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mardi 26 février 2019

Le gouvernement veut diminuer l'indemnisation du chômage pour les cadres : pourquoi ?


L’emploi des cadres serait au meilleur niveau; percevant des « salaires très élevés », ils bénéficieraient aussi d’une « très forte employabilité » – laquelle ? « qui peut le plus peut le moins » ?

En tous les cas, voilà comment le gouvernement entend justifier une réforme dont les syndicats ne veulent pas, en lui opposant d’excellents arguments :

« À chaque fois qu’on baisse l’indemnisation des demandeurs d’emploi, on baisse leur capacité à retrouver du travail. […] Il y a un sujet sur les cadres mais l’indemnisation dégressive, je crois que c’est mettre le doigt dans un système qui n’a jamais prouvé son efficacité. »

Et la démarche du gouvernement est « populiste sans aucune piste d’économies sérieuse ».

Il est certain que si l’emploi des cadres est au meilleur niveau, le nombre de ceux d’entre eux qui restent sans emploi est aussi au plus bas niveau, et leur indemnisation globale itou.

Cependant, individuellement, chacun d’entre eux conserve, tout au moins tant qu’il est indemnisé au taux fort, un certain pouvoir de nuisance à l’encontre de son ancien employeur en cas de licenciement injustifié ou très conflictuel, voire, le cas échéant, de démission forcée pour cause de harcèlement moral ou d’agressions graves…

Il s’agit là d’un problème crucial pour les patrons voyous et tous leurs complices fonctionnaires CORROMPUS ainsi que leurs miliciens de l’extrême-gauche, dont, naturellement, la mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ceux qu’elle a pu mobiliser pour anéantir toute ma famille.

En effet, comment peut-on contraindre une femme ingénieur à se prostituer, alors que même au chômage elle « touche » encore plus d’un SMIC et peut ainsi se permettre de recourir aux services d’un avocat contre ses harceleurs ou consacrer un certain temps à se défendre elle-même ?

C’est une question à laquelle les fonctionnaires brestois ultra CORROMPUS au service de mes anciens employeurs voyous, proxénètes et trafiquants d’armes, avaient répondu très tôt à coups de redressements fiscaux arbitraires contre plusieurs de mes proches et moi-même, afin, d’une part, de me reprendre illégalement par ce biais toutes mes allocations de chômage et autres ressources possibles, et d’autre part, d’empêcher mes proches de m’aider financièrement. Leurs attaques au portefeuille, toujours avec les mêmes objectifs, ne se limitaient pas à ces vols purs et simples par des complices disposant de la puissance publique pour faire ce qu’ils veulent en toute impunité, elles étaient en fait multiformes et se sont répétées à de multiples reprises au cours des trois dernières décennies du fait que je résistais et ne me prostituais toujours pas. Bien évidemment, cela a encore recommencé alors que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest me faisait publiquement passer pour une prostituée avec l’aide de son complice le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi tout en me faisant harceler sexuellement par d’autres complices dans la « vraie vie » alors même qu’elle me faisait aussi poursuivre pour avoir osé publier des démentis et droits de réponse à la suite de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre…

Supprimer leurs allocs à tous ces cadres devenus subitement très dérangeants serait quand même beaucoup plus simple et éviterait de devoir recourir à une multitude de complices qu’il faut corrompre pour au final laisser des traces tangibles de quantité d’exactions attestant d’un harcèlement certain…



https://www.bfmtv.com/economie/edouard-philippeil-faut-revoir-les-regles-d-indemnisation-de-l-assurance-chomage-pour-les-salaires-eleves-1640223.html

Edouard Philippe: il faut « revoir » les règles d’indemnisation de l’assurance chômage pour « les salaires élevés »

26/02/2019 à 09h36 Mis à jour le 26/02/2019 à 09h41

Edouard Philippe
Le Premier ministre Edouard Philippe. – AFP 
 

L’Etat vient de reprendre la main sur la réforme de l’assurance chômage. Le Premier ministre et la ministre du Travail ont présenté ce mardi la méthode et le calendrier qu’ils vont adopter.



