1990 par des attentats « islamistes », lesquels ont bien repris en 2012, après préparation dès le mois de juin 2010, simultanément aux premières publications sulfureuses du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre.

Ces attentats étaient prévisibles dès le mois de juin 2010. Plusieurs éléments montrent de manière rétrospective que c’est bien à ce moment-là que commence leur préparation : Mohammed Merah commence bien à s’agiter à Toulouse dès le mois de juin 2010, tandis que se prépare le premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda. De plus, j’ai alerté les magistrats brestois à ce sujet à plusieurs reprises à compter de cet été 2010, et les documents que je leur transmettais ne permettaient de douter, ni de la réalité des infractions dont j’étais victime, ni de la réalité de la personnalité de mes agresseurs, à commencer par celle du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Cependant, ils ont bien toujours soutenu ces criminels et toutes leurs entreprises criminelles, et ce, donc, en parfaite connaissance de cause, comme le laissera très clairement entendre Céline Verdier à chacune de mes trois auditions dans son cabinet.

Je rappelle que la première de ces auditions n’aura lieu qu’en octobre 2012, alors que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’activait depuis 2010, comme il l’a écrit à plusieurs reprises en 2010, 2011 et 2012 dans ses très nombreux textes publics me concernant, à rechercher et identifier toutes mes relations et connaissances passées et actuelles, afin d’éliminer tous ceux qui par leurs actes, avis ou comportements contrariaient ou ont un jour contrarié les entreprises criminelles de sa complice Josette Brenterch à mon encontre, et continuaient à les menacer, puisqu’il s’agissait désormais de faire rédiger et publier par ce malade mental, le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, une version entièrement fausse et hautement calomnieuse et infamante de ma « biographie », concernant aussi, bien évidemment, tous mes proches, lesquels étaient donc les premiers visés par cette nouvelle chasse à l’homme ouverte en 2010 (nous avions en fait déjà tous fait l’objet de multiples tentatives d’assassinat par le passé).

Céline Verdier a donc fait assassiner ou au moins cautionné l’assassinat de très nombreuses personnes, dont plusieurs ingénieurs de ma famille.

Ceux qui restent ne peuvent même pas porter plainte, sachant que les commanditaires et/ou organisateurs de ces assassinats sont les magistrats eux-mêmes.

 

https://www.letelegramme.fr/dossiers/la-justice-face-a-ses-manques/justice-a-brest-c-est-du-bidouillage-a-chaque-fois-22-01-2022-12908781.php

Publié le 22 janvier 2022 à 06h00

« C’est du bidouillage à chaque fois » : trois magistrates brestoises témoignent

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Lecture : 6 minutes.

Ce qui les fait tenir ? Une certaine idée de la Justice. Système D, heures sup à gogo : Marie-Anne Kérisit, Céline Verdier et Nathalie Le Borgne, magistrates du pôle de l’instruction de Brest, ont accepté de raconter leur quotidien effréné.

 

Les trois juges d’instruction du pôle judiciaire de Brest, Marie-Anne Kérisit, Céline Verdier et Nathalie le Borgne. Elles se répartissent 280 dossiers criminels et délictuels et ont souvent l’impress
Les trois juges d’instruction du pôle judiciaire de Brest, Marie-Anne Kérisit, Céline Verdier et Nathalie le Borgne. Elles se répartissent 280 dossiers criminels et délictuels et ont souvent l’impression de vider un océan à la petite cuillère. (Photo T. C.)

 

Vous êtes toutes trois magistrates et composez le pôle de l’instruction de Brest. Quelle charge de travail vous répartissez-vous ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Nous suivons 280 dossiers pour nos trois cabinets. En 2021, nous avons eu 50 ouvertures de dossiers criminels pour Quimper et Brest. Beaucoup d’affaires de mœurs et d’homicides. Le criminel, ce sont des dossiers plus chronophages que le délictuel. Ils exigent un certain nombre d’investigations obligatoires. Les enjeux sont importants. Néanmoins, il y a aussi des dossiers délictueux lourds et complexes, comme les affaires de stupéfiants ou financières.

Au regard de cette charge de travail, combien de temps consacrez-vous à chaque dossier ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Arithmétiquement, nous devrions dédier deux jours et demi par an à chaque dossier. C’est totalement inadapté, irréaliste ! Ça ne nous permet pas d’approfondir, d’instruire correctement… Croyez-vous qu’il suffise d’un procès-verbal de synthèse pour apprécier un dossier ? Un dossier de stupéfiants qui nous arrive en quatre tomes, croyez-vous que nous ayons assez de deux jours et demi pour l’appréhender ?

Quels sont les actes à mener dans l’instruction d’un dossier ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Pour chaque mis en examen, l’interrogatoire de première comparution, l’interrogatoire au fond, l’audition de la partie civile (victime, NDLR), qui est un acte essentiel et souvent entouré d’une charge émotionnelle, la rédaction de la commission rogatoire, les expertises, les échanges avec les enquêteurs… Parfois, nous avons des dossiers avec dix mis en examen ! Comment tenir dans ce délai ? Sans compter que ces deux jours et demi, on doit aussi les passer à solliciter les experts, à négocier leurs délais de restitution. Ils sont extrêmement peu nombreux et on ne peut pas se dispenser d’une expertise psychiatrique ou psychologique.

