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vendredi 1 février 2019

Comment le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a tenté de me faire interner


Au mois de septembre dernier, j’ai commencé à évoquer mes deux confrontations de septembre et novembre 2016 au Palais de Justice de Paris avec cet individu qui me harcèle, me calomnie, m’a menacée de tout et viole continuellement l’intimité de ma vie privée de toutes les manières possibles et imaginables depuis 2008, et me suis mise très récemment à rentrer dans le vif du sujet en publiant une pièce extraite de l’assignation à comparaître devant le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris qui m’avait été délivrée le 12 juillet 2016 à sa demande – car en effet, c’est bien lui, coupable d’innombrables exactions à mon encontre, qui a tenté à de multiples reprises de me faire par-dessus le marché poursuivre et condamner, moi sa victime, pour des faits imaginaires que j’aurais commis à son encontre, après avoir également vainement tenté de me faire interner sur la base d’inventions calomnieuses similaires ou identiques.

C’est cet article de dimanche dernier, 27 janvier 2019, où j’ai donc publié la Pièce N°5 extraite de cette assignation :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/01/27/attentats-de-janvier-2015-a-paris-elements-de-preuves-pour-confondre-le-terroriste-pascal-edouard-cyprien-luraghi/

Je poursuis en publiant ci-dessous la Pièce N°4 extraite de la même assignation, ainsi que la Pièce N°21 extraite de la très longue réponse que je lui avais faite pour ce premier procès à Paris – car contrairement à ce qu’il a écrit et publié sur son blog par la suite, je ne m’étais pas contentée de « délirer » sur mes « thèmes habituels » devant la juge et sa greffière à l’audience du 8 novembre 2016, j’avais déposé des conclusions assorties de très nombreuses pièces justificatives que son avocat avait reçues la semaine précédant l’audience initiale, fixée au 13 septembre 2016.

Cette nouvelle pièce produite contre moi par Pascal Edouard Cyprien Luraghi afin qu’elle édifie le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris est une lettre dont il est lui-même l’auteur et qu’il avait adressée à Monsieur le procureur de la République de Brest le 14 novembre 2013.

Il lui écrivait alors dans son français très approximatif que je l’aurais toujours diffamé sur Internet à compter du mois de mars 2010, d’abord sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog jusqu’au 12 juin 2013, puis sur le blog dénommé « Puy-l’Evêque » à compter du mois de mai 2013 – c’est le blog dont il est déjà question dans sa pièce N°5 et qu’il m’a toujours attribué de manière gratuite.

L’on notera qu’il affirme alors que mon premier blog aurait été « supprimé le 12 juin de cette année, suite à un jugement rendu par le TGI de Brest le 11 juin dans une affaire l’opposant à Mme Josette BRENTERCH. »

Or, comme il l’a bien écrit à son interlocuteur de chez Google le 5 août 2013 à 2h31 (cf. sa Pièce N°5 précédemment publiée sur ce blog), il sait pertinemment que ce blog a été « suspendu par son hébergeur OverBlog ».

Il aurait pu être effectivement supprimé, et par moi-même plutôt que par l’hébergeur, cela ne faisait aucune différence pour toute personne tentant d’y accéder.

Cependant, il avait bien été suspendu par l’hébergeur OverBlog qui m’avait avertie par mail de sa décision et de ses motifs, informations qui n’avaient jamais été divulguées auprès de tiers par aucune des deux seules personnes à les connaître, lui et moi. Le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’y avait eu accès que grâce à ses piratages informatiques à mon encontre.

Il est ainsi avéré qu’il me piratait toujours en 2013. Mais de toute façon, on voit mal pour quelles raisons il aurait brutalement cessé de le faire alors que la « justice » brestoise avait décidé en toute connaissance de cause de le laisser poursuivre toutes ses exactions à mon encontre, ce que bien entendu il n’ignorait pas – il a toujours été prévenu des décisions des magistrats brestois nous concernant avant même qu’elles n’aient été finalisées et signées.

Je rappelle ici qu’il m’a toujours piratée depuis l’année 2008 au moins et que j’avais porté plainte pour ces faits – et bien d’autres – à compter de l’année 2010 en produisant notamment, dès le mois de juillet 2011, une pièce qui ne laissait plus planer aucun doute à ce sujet, celle-ci que j’avais reçue par La Poste au mois de juin 2011 et pris la peine de faire authentifier par le pirate et ses complices en la publiant immédiatement sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (ils m’avaient alors publiquement accusée de les avoir piratés pour obtenir ces échanges de mails entre eux qui n’étaient donc nullement des faux) :


Pirates

Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.


Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices harceleurs de la première heure, en 2008, me pirataient donc bien comme je m’en étais très tôt rendu compte, mais ils ne s’en cachaient pas beaucoup et m’avaient en fait toujours harcelée / narguée avec des éléments de ma vie privée ainsi volés en sachant toutes les difficultés pour les victimes de tels faits d’en établir la preuve.

J’y parvenais néanmoins à l’aide de tout un ensemble d’éléments probants dont cette pièce décisive et particulièrement éclairante que j’avais obtenue de façon inattendue, véritablement inespérée, en juin 2011, et sitôt communiquée au procureur de la République de Brest qui dès lors ne pouvait plus prétendre que je n’aurais pas été piratée par mes harceleurs et calomniateurs publics comme je m’en plaignais, ou que les éléments de preuves que je lui présentais à ce sujet eussent été insuffisants.

Les mêmes pièces étaient de nouveau communiquées par mes soins avec bien d’autres tout aussi probantes aux juges d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Brest à compter du mois de février 2012, et ce dans les différents dossiers nous concernant : les plaintes de mes harceleurs à mon encontre, notamment la fameuse procédure engagée à compter d’août 2011 par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest au moyen de plaintes toutes nulles et irrecevables, laquelle se poursuivra néanmoins de manière hallucinante et totalement illégale jusqu’au procès en 2013, avec condamnation tout aussi illégale en première instance à Brest le 11 juin 2013, et relaxe définitive pour OverBlog et moi-même en appel à Rennes le 2 décembre 2015; et bien sûr mes propres plaintes ou procédures contre eux pour des faits délictueux bien réels et non imaginaires comme tous ceux dont ils m’accusaient, toujours mensongèrement.

Tous les magistrats brestois concernés étaient ainsi bien informés lorsqu’au printemps 2013 ils s’étaient réunis pour discuter de la décision qu’ils allaient prendre le 11 juin 2013 à la suite de l’audience publique du 9 avril 2013.

Or, pour justifier une condamnation reprenant mot pour mot et au chiffre près toutes les prétentions, mensongères en ce qui concerne les faits et parfaitement délirantes du point de vue du droit, de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre et contre mon hébergeur de blog OverBlog, ils avaient décidé de soutenir exactement le contraire de ce qu’ils savaient tous pertinemment, à savoir que mes plaintes contre cette femme et ses complices n’étaient pas « objectivement délirantes » ou « dénuées de tout fondement », mais au contraire parfaitement justifiées par de très nombreux éléments de preuves.

Mon avocat d’alors m’avait dit que sa plaidoirie n’avait pu porter ses fruits en raison de ces plaintes – c’est l’écho qu’il avait eu de cette réunion apparemment bien plus large que celle légalement prévue. Selon lui, les magistrats brestois avaient en fait décidé de me condamner parce que je m’étais plainte de leurs protégés pour de nombreux délits dont ils connaissaient bien tous la réalité.

Ces magistrats sont tous CORROMPUS. C’est ce qui dicte en priorité toutes leurs décisions.

Pour le procès en appel, mon avocat rennais plaidera, outre l’annulation de la procédure comme son collègue du barreau de Brest en première instance, une exception de bonne foi s’appuyant notamment sur les nombreux éléments de preuves que j’avais versés à la procédure dès 2012, comme le mentionne bien l’arrêt de la Cour d’Appel de Rennes du 2 décembre 2015, que le cyberdélinquant et calomniateur Pascal Edouard Cyprien Luraghi a illégalement exposé à la vue de son public à compter de mars 2016.

Les magistrats brestois disposaient bien de ces mêmes éléments pour établir leur jugement.

Mon avocat brestois avait choisi, quant à lui, à la toute dernière minute, et contrairement à ce qui avait toujours été convenu entre nous jusqu’à la veille du procès, de ne produire aucune pièce et ne faire état d’aucun de mes éléments de preuve contre la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest dans sa plaidoirie du 9 avril 2013. Il a laissé cette femme et son avocat David Rajjou développer autant qu’ils l’auront voulu une somme incroyable d’inventions calomnieuses à mon encontre, sans jamais les contrarier ne serait-ce qu’un tout petit peu, alors que nous disposions de toutes les pièces nécessaires à cet effet, et pour cause : Josette Brenterch n’a jamais cessé de mentir et d’inventer absolument n’importe quoi pour me calomnier, à tel point qu’elle s’était elle-même contredite à plusieurs reprises au cours de la procédure, sa version des faits ayant énormément évolué entre ses premières déclarations et les dernières.

Aussi, nous nous sommes séparés au cours de l’été 2013 en raison de cette profonde divergence de vue sur le dossier – c’est un euphémisme… et je suis discrète et super gentille, comme toujours…

Tous les protagonistes du procès de Brest savaient donc parfaitement bien que je n’avais toujours dit que la vérité et pouvais de plus le prouver, puisque je le faisais déjà, autant pour justifier mes propres plaintes contre mes harceleurs Josette Brenterch, Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Jean-Marc Donnadieu et autres « déconnologues », que pour me défendre contre leurs accusations mensongères et tentatives d’escroqueries au jugement.

Quant aux cyberdélinquants eux-mêmes, le « Konducator » Pascal Edouard Cyprien Luraghi en tête, il est bien évident qu’ils ont toujours su toutes mes plaintes à leur encontre parfaitement justifiées et certainement pas « infondées » ni « délirantes ».

C’est pourquoi il est intéressant que le public puisse prendre toute la mesure de leur cynisme à travers un texte comme celui de la pièce N°4 du susdénommé pour sa procédure parisienne à mon encontre, à savoir une lettre qu’il avait adressée à mon sujet au procureur de la République de Brest le 14 novembre 2013.

Elle est suivie de ma Pièce N°21 en réponse, soit une lettre recommandée avec accusé de réception que j’avais adressée le 15 juillet 2016 au psychiatre brestois Michel Walter avec lequel Pascal Edouard Cyprien Luraghi écrivait au procureur de la République de Brest avoir entretenu une correspondance à mon sujet entre 2010 et 2013.

Enjoy !








































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