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mardi 8 janvier 2019

Festival de rumeurs un mois après l'attentat de Strasbourg


Ce festival n’est pas plus étonnant que le message audio de Fabien Clain diffusé le 28 décembre.

Voir ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/01/02/quand-fabien-clain-vole-au-secours-de-pascal-edouard-cyprien-luraghi/

Les revendications publiques des commanditaires de l’attentat n’ayant jamais été aussi claires que cette fois-ci, comme je l’ai déjà fait remarquer à plusieurs reprises à mes trop rares lecteurs, nombre de leurs complices, notamment ceux de l’extrême-gauche, sont évidemment tentés de noyer la réalité sous un déluge de rumeurs et fake-news à l’usage tout à fait semblable à celles auxquelles je suis moi-même confrontée de leur part depuis qu’en 2008 je me suis révélée comme victime de harcèlement moral en entreprise dans quelques commentaires anonymes assez vagues sur le site Rue89 : l’intégralité de mon passé professionnel est depuis totalement niée par tous ceux qui ont intérêt à soutenir que je n’aurais jamais été harcelée dans le travail, tout comme l’est aussi par les mêmes criminels la réalité de ma personnalité.

Même chose pour l’attentat de Strasbourg, donc : si ce n’est pas un attentat, il n’a évidemment aucun commanditaire…


https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/attaque-de-strasbourg-le-festival-des-rumeurs-pres-d-un-mois-plus-tard-1546966325

DOSSIER : Attentat mortel à Strasbourg sur le marché de Noël 

Attentat de Strasbourg : un mois après, le festival des rumeurs


mardi 8 janvier 2019 à 18:29 Par Olivier Vogel, France Bleu Alsace et France Bleu Elsass

Près d’un mois après l’attaque du 11 décembre, l’instruction se poursuit. Plusieurs éléments indiquent qu’il s’agit bel et bien d’un attentat mais des rumeurs insistantes, notamment sur les réseaux sociaux, évoquent plutôt un règlement de comptes.

Strasbourg Hommage aux victimes de l'attaque du 11 décembre 2018 rue des Orfèvres,où sont tombées les premières victimes
Strasbourg Hommage aux victimes de l’attaque du 11 décembre 2018 rue des Orfèvres,où sont tombées les premières victimes © Radio France – Corinne Fugler

Strasbourg, France


Tous les éléments semblent aujourd’hui tendre vers la thèse de l’attentat selon des sources proches de l’enquête : le mode opératoire, le contexte du marché de Noël, la diversité des victimes, un serment d’allégeance à l’état islamique retrouvé sur une clé USB de l’assaillant qui a hurlé « Allahu Akbar » en ouvrant le feu, cela n’empêche pas les rumeurs de grossir.

La dernière en date : il ne s’agirait pas d’un attentat mais d’un règlement de comptes entre l’assaillant et l’une des cinq victimes décédées, un strasbourgeois d’origine afghane. Des rumeurs qui pour le sociologue des médias, Pascal Froissart, n’ont rien d’anormal, puisque l’instruction n’est pas close.


Des rumeurs qui n’apparaissent pas par hasard


« L’enquête est encore en cours, le temps judiciaire est toujours en décalage avec le temps médiatique, ce qui laisse place à des tas de suppositions et cela donne naissance à un certain nombre de théories alternatives, de rumeurs, de fake-news » explique Pascal Froissart.

Pour le maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, enseignant à l’université de Paris 8, ces informations n’apparaissent pas au hasard, elle circulent dans des réseaux balisés, politiques, syndicaux ou gilets jaunes par exemple. D’ailleurs au lendemain du 11 décembre, sur les réseaux dits sociaux, certains gilets jaunes avaient accusé Emmanuel Macron d’avoir organisé l’attaque.


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