Pages

lundi 6 janvier 2020

Décès de Paul Brenterch, du NPA de Brest, le 22 décembre 2016


Z’avez remarqué mon article du 24 décembre dernier ?

Celui-ci :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/12/24/quest-devenue-monique-aline-klaus-nee-palissot-de-grenoble/

L’immonde salope Monique-Aline Klaus de Grenoble, née Palissot à Paris ou dans la région parisienne, ne serait plus, selon ses complices cybercriminels dits « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

C’était une de mes harceleuses de cette bande de la première heure, c’est-à-dire les années 2008 et 2009 sur le site d’information Rue89, où elle se trouvait toujours début janvier 2017, juste avant la fin de ce site dans sa version d’origine déjà plusieurs fois modifiée depuis son lancement le 6 mai 2007.

En effet, elle avait participé aux commentaires sur cet article de Daniel Schneidermann du 3 janvier 2017 :

https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-medias/20170103.RUE6089/ce-n-est-pas-le-travail-journalistique-qui-est-pourri.html

J’en avais rapporté le même jour dans les deux articles suivants une partie qui me concernait :

http://petitcoucou.unblog.fr/2017/01/03/ouh-lalalala-lulu-va-baffer-son-romain/

http://petitcoucou.unblog.fr/2017/01/03/cyprien-luraghi-reitere-ses-menaces-de-commettre-de-nouveaux-crimes/

Nous attendions alors pour le 5 janvier 2017 l’ordonnance du juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris, saisi à compter du printemps 2016 de tout un lot de requêtes totalement ahurissantes du pervers narcissique et malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre.

Bien évidemment, et fort heureusement, celles-ci furent intégralement rejetées :

http://petitcoucou.unblog.fr/ordonnance-du-5-janvier-2017-cyprien-luraghi-a-perdu/

Elles le seront à nouveau, et avec beaucoup plus de vigueur, l’année suivante en appel, l’assignation à comparaître qui m’avait été délivrée le 12 juillet 2016 ayant alors été annulée pour cause de détournement de procédure :

http://petitcoucou.unblog.fr/11-avril-2018-cyprien-luraghi-a-encore-perdu/

La « riveraine » de Rue89 et « déconnologue » « historique » Mon-Al aura donc participé à toutes les saloperies dont je suis victime depuis l’année 2008, au moins jusqu’à cette défaite de sa bande du 5 janvier 2017, à moins qu’elle n’ait eu un accident entre le 3 et le 5 janvier 2017.

Elle avait toujours violé l’intimité de ma vie privée avec ceux de ses complices qui en 2011 s’étaient fait prendre en flagrant délit de vol de toutes mes correspondances électroniques, lesquelles étaient ensuite – et sont toujours aujourd’hui – distribuées à très grande échelle à tout un tas de personnes sans foi ni loi, notamment de très nombreux militants de l’extrême-gauche, des voyous, des islamistes, etc, etc…

En voici quelques éléments de preuve, avec la liste des premiers violeurs de la bande des « déconnologues » au printemps 2011, chacun d’entre eux ayant toujours rediffusé tous mes mails volés dans tous ses réseaux personnels (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes) :


Pirates


Ces piratages informatiques dont j’étais continuellement victime depuis mon arrivée sur le site Rue89 avaient en fait eu raison de mon anonymat sur ce site dès mon inscription en 2007.

En effet, ils perduraient alors depuis déjà plus de deux ans.

En réalité, j’en avais toujours été victime depuis le printemps 2005 sur ordre de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest.

Cette dernière dirigeait depuis déjà fort longtemps la quasi totalité des harcèlements dont j’étais victime, notamment à Brest, depuis les années 1990.

Elle fut à l’origine des nouvelles procédures abusives dont j’ai été victime à Paris à compter du printemps 2016 et s’était montrée très présente lors de nos deux rendez-vous de septembre et novembre 2016 devant le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris.

A l’issue de la seconde audience, elle avait laissé éclater sa haine à mon encontre avant même d’être sortie de la salle…

Animant tout en le dirigeant tout le groupe de « déconnologues » également présent, y compris le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et son avocat, elle avait continué à vociférer et gesticuler à leur intention dans le hall, puis sur les marches du Palais de Justice de Paris… où ne manquaient que les journalistes pour rendre compte au public de sa véhémente conférence à mon encontre…

Et le mois suivant, elle avait enterré son frère Paul décédé d’un cancer ou de ses suites pour Noël :


https://avis-de-deces.ouest-france.fr/20161223/paul-brenterch-422617

Monsieur Paul Brenterch

Prévenez votre entourage
Décès de Paul Brenterch, du NPA de Brest, le 22 décembre 2016 partager-facebook-desktop

Avis d’Obsèques

Brest (29) – Lorient (56) – Livry-Gargan (93)
Nous avons le chagrin de vous faire part du décès de
Monsieur Paul BRENTERCHà l’âge de 59 ans.
De la part de :
sa maman, Jeanne;
ses soeurs et frères,
Josette, Michel, Marie-Christine,
Marc et leurs conjoints;
ses neveux et nièces et toute la famille.
La cérémonie sera célébrée
au Centre funéraire du Vern,
lundi 26 décembre,
à 16 h 30.
Des dons en faveur de la Recherche contre le cancer seront préférés aux fleurs.
M. Paul Brenterch repose au Centre funéraire du Vern.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
Mis en ligne le Vendredi 23 Dec 2016


Ce dernier avait participé avec sa soeur à la campagne des élections municipales de 2014 pour l’extrême-gauche brestoise :

https://actu.fr/bretagne/brest_29019/municipales-2014-la-liste-colere-de-brest-lhumain-dabord_4964849.html

Il apparaissait sur la liste en 43ème position, sa soeur en étant 4ème, tout juste devant Hubert Casel :

4 – Josette Brenterch, 62 ans, retraitée Éducation nationale, Bellevue.
5 – Hubert Casel, 57 ans, ingénieur, Recouvrance.
43 – Paul Brenterch,
57 ans, auxiliaire de vie scolaire, Saint-Pierre.


Le grand patron des écoutes téléphoniques illégales et des piratages informatiques de cette bande de hors la loi y figurait en 9ème position :

9 – André Garçon, 60 ans, technicien Telecom, Saint-Marc.

Quant à l’indécrottable Arnaud Hell, il avait choisi de se faire discret en 39ème position :

39 – Arnaud Hell, 67 ans, retraité Éducation nationale, Kérinou.

On y retrouvait également deux grandes complices de longue date de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, la première, présentée comme « médecin hospitalière », exerçant en réalité comme psychiatre à l’hôpital psychiatrique de Bohars :


34 –  Sylvie Monot, 50, médecin hospitalière, Sanquer.
54 –  Christiane Voisset, 66 ans, retraitée secrétaire comptable, Saint-Pierre.


Voilà Paul Brenterch dans ses oeuvres sur Facebook, où sa dernière publication remonte à février 2016 :

https://www.facebook.com/paul.brenterch

On y apprend qu’il serait d’Orléansville (Chlef du temps de l’Algérie française).

Son père Auguste qu’il a rejoint dans la tombe fin 2016 à 59 ans y aurait donc exercé comme gendarme au moins en 1957.

Voilà qui explique sans doute la proximité de cette famille avec des Lepénistes de l’Algérie française.

Considérant l’incroyable quantité de viols et autres crimes qu’elle a commis contre la mienne, je n’ai aucun scrupule, aucune gêne à avoir à révéler au public ce que je peux en savoir ou en reconstituer à partir d’informations publiques.

Continuons, donc.

Nous retrouvons ici Marie-Christine, née en 1955, qui indique avoir fréquenté le Lycée Fénelon de Brest entre 1970 et 1974 :

http://copainsdavant.linternaute.com/p/marie-christine-brenterch-8191298

La famille, qui vivait en Normandie, à Aunay-sur-Odon, dans le Calvados, lors de la naissance de Josette le 23 février 1952, est donc de retour en Bretagne, pays de ses origines.

Josette avait bien indiqué sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog que son père gendarme décédé en 1994 était originaire de Ploudalmézeau, on le retrouve ici où l’on constate qu’en effet, tous ses ancêtres du nom de Brenterch sont de cette commune depuis au moins François né vers 1622 :

https://gw.geneanet.org/mjacopin?n=brenterch&oc=3&p=auguste

Merci à Michel Jacopin pour ses recherches généalogiques, lesquelles me permettent de vérifier que nous n’avons, a priori, pas un seul ascendant commun – ouf ! cela m’aurait vraiment fait mal…

Voilà je présume la cousine Marie-Claire qui en 2005 avait menacé de mort au nom de Josette parce qu’il refusait de lui obéir à mon sujet un de nos camarades de l’association AC ! Brest :

https://gw.geneanet.org/mjacopin?lang=fr&pz=yvonne+jeanne+marie&nz=queffurus&p=marie+claire&n=brenterch

Elle avait alors déjà trois cancers et est décédée en 2013, avant mon procès brestois dont elle n’aura donc pas connu l’issue, tout comme son cousin Paul n’aura pu attendre jusqu’au 5 janvier 2017 et leur complice l’ancienne juge d’instruction brestoise Mathilde Boissy jusqu’au 2 décembre 2015 :

https://avis-de-deces.ouest-france.fr/20130211/marieclaire-brenterch-7545

On retrouve même Josette sur Geneanet, ici :

https://gw.geneanet.org/ryvenou?lang=fr&pz=richard&nz=yvenou&p=josette&n=brenterch

Si sa soeur Marie-Christine a étudié au Lycée Fénelon de Brest, il est raisonnable de penser qu’elle-même a pu y suivre des enseignements, ou au moins qu’elle aura été scolarisée dans un établissement similaire.

Or, c’est l’un des lycées privés les plus huppés de la ville. Installé dans le château de Ker Stears (dont l’un des premiers occupants fut, ô surprise… un très sulfureux comte de Rodellec…) et son parc arboré surplombant la rade de Brest, il est d’obédience catholique – mais on savait déjà par les bavardages de Josette sur les différents blogs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi qu’effectivement, elle a été élevée dans la tradition catholique, avec messe tous les dimanches, etc, etc… un certain snobisme en plus, donc, tous les catholiques locaux ou leurs filles ne se retrouvant pas forcément à Fénelon (La Retraite)…

Son père gendarme était au RPR, ou partisan des chefs de file de ce parti, nous a-t-elle encore raconté autrefois.

Tout cela en fait finalement une proche de ce politique local très connu à Brest pour avoir voulu – en vain – faire retirer à sa propre fille la garde de ses enfants au motif qu’elle était devenue complètement folle, car elle les avait inscrits dans une école publique…

Voilà donc l’engeance fasciste qui nous fait tous passer pour fous et voudrait de plus nous donner des leçons de citoyenneté à nous qui n’avons toujours connu que l’école de la République…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire