Pages

mercredi 17 avril 2019

Les militants du NPA connaissent très bien Villemur-sur-Tarn


En effet, c’est un des lieux de leurs luttes les plus soutenues à l’époque de l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011.
 
Or, les auteurs de ce crime en sont bien tous plus ou moins et un témoignage négligé par les enquêteurs quoiqu’il puisse être important fait état de trois gros sacs-poubelle portant l’inscription « Communauté de communes de Villemur-sur-Tarn » et ne contenant que du papier blanc (pour des tracts ?).

Voir extrait rapporté dans cet article :



http://petitcoucou.unblog.fr/2019/04/15/petit-qi-et-gros-besoins-etes-vous-plutot-cambriolage-braquage-ou-escroquerie-au-jugement/
 

«Les erreurs sont humaines»

Le garagiste de Bouloc qui a vu Christian Bouchon cherchant partout sa femme Patricia au matin du 14 février a une fille, Hélène. Elle se souvient avoir été réveillée cette même nuit par «quelqu’un qui tambourinait».
Hélène pense à un jeune essayant de braquer le distributeur de boissons, avant de se rappeler que celui-ci était blindé. Elle ouvre ses volets pour vérifier: «Quelqu’un se servait de la lumière du distributeur pour éclairer ses phares et son pare-chocs et donner des coups dessus. C’est un bruit bien particulier.» Son père et son grand-père ont été garagistes Renault, alors elle connaît le bruit.
En audition, Hélène est certaine: «C’était une Clio ancien modèle série 1.»«Couleur anthracite», ajoute-t-elle. À la barre, elle précise: «Vu l’éclairage jaunâtre du village, je sais que c’est une couleur foncée, gris foncé ou vert foncé, mais pas clair, en tous cas.»
Le lendemain matin, après le passage des éboueurs, son œil est attiré par une masse noire reposant près des conteneurs. Intriguée, elle s’approche. Trois gros sacs-poubelle, qui portent l’inscription: «Communauté de communes de Villeneuve-sur-Tarn.» Elle les ouvrent: «C’était du papier blanc.»
Le 29 mars 2011, à la découverte du corps de Patricia Bouchon à Villematier, la fille du garagiste fait le lien avec les sacs. Villematier dépend de la commune de Villeneuve-sur-Tarn.
Face à la cour, elle s’agite: «Je l’ai dit aux enquêteurs, je l’ai dit plusieurs fois. Ça n’était jamais arrivé, ces sacs-poubelle, et ça ne s’est jamais reproduit!» Elle soupire: «Je pensais qu’il y aurait des investigations plus poussées.»
Tous les mercredis, le directeur d’enquête de la cellule «Disparition 31» est pourtant envoyé en hélicoptère à Paris pour faire un rapport en conseil des ministres.
L’avocat général souffle: «Les erreurs sont humaines, et seuls ceux qui ne font rien ne risquent rien.» «Je ne blâme pas les gendarmes. Je blâme l’autorité judiciaire», promet-il.


Il s’agit bien de Villemur-sur-Tarn et non de Villeneuve-sur-Tarn. Il y a une erreur dans l’article d’où provient cet extrait.

Par ailleurs, il existe aussi une imprimerie à Villemur-sur-Tarn. Or, le commanditaire de l’assassinat est précisément un individu qui se prétend « écrivain » et recherche les moyens de faire imprimer sur du papier sa version totalement fausse et calomnieuse de ma « biographie », un « livre » pour lequel il ne doit essuyer que des refus des éditeurs. Aurait-il pris contact avec l’imprimeur de Villemur-sur-Tarn que ses complices du NPA devaient bien connaître ? Peut-être y a-t-il là un témoin qui se tait par peur des ennuis.



https://www.ladepeche.fr/article/2010/02/02/767987-villemur-tarn-pascal-vidal-passion-metier-imprimeur.html

Villemur-sur-Tarn. Pascal Vidal et sa passion du métier d’imprimeur


  • toujours opérationnelle,héritage du patrimoine familial.
toujours opérationnelle,héritage du patrimoine familial.
 
Publié le 02/02/2010 à 03:51


Après avoir quitté Pascal Vidal, lors d’une visite dans son atelier d’imprimerie, les contraintes de temps qu’impose notre quotidien semblent s’être estompées.

Peut-être le fait d’avoir pu échanger avec un homme simple, disponible, passionné par son métier, tout cela rendant le personnage très attachant.

Depuis 1977 date à laquelle M. Vidal père décida de se lancer dans l’imprimerie, le fiston très présent à ses côtés prit goût au métier et à ses « ficelles ».