Quel est le délai théorique pour boucler un dossier ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Nous allons dire aux gens que le délai d’achèvement, pour une procédure criminelle, c’est 18 mois. En ajoutant, en effet, que c’est théorique.

Pensez-vous que les justiciables entrevoient ce qu’est votre quotidien ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Non. Nous sommes confrontées à la fragilité humaine, à la souffrance. On nous voit dans une tour d’ivoire alors que nous avons les mains dans le cambouis.

Comment parvenez-vous à vous organiser ?

M.-A. K. : Nous travaillons quasiment tous les soirs, et les week-ends.

N. L. B. : Moi, je préfère finir tard en semaine et ne rien emmener à la maison. Mais c’est le soir, le week-end et une grande partie de mes vacances.

C. V. : Moi, c’est quand les enfants dorment. C’est coûteux pour la vie de famille. Le côté pernicieux, c’est qu’on en vient à se culpabiliser, à se dire qu’on est trop lent, d’autant qu’on nous renvoie l’idée que nous sommes peut-être trop exigeants.

Priorisez-vous certains dossiers ?

C.V. : Nous sommes obligées. Nous prenons en compte la gravité des faits. Nous traitons prioritairement les dossiers détenus, les dossiers les plus anciens, les dossiers de diffamation - car la prescription est de trois mois -. Puis les mineurs, les crimes et, ensuite, les délits d’atteinte aux personnes et les délits d’atteinte aux biens. Des dossiers en pâtissent forcément. Certains critères peuvent sembler subjectifs. C’est critiquable mais, à un moment, il faut trouver une échelle.

N. L. B. : La difficulté, c’est qu’une urgence chasse l’autre. Un exemple : ce vendredi après-midi, j’avais sanctuarisé une heure pour m’occuper d’un petit dossier. Un contrôle judiciaire non respecté s’est intercalé. C’est ça en permanence.

M.-A. K. : Cette course après le temps n’est pas propre à l’instruction. Pour un juge aux affaires familiales, par exemple, il est inenvisageable de bâcler un jugement attribuant la résidence des enfants chez l’un des parents en trois lignes.

N. L. B. : C’est vrai. Quand j’étais juge des enfants à Rennes, en 2018, j’avais 690 dossiers. Je finissais à minuit pour reprendre à 5 h du matin. Quand un cinquième poste s’est ouvert, on a trouvé ça génial de passer à 550 dossiers par magistrat !

La Cour des comptes a pointé l’obsolescence du parc informatique des tribunaux. Est-ce le cas à Brest ?

M.-A. K. et C. V. : Oui. Prenons le logiciel Cassiopée, qui permet de renseigner un tribunal sur les antécédents d’un mis en cause. Outre le fait qu’il n’est pas intuitif, sa trame n’est pas actualisée. Il y a des références dépassées ou inexistantes, des témoins assistés qui n’ont pas été intégrés… Sans compter l’enchaînement des réformes. Un exemple : pour la nouvelle justice pénale des mineurs, toutes les trames n’étaient pas prêtes. C’est tout l’art et la qualité des greffières d’arriver à aménager des trames adaptées. Mais c’est du bidouillage à chaque fois. Les moyens accordés à l’antiterrorisme nous font rêver. Nous n’avons même pas une imprimante chacune.

N. L. B. : Je n’ai même pas de téléphone portable dédié. C’est mon téléphone personnel. C’est ça, le fonctionnement de la Justice.

Qu’est-ce qui fait courir les magistrats ?

M.-A. K. et C. V. : C’est un métier passion et notre chance, c’est d’avoir une bonne ambiance et des greffières remarquables. On ne travaillerait sans doute pas de la même façon s’il n’y avait pas cette ambiance. On rit beaucoup dans ce service ! Faire ce métier dans une ambiance de travail délétère, c’est mission impossible. Nous partageons la même vision de notre métier, qui est d’accorder aux justiciables l’écoute, le respect de leurs droits, le temps nécessaire à la compréhension de leur dossier, les investigations à mener pour la manifestation de la vérité, la possibilité de leur donner du temps…

N. L. B. : Ça tient aussi parce que je trouve indécent de faire attendre des gens et de mal connaître le dossier. Ce n’est pas acceptable de rogner sur la qualité pour atteindre une quantité qu’on ne peut, de toute façon, pas absorber.

Comment va se passer la mise en place du nouveau pôle régional spécialisé en matière d’atteintes à l’environnement qui échoit au tribunal de Brest ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Nous avons demandé un quatrième poste. Notre inquiétude, c’est d’absorber ce nouveau pôle sans renforts. On nous a garanti que nous n’aurions pas de saisine avant.

Au vu de ce quotidien, comment recevez-vous les propos du garde des Sceaux, qui, après la manifestation du 15 décembre, disait « ne pas exclure une manipulation » ?

M.-A. K., C. V. et N. L. B. : Il ne nous surprend pas. Ce qui nous énerve, ce sont ses éléments de langage. La tribune des magistrats parue en novembre, dans Le Monde, a été signée par 7 000 des 8 200 magistrats français. La manipulation est difficile à entendre ! Et il a laissé entendre que c’était une rébellion de jeunes magistrats. C’est presque outrageant. Ce n’est pas une revendication catégorielle. Elle est portée par une haute idée de la Justice. Ça dépasse tous les clivages, toutes les opinions politiques.

 

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