Après l’échec des négociations entre les partenaires sociaux, qui ont buté sur l’instauration d’un bonus-malus pour lutter contre l’abus des contrats courts, le gouvernement a repris la main sur la réforme de l’assurance chômage.

Edouard Philippe et Muriel Pénicaud ont tenu une conférence de presse ce mardi pour présenter la méthode et le calendrier de cette réforme. Des décisions seraient prises « au printemps » sur ce dossier, avant la publication d’un décret « pendant l’été ». La concertation débutera cette semaine.

Le Premier ministre a pointé un paradoxe français: les règles de l’assurance chômage indemnisent dans le même temps à un niveau bien supérieur en Europe alors que l’emploi des cadres est au meilleur niveau. C’est pourquoi Edouard Philippe estime qu’il faut « revoir » ces règles de l’assurance chômage pour « les salaires élevés ».

>> Plus d’informations à suivre…



https://www.bfmtv.com/economie/le-gouvernement-envisage-de-toucher-aux-allocations-chomage-des-cadres-1639798.html

Le gouvernement envisage de toucher aux allocations chômage des cadres


25/02/2019 à 10h17

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La ministre du Travail, Muriel Pénicaud. – Éric Feferberg – AFP

L’exécutif réfléchit à instaurer la dégressivité des indemnités pour les cadres, voire un plafonnement de leurs allocations, selon une information des Échos.



Alors qu’il a repris la main sur la réforme de l’assurance chômage après l’échec des négociations entre les partenaires sociaux, le gouvernement commence à étudier plusieurs pistes pour faire des économies. Parmi elles, la révision des règles de l’assurance chômage des cadres, révèlent Les Échos.

Déjà en septembre, le Premier ministre Édouard Philippe et la ministre du Travail Muriel Pénicaud avaient émis l’idée d’instaurer la dégressivité des indemnités pour les cadres. Le locataire de Matignon envisageait notamment une diminution des allocations dans le temps pour ceux qui perçoivent des « salaires très élevés » ou qui bénéficient d’une « très forte employabilité », rappellent Les Échos. Une proposition qui n’avait finalement pas été retenue par les syndicats et le patronat.

Le plafonnement des allocations chômage à l’étude


Le gouvernement étant désormais à la manœuvre, la mesure pourrait revenir sur le tapis. Il envisagerait par ailleurs de plafonner les allocations chômage des cadres. Actuellement, les contributions à l’assurance chômage sont appliquées aux salaires bruts dans la limite d’un seuil fixé à quatre fois le plafond de la Sécurité sociale. Autrement dit, un allocataire ne peut pas percevoir plus de 7700 euros par mois environ.

Or, l’exécutif réfléchit à abaisser ce plafond, arguant que ce dernier est le plus élevé d’Europe. D’après l’Unédic, réduire le plafond à 3 fois celui de la Sécurité sociale (5775 euros) permettrait de réaliser 137 millions d’euros d’économies par an, sur un total de 34 milliards d’euros. Un abaissement de ce même plafond à 2,5 fois celui de la Sécurité sociale (4800 euros) dégagerait 285 millions d’euros.

« Opportunisme »


Sur France 2, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, s’est opposé ce lundi à une diminution des allocations chômage des cadres, expliquant être favorable à un « système de dégressivité pour aucun chômeur indemnisé ». « À chaque fois qu’on baisse l’indemnisation des demandeurs d’emploi, on baisse leur capacité à retrouver du travail. […] Il y a un sujet sur les cadres mais l’indemnisation dégressive, je crois que c’est mettre le doigt dans un système qui n’a jamais prouvé son efficacité », a-t-il ajouté.

De son côté, la CFE-CGC, syndicat de l’encadrement, s’est également opposé à un tel projet. Son secrétaire national, Jean-François Foucard, a dénoncé « l’opportunisme » de l’exécutif. Sur RTL, François Hommeril, président du syndicat, a pour sa part qualifié la démarche du gouvernement de « populiste sans aucune piste d’économies sérieuse ».

Paul Louis

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