Des études à l’école Jolimont de Toulouse lui permettront d’obtenir un diplôme d’imprimeur et en 1985, les circonstances de la vie lui offriront la possibilité de reprendre l’atelier paternel.

En 25 ans de métier, il a fallu suivre et s’adapter : « bien sûr déclare Pascal, les nouvelles techniques de la profession m’ont obligé à encore apprendre, mais c’est aussi cela le métier, et aujourd’hui je peux sans-problème exécuter des travaux suivant les besoins des clients, allant des platines typographiques à l’offset, a PAO et le numérique.

Ses possibilités sont très étendues, de l’affiche pour associations, à tous les formats de calendrier, bien sûr, les cartes personnelles et professionnelles, travaux divers pour entreprises et municipalités.

Vous ferez la connaissance d’un homme qui prendra le temps de vous recevoir, de vous écouter de vous conseiller, et si vous êtes un temps soit peu curieux, il vous parlera alors du métier qu’il a choisi, il vous parlera de sa passion.

Pascal Vidal, 9 chemin de Bifranc 31340 Villemur sur Tarn.



https://npa2009.org/category/tags/molex

Molex

Les militants du NPA connaissent très bien Villemur-sur-Tarn dans AC ! Brest
Une bonne centaine de salariéEs de Molex, toujours sur le pont du combat de classe, et de syndicalistes CGT, CFDT, FSU toulousains ont accompagné Denis Parise, ce lundi 15 novembre à 14 heures, à sa convocation au commissariat de l’Embouchure de Toulouse.
 dans Calomnie
Les salariés de Molex ont bataillés fermement pendant 11 mois contre une multinationale qui obéit aux diktats d’un fond de pension pour empêcher la fermeture du site de Villemur dont la rentabilité a été démontrée à maintes reprises.
 dans Corruption
11 mois de lutte contre une multinationale qui obéit aux diktats d’un fond de pension américains pour empêcher la fermeture d’un site largement rentable, c’est ce que les 283 salariés de Villemur/Tarn ont vécu.
 dans Crime
Notre adversaire, c’est la droite et le patronat, leur politique libérale qui pousse à l’accumulation des richesses au bénéfice des plus riches, détruit la protection collective du salaire socialisé, disperse les solidarités du monde du travail, cherchant à le morceler en autant de contrats i
 dans Folie
Après onze mois de lutte, les salariés de Molex ont dû accepter, la mort dans l’âme, un plan social qui entérine 283 licenciements.
 dans LCR - NPA
Mardi 25 août la direction de Molex a rencontré Estrosi, le ministre de l’industrie.
Depuis l’annonce par l’équipementier américain de la fermeture de l’usine de Molex, près de Toulouse, par tous les moyens la direction tente de briser la combativité des salariés qui luttent depuis plusieurs mois pour le maintien du site et de tous les emplois.
Lundi 6 juillet, les 283 salariés de Molex (sous-traitant de PSA), à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne), ont décidé de cesser le travail de façon illimitée, afin d’empêcher la fermeture du site, prévue à la fin octobre.


Licence créative commons

Nos articles sont publiés sous licence Créative Commons. Voir les détails.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Molex

Molex

Dates clés 1938 : Création
Personnages clés Martin P. Slark, vice-directeur et CEO Liam G. McCarthy, président et COO
Action NASDAQ
Slogan one company a world of innovation
Siège social Lisle (Illinois)
États-Unis
Activité Électronique
Produits composants électroniques, interconnexion
Société mère Koch Industries
Effectif 32 400 (2006)
Site web www.molex.com [archive]

Chiffre d’affaires 2,86 milliards USD (2006)
modifiermodifier le codevoir wikidata Consultez la documentation du modèle

Molex (corp) (NASDAQ : MOLX [archive]) est un constructeur de composants électroniques pour les produits et systèmes d’interconnexion électrique et de fibre optique, les commutateurs, les circuits intégrés, l’outillage et autres.

Fondée en 1938, elle est détenue par Koch Industries. En 2009, elle couvre les cinq continents et a vendu pour plus de 2 milliards de dollars de produits. Fred Krehbiel et John Krehbiel, Jr., tous les deux petits-fils du fondateur, sont les principaux actionnaires de Molex.

Elle fournit des produits fabricant d’équipement d’origine (FEO) dans de nombreuses industries dont l’automobile, les machines de bureau, les produits de consommation, les équipements industriels, le pré câblage et les télécommunications. Elle vend plus de 100 000 produits au travers de ventes directes et par l’intermédiaire de distributeurs.

 

Histoire


La société a démarré en fournissant des pots de fleurs en plastique industriel appelé Molex. Elle a ensuite fourni des connecteurs pour General Electric et d’autres fabricants à partir du même plastique1.

