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dimanche 8 septembre 2019

Comment Hélène Sergent de 20minutes.fr appelle au meurtre à mon encontre


L’appel n’est pas direct, il est suggéré par cette publication où je ne suis accusée que de faits totalement imaginaires par le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui me harcèle avec toute sa bande de cyberharceleurs dits « déconnologues » depuis maintenant onze très longues années :

https://www.20minutes.fr/high-tech/2435127-20190128-cyberharcelee-centaines-articles-liaient-histoires-sordides-pedophilie-nom-partout

En effet, elle appelle des réactions comme celle qui suit, parfaitement bien acceptée par la modération du site, qui par ailleurs refuse catégoriquement tout commentaire contredisant quelque peu les contenus de cet « article », en sachant pourtant pertinemment qu’ils sont entièrement faux, mensongers, calomnieux à mon égard, et que j’y suis de plus très facilement identifiable :












Réactions qui peuvent être réellement suivies d’effet comme dans ce cas, dont les journalistes du même site, parfaitement conscients de leur très lâche et sournois appel au meurtre à mon encontre, se font l’écho depuis hier :

https://www.20minutes.fr/faits_divers/2598847-20190907-cholet-adolescent-sequestre-violente-cause-rumeur-facebook

C’est cette affaire qui a été rapportée par Ouest France hier matin :



https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/sequestration-cholet-un-ado-passe-six-heures-en-enfer-pour-une-futile-histoire-de-reseaux-sociaux-6509555

Séquestration à Cholet. Un ado passe six heures en enfer pour une futile histoire de réseaux sociaux


Les six jeunes Choletais mis en examen vivent une vie d’errance.
Les six jeunes Choletais mis en examen vivent une vie d’errance. | ARCHIVES OUEST-FRANCE/EDDY LEMAISTRE

Ouest-France Josué JEAN-BART. Publié le 07/09/2019 à 08h30


Six jeunes Choletais à la rue se sont acharnés sur un jeune de 17 ans dans un squat. Ils ont été mis en examen. Trois d’entre eux sont écroués ce vendredi 6 septembre.

Une histoire qui aurait pu très mal se terminer. Tel est le sentiment partagé après l’interpellation de six jeunes Choletais, mercredi 4 septembre dans la matinée. À l’issue de leurs gardes à vue, ce vendredi 6 septembre, ils ont été mis en examen pour séquestration, violences aggravées, actes de torture et de barbarie et tentative de meurtre.

Rumeur ?


Simple rumeur ? Le groupe composé de six jeunes marginaux, âgés de 18 à 22 ans, est convaincu que la victime, un adolescent de 17 ans, a harcelé une jeune femme, sur la messagerie Messenger Facebook. « Sans préméditation », selon Me Hélène Doumbé, au hasard d’une rencontre dans les rues de Cholet, le mardi 3 septembre, ce jeune Choletais est attiré dans un squat. Il subit la vindicte des six jeunes.

Calvaire


Un calvaire de minuit à 6 h, dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 septembre. « Coups de pied et de poings », retrace la vice-procureure Sandrine Rousseau, lors d’une audience devant le juge des libertés et de la détention.

L’adolescent, déshabillé, a subi des douches chaudes, puis froides. Il a eu la tête rasée, ainsi que les sourcils et les aisselles. Son sexe a été frappé avec un bâton. Le tout filmé au smartphone. Des vidéos où les enquêteurs ont découvert les protagonistes poussant la victime à les insulter.

Souffre-douleur


Comment les brutalités se sont-elles arrêtées ? Le jeune souffre-douleur assure avoir réussi à s’enfuir. Les moins virulents des tortionnaires disent, eux, avoir volontairement trompé la vigilance de leurs trois copains, manifestement déchaînés. L’adolescent a quitté le squat simplement habillé d’un bas de jogging.

Aidé par un tiers, il s’est directement rendu au commissariat. « La victime a été marquée par les faits », souligne Sandrine Rousseau. « Affectée psychologiquement », « traumatisée », renchérit le juge des libertés et de la détention, Antoine Le Vaillant de Charny.

Errance


Deux des trois jeunes placés en détention provisoire comparaissaient devant le juge des libertés et de la détention ce vendredi 6 septembre, dans la matinée. « Je ferai tout mon possible pour me rattraper. Je suis allé vraiment trop loin, je le regrette », clame Damien, la tête dans les mains, en larmes. Déjà condamné quatre fois, « il a pris conscience de la nécessité de se faire soigner en psychiatrie », plaide son avocate, Me Céline Tavenard. « C’est grave. Je n’avais jamais fait ça. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris », lance, d’une voix cassée, Jessica, coiffée d’un chignon en bataille et vêtue d’un sweat capuche noir.

Tous les deux, à la rue, ils ont gardé des visages d’enfants que l’on n’imagine mal s’acharner sur un ado. Depuis ce vendredi, ils dorment derrière les barreaux, au début de « cette instruction qui a pour but de déterminer qui a fait quoi ».

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