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vendredi 16 novembre 2018

5 mars 2018 : Pascal Edouard Cyprien Luraghi soutient que je ne suis pas folle


J’en ai déjà parlé dans mon précédent article et le souligne ici parce que c’est quand même assez fort : oui, après m’avoir traitée de « folle » quasiment quotidiennement dans tous ses écrits publics me concernant durant une dizaine d’années, après m’avoir fait passer pour un « cas lourd psychiatrique » auprès d’innombrables personnes sur et hors Internet durant dix ans, après avoir même tenté à de multiples reprises de me faire interner en psychiatrie (lui et son épouse Annie Belléculée Luraghi ont bien harcelé à ce sujet durant plusieurs années : un chef de service de l’hôpital psychiatrique de Bohars, jusqu’à lui envoyer des lettres recommandées avec accusé de réception, le procureur de la République de Brest, le maire de Brest et le sous-préfet de Brest, rien que ça…), le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a finalement soutenu à l’audience du 5 mars 2018 devant la Cour d’Appel de Paris… que je ne suis point folle…

Enfin, plus exactement, son avocat l’a fait en son nom. Lui-même n’était pas là. Peut-être son représentant lui avait-il demandé de ne pas venir pour éviter qu’il ne s’en étrangle ou ne pète un câble devant les juges, ou peut-être pas, je n’en sais rien. En tous les cas, contre toute attente, c’est bien ce qu’il a plaidé ce jour-là, tandis que de mon côté je soutenais aussi depuis le début, certificats médicaux à l’appui, n’être atteinte d’aucun trouble mental, contrairement à ce que M. Luraghi et ses divers complices affirmaient tous à mon sujet depuis dix ans – et beaucoup plus longtemps pour ce qui est de leur « source » de soi-disant « informations » me concernant, la calomniatrice Josette Brenterch du NPA de Brest.

De quel crédit peuvent-ils encore se prévaloir aujourd’hui ?

Aucun.

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