Elle acquiert Woodhead Industries ce qui a constitué la plus grande acquisition de son histoire. En septembre 2013, elle est rachetée par Koch Industries pour 7,2 milliards de dollars2.

 

Connecteur Molex

Article détaillé : connecteur Molex.
170px-Molex1 dans Le Post
Les deux types de connecteur Molex.

En informatique, le connecteur Molex (ou connecteur Molex 8981-4P) est une prise d’alimentation électrique utilisée par certains périphériques internes d’un micro-ordinateur. En fait, il y a deux types de connecteurs couramment désignés sous le nom de Molex. Bien que la société Molex produise ces deux types de connecteurs, ce n’est pas le seul fournisseur de ce type de matériel.

Le premier est le connecteur de forme rectangulaire à 4 broches qui fournit du +12 V et du +5 V. Les fils jaunes et rouges fournissent respectivement le +12V et le +5V, tandis que le noir fournit la masse.

220px-Molex_scheme.svg dans Luraghi
Schéma du connecteur Molex à 4 broches.

Ce connecteur est utilisé dans les architectures d’ordinateurs comme les compatibles PC par exemple :


Le second, appelé mini Molex, est moins encombrant, tout en offrant également quatre broches. C’est un connecteur à verrouillage utilisé pour connecter des câbles sur des circuits imprimés ou pour les lecteurs de disquettes.

On trouve également des connecteurs à trois broches pour ventilateurs, également appelés Molex.

Molex en France


Molex s’est implantée en France en 2004 en rachetant deux sites, un bureau d’études à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines) et une usine à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne).

Ces deux sites avaient été cédés par la SNECMA peu avant sa fusion avec la SAGEM, ils appartenaient jusqu’en 2000 aux sociétés Cinch Connecteur et Labinal (intégré au groupe Safran depuis 2005, qui produit des connecteurs pour l’aéronautique et employait alors environ 600 personnes, et qui avait gardé une partie de la production)3.

L’usine de Villemur-sur-Tarn existait depuis 19324. La partie reprise par Molex employait 283 personnes en 2008 et fournissait principalement PSA, elle réalisait en 2008 1,2 million d’euros de bénéfices.

L’usine de Villemur-sur-Tarn a été fermée en 2009. Un projet de délocalisation en Chine et aux États-Unis était à l’étude. Les cogérants français, Marcus Kerriou et William Brosnan, ont présenté leur démission le jeudi 6 août 2009 suite à des heurts avec des salariés grévistes5, cédant la gestion à la direction américaine du groupe. Un médiateur ministériel, Francis Latarche, ancien directeur de DDTE a été nommé par Christian Estrosi, alors ministre de l’Industrie. Cette fermeture d’une usine bénéficiaire, et ces licenciements ont donné lieu à une longue procédure judiciaire menée par les salariés licenciés et leurs organisations syndicales, entre 2009 et 2014. Cela a donné lieu dans un premier temps à une succession de victoires judiciaires pour les anciens salariés de Molex, mais le 2 juillet 2014 la cour de cassation a donné un coup d’arrêt à cette série de victoires en cassant la décision qui qualifiait la Maison-mère américaine de « coemployeur » des 283 employés licenciés par la filiale française6. Toutefois, un arrêt rendu par la cour d’appel de Toulouse le 9 août 2016 (arrêt susceptible de pourvoi en Cassation sous deux mois) a jugé que le licenciement de 191 salariés était sans cause réelle ni sérieuse et leur accorde environ sept millions d’euros d’indemnités7. Sous réserve de l’éventuel pourvoi, c’est l’assurance de garantie des salaires et non la société Molex, qui prendra en charge cette indemnisation8.

Notes et références

  1. [1] [archive]
  2. Koch Industries to buy Molex for $7.2 billion [archive], Reuters, 9 septembre 2013
  3. Voir par exemple Le Monde du 12 août 2009 [2] [archive].
  4. L’Humanité du 26 août 2009 [3] [archive]
  5. Démission des dirigeants de Molex pour la France [archive] sur le site de Reuters
  6. Pratiques syndicales du droit [archive], vidéo documentaire en ligne, sur les pratiques syndicales du droit (CHS, unité de recherche CNRS / Université Paris1)
  7. Molex : le licenciement de 191 salariés jugé « sans cause réelle ni sérieuse » [archive], lemonde.fr, 9 août 2016
  8. Le licenciement des ex-Molex est jugé « sans cause réelle et sérieuse » [archive], Nathalie Birchem, la-croix.com, 9 août 2016

 

Voir aussi

 

Articles connexes

 

Liens externes

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire