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samedi 26 novembre 2016

De l'inspiration des auteurs du crypto-rançonneur Locky...


Il suffit de savoir que Locky a un frère nommé Bart et autre Thor pour comprendre qu’il ne s’agit pas tout à fait de la mythologie nordique mais de la bande des super potes à Hulk, celle des déconnologues, en somme.

Or, comment ne pas reconnaître le cybercriminel et malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi dans le personnage de Loki ?


https://www.globalsecuritymag.fr/Proofpoint-Le-nouveau-ransomware,20160704,63458.html

Proofpoint : Le nouveau ransomware Bart provient des acteurs propageant les menaces Dridex et Locky


juillet 2016 par Proofpoint

Les acteurs qui se cachent derrière Dridex 220 et Locky Affid=3 ont lancé un nouveau ransomware appelé « Bart », qu’ils téléchargent sur HTTPS au moyen du malware RockLoader. Bart affiche un écran de paiement similaire à Locky mais il crypte les fichiers sans se connecter au préalable à un serveur de commande et contrôle (C&C).

Le 24 juin, les chercheurs de Proofpoint ont détecté une vaste campagne de pièces jointes Zip contenant du code JavaScript. Si celles-ci sont ouvertes par le destinataire, elles téléchargent et installent le chargeur intermédiaire RockLoader (précédemment découvert par Proofpoint et utilisé avec Locky), qui télécharge à son tour le nouveau ransomware dénommé « Bart ». Les messages envoyés dans le cadre de cette campagne sont intitulés « Photos » et accompagnés d’une pièce jointe « photos.zip », « image.zip », « Photos.zip », « photo.zip », « Photo.zip » ou « picture.zip ». Les fichiers Zip contiennent un document JavaScript, par exemple « PDF_123456789.js ».

De l'inspiration des auteurs du crypto-rançonneur Locky... dans AC ! Brest premiere
Figure 1 – E-mail contenant le code JavaScript compressé en Zip et diffusant le ransomware Bart

Pour informer la victime que son système est infecté et que ses fichiers sont cryptés, ce ransomware crée deux sortes de fichiers, similaires à de nombreux autres types de ransomware. Plus précisément, il insère un document « recover.txt » dans des dossiers multiples et remplace l’image de fond d’écran du bureau par celle du fichier « recover.bmp » (Figure 2).

2-31 dans Action Directe
Figure 2 – Fond d’écran remplacé par l’image recover.bmp

3-15 dans Attentats
Figure 3 – L’ordinateur est parsemé de fichiers recover.txt

Avant d’écrire les fichiers « recover », le malware détermine la langue du système de l’utilisateur. Il dispose de traductions en français, italien, allemand et espagnol. Il se fie également à la langue du système pour éviter d’infecter les utilisateurs russes, ukrainiens et biélorusses. Cette première campagne paraît viser dans une large mesure des intérêts américains mais, compte tenu de la dimension mondiale du ciblage de Locky et Dridex et des traductions disponibles pour les fichiers « recover », nous ne pensons pas que Bart va se cantonner à cette région du monde.

4-9 dans Calomnie
Figure 4 – Bart ne se lance pas s’il découvre que la langue du système de l’utilisateur est le russe, l’ukrainien ou le biélorusse et il vérifie quelques autres langues, probablement afin de déterminer celle dans laquelle le message de demande de rançon doit s’afficher.

Après cryptage, une extension « .bart.zip » est ajoutée au nom des fichiers cryptés. Un rapide examen confirme qu’il s’agit bien d’archives Zip cryptées. Voici la liste des types de fichiers cryptés par
Bart : 7-5 dans Corruption

Le message de demande de rançon exhorte l’utilisateur à se rendre sur un portail de paiement pour y verser 3 bitcoins (un peu moins de 2000 dollars au taux de conversion actuel). Le portail de paiement est similaire à celui utilisé par Locky (Figures 5 et 6). Visuellement, seul le titre « Decryptor Bart » est différent, venant se substituer à « Locky Decryptor ». Si les portails de paiement de Locky et Bart sont visuellement identiques, le code du nouveau ransomware est largement distinct de Locky.

1-112 dans Crime
Figure 5 – Portail de paiement du ransomware Bart

derniere dans Folie
Figure 6 – Portail de paiement du ransomware Locky

Actuellement nous sommes encore en train d’étudier les autres détails techniques du fonctionnement de Bart. Celui-ci ne paraît pas disposer d’un mécanisme de communication réseau avec un serveur C&C. Il est probable que les informations nécessaires sur la machine infectée soient plutôt transmises au serveur de paiement dans le paramètre « id » de l’URL. Le malware utilise le programme open source WProtect pour la virtualisation du code.

En résumé, les caractéristiques reliant jusqu’ici le ransomware Bart aux acteurs qui propagent Dridex 220 et Locky Affid=3 sont les suivantes : _• Même mécanisme de diffusion par e-mail (titre et corps du message, pièces jointes JavaScript compressées en Zip téléchargeant RockLoader qui télécharge à son tour la charge malveillante finale).

• Message de demande de rançon similaire à Locky.
• Portail de paiement similaire à Locky.
• Le serveur RockLoader hébergeant la charge malveillante Bart héberge également Locky affid=3 (MD5 : 3d2607a7b5519f7aee8ebd56f2a65021) et Dridex 220 (MD5 : ed4191e07f49bbe60f3c00a0b74ec571).
• Une partie du code est partagée ou similaire entre Locky et Bart, par exemple celle qui modifie l’image de fond d’écran du bureau de l’utilisateur.

Conclusion
Alors que nous étudions encore les détails techniques de ce nouveau ransomware, les liens entre Bart et Dridex/Locky sont non négligeables. Cependant, du fait que Bart n’a pas besoin de communiquer avec une infrastructure C&C avant de crypter les fichiers, celui-ci est peut-être en mesure de s’attaquer à des PC protégés par des firewalls d’entreprise qui bloqueraient ce type de trafic. Les entreprises doivent donc veiller à bloquer Bart au niveau de la passerelle de messagerie, au moyen de règles de filtrage des fichiers exécutables compressés en Zip. Nous allons continuer à surveiller et analyser Bart à mesure qu’apparaissent des campagnes et détails supplémentaires.


https://lesvirus.fr/le-virus-rancongiciel-thor/

Le virus rançongiciel Thor. Comment supprimer? (Guide de désinstallation)


Olivia Morelli – - 2016-11-04 | Type : Les Floodeurs

Un autre successeur de Locky : le rançongiciel Thor

Il semble que le projet du rançongiciel Locky (Locky ransomware project) prend de l’ampleur chaque jour – une autre version dénommée le virus Thor a été détecté. Ce rançongiciel diffère légèrement des autres versions de Locky et, à la différence de Locky, il dépose les fichiers  _WHAT_is.html et _WHAT_is.bmp après avoir crypté les données de la victime. Pour rendre les fichiers de la victime inaccessibles, il utilise une combinaison de chiffrement RSA et AES, déforme la structure de chaque fichier et ensuite brouille le nom du fichier en y ajoutant l’extension de fichier .thor. Le pire c’est que ce virus est programmé pour chercher plus de 400 extensions de fichiers différents et pour crypter tous ces fichiers, en conséquence, il est peu probable que des fichiers du système restent non cryptés par ce virus. Cette variante de rançongiciel a été découverte juste après le virus à extension de fichier .perl, lequel est aussi lié à la famille des virus Locky, Zepto, Odin et Bart.

L’objectif du rançongiciel Thor est de rendre les fichiers inaccessibles et d’obliger les victimes à payer la rançon. Le virus exige environ 0.50 Bitcoin pour restituer les fichiers de la victime, et cette somme équivaut à  330 USD. La note de rançon que le virus Thor laisse dans le système compromis explique à la victime comment télécharger le navigateur Tor, lequel est requis pour accéder au site de paiement de la rançon. Le site de paiement demande d’entrer le code d’identité personnel qui est présenté dans la note de rançon ou d’entrer le nom d’un des fichiers cryptés. Si vos fichiers ont éte compromis par ce rançongiciel, vous avez deux options : envoyer votre argent aux cybers criminels et attendre qu’ils vous fournissent le logiciel de décryptage (ce qui n’est pas sûr d’arriver) ou supprimer le virus Thor en utilisant un outil anti-malware et en restaurant vos fichiers à partir d’une sauvegarde. Si vous n’avez pas de sauvegarde, nous craignons qu’il ne soit pas possible de restaurer les données corrompues, mais vous pouvez néanmoins essayer d’utiliser certaines techniques de récupération décrites au bas de cet article. Si vous n’avez encore aucun programme anti-logiciel malveillant pour protéger votre ordinateur, nous vous conseillons d’utiliser Reimage.

Thor ransomware belongs to Locky malware family

Comment ce virus se propage ?

Toutes les versions du virus Locky utilisent à peu près les mêmes méthodes pour s’infiltrer dans les ordinateurs des victimes. Certains parmi eux sont distribués par des emails malveillants, d’autres infectent les ordinateurs ciblés avec l’aide des kits d’exploits, et d’autres encore se propagent par les annonces publicitaires chargées de malwares. Le rançongiciel Thor arrive généralement sous la forme de fichiers .vbs, .dll, .zip, .js, .hta ou .doc, et ces fichiers peuvent être exécutés involontairement. Cela n’a rien de surprenent, car ces fichiers n’ont pas un aspect suspect. Malheureusement, les ordinateurs non protégés ne sont pas en mesure de lutter contre les attaques des rançongiciels, dès lors, ils ne peuvent que subir l’infection. Comme nous l’avons dit plus haut, il n’y a aucun moyen de réparer les dommages causés par les ransomwares, à moins que la victime n’ait sauvegardé ses données dans un périphérique de stockage externe. Si c’est le cas, la victime peut donc utiliser son outil de sauvegarde pour restaurer ses fichiers immédiatement après la procédure de suppression.

Comment supprimer le rançongiciel Thor ?

Si votre PC a été attaqué, vous devez supprimer complètement le virus Thor et protéger votre système avec un outil anti-malware adapté. Si vous n’avez pas de sauvegarde, vos fichiers ne seront pas récupérés et vous êtes libre de décider si vous devez ou non payer la rançon. Rappelez-vous cependant qu’en payant la rançon, vous prenez le risque de perdre votre argent de la même façon que vous avez perdu vos fichiers. Pour supprimer Thor, utilisez un logiciel anti-malware, mais avant, démarrez votre système en Mode sans Échec avec mise en réseau.



https://fr.wikipedia.org/wiki/Loki_(Marvel_Comics)

Loki (Marvel Comics)

image illustrant les comics
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Loki
Personnage de fiction apparaissant dans
Thor.


 


Tom Hiddleston dans son rôle de Loki au Comic Con.
Tom Hiddleston dans son rôle de Loki au Comic Con.
 

Alias Loki fils d’Odin Loki Laufeyson (nom de naissance) Dieu du mensonge et de la duperie Dieu du Mal Dieu de la traîtrise Loki Odinson (nom d’adoption)
Naissance Jötunheim
Sexe Masculin
Espèce Asgardien
Cheveux Noirs
Yeux Verts
Activité Dieu de la Tromperie
Pouvoirs Force surhumaine, Pouvoirs divins, Pouvoir extra-dimensionnel, Métamorphisme
Armes Feu et Vent
Sceptre
Famille Laufey (père, décédé) Farbauti (mère) Odin (père adoptif) Thor (demi-frère adoptif) Frigga (mère adoptive) Balder (frère adoptif) Sigyn (épouse, séparée) Sylene (fille) Hela (fille présumée)
Affiliation Dormammu L’Enchanteresse Surtur

Créé par Stan Lee, Jack Kirby et Larry Lieber
Interprété par Tom Hiddleston
Films Hulk Vs Thor Thor Avengers Thor : Le Monde des ténèbres
Séries The Marvel Super Heroes Spider-Man and His Amazing Friends
Première apparition Journey into Mystery vol.1 #85 (1962)
Éditeurs Marvel Comics
modifier Consultez la documentation du modèle

Loki est un super-vilain appartenant à l’univers de Marvel Comics. Créé par Stan Lee, Jack Kirby et Larry Lieber, il apparaît pour la première fois dans le comic book Journey into Mystery #85 (octobre 1962). Il est inspiré de son homologue dans la mythologie nordique, une première adaptation de Loki, différente du personnage actuel, était apparue dans Venus #6, publié par Timely Comics en août 1949. Le personnage de fiction actuel tient le rôle du pire ennemi de son demi-frère Thor. Il est tué par Void (Sentry) alors qu’il tente de défendre Asgard, dans le comic book Marvel Siege.

Sommaire

Historique de publication


Lors de sa première apparition dans Venus #6, la première version de Loki était présentée de manière erronée comme une divinité olympienne bannie dans le royaume d’Hadès. Son origine a été redéfinie dans Journey into Mystery #85 par ses créateurs, Stan Lee et son frère Larry Lieber, et son apparence modifiée par Jack Kirby.

En 2004, le personnage a une mini-série de quatre numéros intitulée Loki et scénarisée par Robert Rodi et dessiné par Esad Ribic.

En février 2014, Loki va être le protagoniste principal de la série Loki: Agent of Asgard. Son scénariste Al Ewing a révélé que Loki est bisexuel et que de temps en temps dans la série, il changerait de sexe1.

Biographie fictive


Loki est le fils de Laufey, le roi des géants des glaces de Jotunheim, qui mourut lors d’un combat contre Odin, roi des Dieux d’Asgard. Ce dernier décida d’adopter Loki, et l’éleva aux côtés de son fils biologique, Thor.

Tout au long de son enfance, Loki ne put jamais se faire à sa famille d’adoption. Les Asgardiens valorisaient avant tout le courage, la force et les prouesses martiales, des qualités où Thor le dépassait de très loin. Les talents de Loki reposaient quant à eux dans d’autres domaines, notamment la ruse et la magie. Il se plongea donc dans les arts mystiques, et devint le Dieu des Mensonges et de la Tromperie. Sa jalousie pour Thor se mua en haine au fil des années, au point qu’il en vint à souhaiter la mort de son frère adoptif. Ses machinations prirent de plus en plus une tournure machiavélique et dangereuse, au point qu’il passa du surnom de Dieu du Mensonge à celui de Dieu du Mal.

Peu après l’exil de Thor sur Terre, Loki vint à apprendre par hasard que son demi-frère avait retrouvé la mémoire, et menait à présent une carrière de super-héros sur Terre. Décidé à lui nuire, il effectua plusieurs visites sur Terre, et intrigua à plusieurs reprises, créant plusieurs nouveaux super-vilains destinés à combattre Thor. L’une de ses ruses, visant à mener Thor dans un combat contre Hulk, se retourna contre lui lorsqu’elle donna naissance à l’équipe des Vengeurs, dont Thor devint un membre fondateur2.

Les multiples tentatives de Loki pour éliminer Thor ou s’emparer d’Asgard eurent raison de la patience d’Odin, qui à plusieurs reprises bannit son fils adoptif d’Asgard, malgré le retour constant de ce dernier. À une occasion, le Dieu du Mensonge se retrouva exilé sur Terre et changé en humain. Il convainquit son alliée, la Sorcière Karnilla, de lui donner de nouveaux pouvoirs par un enchantement. Cependant, le processus fut interrompu par un délinquant humain, qui acquit alors les pouvoirs à sa place et devint le supervilain connu comme le Démolisseur. Loki parvint cependant à retrouver ses pouvoirs plus tard.

Pouvoirs et capacités


En tant que membre de la race des Géants des Glace, Loki possède des capacités physiques supérieures à celles de n’importe quel être humain : il est plus fort, plus résistant et possède des sens plus développés. Grâce à la consommation régulière de pommes d’or, il ne vieillit pas et possède une longévité constamment prolongée, si bien que son âge actuel dépasse les millénaires.

Loki est également un être malicieux et extrêmement intelligent, maître dans l’art de la tromperie, du mensonge, de la manipulation et de la machination. Il possède en outre de grands talents pour la magie, lui permettant d’utiliser des pouvoirs tels que le changement de son apparence, la levitation, l’illusion, la téléportation, la projection d’éclairs ou d’autres projectiles magiques ; il est aussi doté d’une vision accrue.

Adaptations dans d’autres médias

 

220px-Tom_Hiddleston_%28Avengers_Red_Carpet%29 dans LCR - NPA
 
L’acteur Tom Hiddleston incarne Loki dans les films de l’univers cinématographique Marvel.
 
  • The Marvel Super Heroes (dessin animé, 1966)
  • Spider-Man and His Amazing Friends (série animée) dans l’épisode The Vengeance of Loki
  • Marvel Ultimate Alliance (jeu vidéo, 2006)
  • Dans Hulk Vs Thor (dessin animé, 2009), il tente, avec l’aide de l’Enchanteresse Amora de créer un nouveau Ragnarök.

Notes et références

  1. (en) Kevin Melrose, « Loki will be bisexual, occasionally a woman in ‘Agent of Asgard’ » [archive], sur robot6.comicbookresources.com, Comic Book Resources,‎ 24 octobre 2013 (consulté le 18 novembre 2013).
  2. Avengers #1.
  3. (en) « Marvel Studios Update: Loki Officially Cast in 2011 Thor Movie » [archive], Marvel Comics,‎ 18 mai 2010 (consulté le 3 septembre 2010).
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v · m
Thor
Créateurs Stan Lee · Larry Lieber · Jack Kirby
Auteurs et dessinateurs Walt Simonson · Tom DeFalco · Pat Olliffe · Len Wein · Joe Sinnott · John Buscema · Roy Thomas
Personnages
Alliés Balder · Beta Ray Bill · Frey · Frigga · Jane Foster · Hercule · Heimdall · Hermod · Hoder · Idunn · Kelda · Odin · Erik Selvig · Sif · Thor Girl · Thunderstrike · Trio palatin (Fandral, Hogun, Volstagg) · Tyr · Valkyrie · Vidar · Volla · Zeus
Ennemis Amora l’enchanteresse · Arès · Atum · Bloodaxe · Le Cobra · Les Démolisseurs (Boulet, Bulldozer, Compresseur, Démolisseur) · Desak · Le Destructeur · Ego, la planète vivante · Fafnir · Docteur Fatalis · Femme-sable · Gargouille grise · Héla · Homme-bête · Homme-absorbant · Homme-radioactif · Karnilla · Kurse · Loki · Lorelei · Loup de Fenris · Malekith · Mangog · Mangouste · Mister Hyde · Perrikus · Pluton · Serpent de Midgard · Seth · Skurge l’exécuteur · Surtur · Ulik · Ymir · Zarrko
Autres médias
Films et vidéofilms Ultimate Avengers (2006) · Ultimate Avengers 2 (2006) · Next Avengers: Heroes of Tomorrow (2008) · Hulk vs Thor (2009) · Thor : Légendes d’Asgard (2011) · Thor (2011) · Avengers (2012) · Thor : Le Monde des ténèbres (2013) · Avengers : L’Ère d’Ultron (2015) · Thor: Ragnarok (2017)
Télévision Les Super-héros Marvel (1966) · Le Retour de l’incroyable Hulk (1988) · The Super Hero Squad Show (2009) · Avengers : L’Équipe des super-héros (2010-2012) · Avengers Rassemblement (2013-) · Marvel Disk Wars: The Avengers (2014-2015)
Jeux vidéo Marvel: Ultimate Alliance (2006) · Marvel: Ultimate Alliance 2 (2009) · Marvel Super Hero Squad (2009) · Marvel vs. Capcom 3: Fate of Two Worlds (2011) · Thor: God of Thunder (2011)
Divers Asgard · Journey into Mystery · Ultimate Thor



https://fr.wikipedia.org/wiki/Marvel_Comics

Marvel Comics

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Marvel Comics
logo de Marvel Comics
Création
Création 1939 (à l’origine Timely Publications puis Timely Comics)
Dates clés 31 août 2009 The Walt Disney Company rachète Marvel Entertainment pour 4 milliards de dollars
Fondateurs Martin Goodman
Personnages clés Stan Lee
Jack Kirby
Joe Quesada
Dan Buckley
Axel Alonso (depuis 2011)
Données clés
Forme juridique Filiale
Siège social Drapeau des États-Unis 417 Fifth Avenue, New York (États-Unis)
Activité Comics, films, animations, figurine articulée
Produits Voir Catégorie:Série de comics Marvel
Société mère The Walt Disney Company
Site web http://marvel.com/
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Marvel Worldwide Inc., plus communément appelé Marvel Comics ou Marvel, après avoir été nommé Timely Comics puis Atlas Comics, est une subdivision de Marvel Enterprises et l’une des principales maisons d’édition américaines de bandes dessinées appelées comic books. Parmi les personnages possédés par Marvel figurent les célèbres Spider-Man, X-Men, Quatre Fantastiques, Hulk, Thor, Captain America, Iron Man, Daredevil, Ghost Rider et de nombreux autres. La plupart de ces personnages évoluent et interagissent dans le même monde fictif appelé Univers Marvel.

Marvel Comics est aussi le titre du premier comic book publié par Timely Comics en octobre 1939.

Sommaire

Histoire

 

Marvel Studios Atlas Comics The Walt Disney Company Toy Biz Cadence Industries Timely Publications c6b0515f298b312d1a6083c2c0cf1f44 dans Le Post

 

1939 à 1950 : Timely Comics

 

 dans Luraghi
Le logo de Timely Comics, inspiré par Captain America.
 
Martin Goodman, éditeur de Pulpsn 1 depuis 1933, fonde en 1939 Timely Publications dans les locaux de sa société afin de profiter du succès de Superman. Il en est le directeur éditorial et le gestionnaire, Abraham Goodman en étant officiellement l’éditeur1. Les comic books sont édités sous le nom Timely Comics.

Goodman ne possédant pas encore d’équipe de dessinateurs décide de faire appel à Funnies, Inc. pour lui fournir des bandes dessinées, et la première publication, Marvel Comics (qui devient Marvel Mystery Comics au deuxième numéro), voit le jour en octobre 1939. On y trouve parmi d’autres les aventures de la Torche humaine de Carl Burgos et celles de Namor réalisées par Bill Everett mais aussi les aventures de l’Ange, le héros de la jungle Ka-Zar et le personnage de Western The masked raider. Marvel Mystery Comics est suivi de: Daring Mystery Comics (1940), Mystic Comics (mars 1940), Human Torch Comics (automne 1940). Les ventes sont bonnes, mais c’est avec l’apparition en décembre 1940 du premier fascicule de Captain America, héros patriotique, créé par Joe Simon et Jack Kirby que Timely atteint pour la première fois des tirages supérieurs à un million d’exemplairesn 2. Le nombre de comics publiés augmente encore avec The Submariner (printemps 1941) et de nouveaux comics aux héros patriotiques : USA Comics (août 1941), All Winners Comics (été 1941), Young allies Comics (été 1941) et Kid Comics (février 1943). Même si la plupart de ces titres sont publiés avant l’entrée en guerre des États-Unis contre les forces de l’Axe, l’ennemi est déjà bien marqué comme étant le nazi.

Joe Simon est alors directeur de publication mais Jack Kirby et lui se brouillent avec Martin Goodman qui ne respecte pas le contrat qui les lient au regard des sommes qui devaient être dues aux auteurs. Kirby et Simon vont donc quitter Timely pour National Comics. Vincent Fago, va prendre la place de Joe Simon comme directeur de publication de 1942 à 1945.

À la fin de la guerre en 1945, Marvel lance aussi des magazines et comics humoristiques pour filles, créant notamment les personnages « ordinaires » de Patsy Walker et Millie the Model qui seront publiés pendant plus de vingt ans.

Des années 1950 difficiles

 

 dans NEMROD34
Le logo jusqu’en 1957.

Cependant, après la guerre, les ventes de comics de super-héros déclinent. Afin de rationaliser son entreprise, Goodman décide à partir de 1951 d’accoler à ses nombreuses publications le logo de sa compagnie de distribution, Atlas. Avec Atlas, Goodman publie essentiellement des bandes dessinées des genres alors à la mode : horreur, policier, humour, science-fiction, western, etc. Les diverses tentatives de ressusciter les super-héros que ce soit Captain America, Human Torch ou Submariner se soldent par des échecs. De guerre lasse, Timely sort son dernier comics de super-héros, un numéro de Submariner Comics, en octobre 19552. Cet échec n’empêche cependant pas Timely/Atlas d’être encore en 1957 une des maisons d’éditions de comics les plus importantes. Malheureusement, Goodman commet l’erreur en 1956 de ne plus distribuer ses propres comics mais de sous-traiter cette activité à la société American News Company qui est la plus importante entreprise de distribution du pays3. Or, six mois après cette décision, American News met la clef sous la porte et Martin Goodman comme de nombreux autres éditeurs est obligé de chercher un nouveau distributeur4. Il parvient alors à signer un accord avec Independent News Company, qui est une division de DC Comics, mais à des conditions très dures. En effet alors qu’Atlas publiait 85 comic books au début de 1957, soit juste avant la chute d’American News, il est obligé par Independent News à ne conserver que huit titres mensuels. Goodman et son neveu Stan Lee décident de publier 16 bimensuels et limitent les genres publiés au western, à la romance et à la guerre essentiellement3.

Ainsi à la fin des années 1950, Goodman suit la mode d’alors, à savoir les films de science-fiction, et lance six titres offrant ce type d’histoires : Strange Worlds #1; World of Fantasy #15; Strange Tales #67; Journey into Mystery #50; Tales of Suspense #1; and Tales to Astonish #1. Ceux-ci n’ont que peu de succès et dès la fin 1959, la plupart d’entre eux (sauf Strange Worlds et World of Fantasy, dont la publication est arrêtée) sont dévoués aux monstres de série B. La plupart contiennent des histoires de Jack Kirby (souvent encrées par Dick Ayers), suivies d’histoires de jungle ou d’évasion de Don Heck, de bandes réalisées par Paul Reinman ou Joe Sinnott, et terminées par un récit-court de Stan Lee et Steve Ditko5.

Marvel publie aussi de nombreux comics humoristiques pour filles, tel que Kathy (« The teenage tornado!« ) (octobre 1959) ou Linda Carter, Student Nurse (septembre 1961).

Bien que les couvertures des publications Timely portaient parfois la phrase « A Marvel magazine » sur leur couverture dès All Surprise Comics #12 (Hiver 1946-7), et bien que celles-ci portèrent durant plusieurs mois en 1949-1950 un logo « Marvel Comic », le premier comic book officiellement édité par « Marvel Comics » est le recueil d’histoires de science-fiction Amazing Adventures #3, qui porte la boîte « MC » sur sa couverture. Daté sur celle-ci d’août 1961, il a été publié le 9 mai 19616,n 3.

Stan Lee est directeur de publication de Marvel Comics de 1941 à 1942 et 1945 à 1972.

1961 à 1973 : Âge d’argent des comics

 

photo en couleur en gros plan d'un visage d'homme d'une cinquantaine d'année portant des lunettes et une moustache.
Stan Lee en 1973.

Au début des années 1960, Martin Goodman, apprenant le succès auprès du public américain du comics la Ligue de justice d’Amérique, demande à Stan Lee d’en créer pour profiter de cet effet d’engouement. Avec Jack Kirby, Stan Lee imagine les aventures de cette nouvelle équipe, nommée les Fantastic Four7, dont les aventures sont contées dans le comics éponyme à partir d’août 19618. Puis c’est le tour de Hulk en mai 1962 (Lee et Kirby), Thor en août 1962 (Lee et Kirby), Spider-Man en août 1962 (Lee et Steve Ditko), Iron Man en mars 1963 (Lee et Don Heck), Les X-Men et Les Vengeurs tous deux en septembre 1963 (Lee et Kirby), Daredevil en avril 1964 (Lee et Bill Everett), etc. Tous sont des succès qui amènent Marvel à être la première maison d’édition de comics devant DC Comics9. Alors que l’apparition des héros de l’univers DC comme Superman apparaissent à une époque émerveillée par la science (génétique, physique quantique) et se développent dans le contexte de la conquête spatiale, les héros de Marvel, tous ou presque victimes d’irradiations, sont intimement liés au contexte de la guerre froide qui éveille la crainte de la bombe atomique et du nucléaire10. Il faut cependant noter que chaque héros ne reçoit pas nécessairement son comic book. Toujours limité en nombre de comics à cause de l’accord commercial avec Independant News, Marvel réunit dans quelques comics les histoires de deux personnages. Ainsi Tales to Astonish accueille Submariner et Hulk, Tales of Suspense Captain America et Iron Man et Strange Tales le Docteur Strange et la torche humaine remplacée ensuite par Nick Fury, agent of S.H.I.E.L.D11.

Alors que les comics après l’instauration du Comics Code Authority, ne se préoccupaient pas des changements dans la société, Stan Lee abandonne cette habitude. Il crée avec Jack Kirby, la Panthère noire, le premier super-héros noir en 1966 dans le comic book des Quatre Fantastiques12. Dès 1963, Lee avait abordé le thème du racisme en créant, en septembre 1963, les X-men. Le comics présente des super-héros détestés pour ce qu’ils sont, à savoir des mutants. En éditant ce comics, Lee ouvre la voie à une nouvelle façon de voir les comics de super-héros qui au-delà des combats des gentils contre les méchants peuvent aussi aborder des sujets sérieux13.

Écriture : la méthode Marvel


Stan Lee, lorsqu’il commence à créer ses comics de super-héros, décide de ne plus suivre les schémas habituels. Il commence par descendre les super-héros de leur piédestal, comme pouvaient l’être les personnages de DC Comics, et d’en faire de simples humains, avec tous les soucis que ceux-ci peuvent éprouver dans la vie quotidienne, dotés en plus de super-pouvoirs. Il décide en plus de produire un véritable univers fictionnel dans lequel les personnages sont constamment en relation que ce soit par de simples rencontres, des combats ou des alliances et chaque nouvel élément apporté à cet univers est rapidement connu par les lecteurs quel que soit le comics qu’ils lisent14. Enfin, étant au début des années 1960 le seul scénariste de Marvel, il est amené à confier une part importante du récit aux dessinateurs. Après avoir discuté des grandes lignes de l’intrigue avec le dessinateur, il le laisse organiser ses planches pour ensuite ajouter les textes. Cette méthode est d’autant plus facile à mettre en œuvre que Lee travaille avec des artistes tels que Jack Kirby, Steve Ditko, Wally Wood ou Bill Everett qui sont des maîtres dans l’art du récit dessiné15.

Dessin


Lee invite les dessinateurs à imiter le style énergique de Jack Kirby, qui est le dessinateur vedette de la maison16, bien que certains, comme Steve Ditko dont le dessin plus anguleux est apprécié sur le comics de Spiderman, n’abandonnent pas leur personnalité15.

Les artistes, peu à peu, adoptent un style plus expressif. Jack Kirby abandonne le formalisme du gaufrier et insère dans le récit des pleines pages17 parfois construites à partir de photographies découpées dans des magazines qui constituent un décor fantastique où il place par la suite ses personnages18. À la fin de l’âge d’argent, des dessinateurs tels que Jim Steranko, Neal Adams ou Gene Colan se libèrent du cadre antérieur par un art plus expressif19.

Les couvertures sont longtemps préparées par Marie Severin qui propose des brouillons aux autres artistes afin qu’aucun comics ne sorte le même mois avec une couverture trop semblable à celle d’un autre. De plus, ces couvertures sont inspirées par le scénario alors que chez d’autres éditeurs elles peuvent n’avoir aucun rapport avec l’histoire20.

Marvel a également fait connaître de grands auteurs fantastiques aux jeunes générations, en adaptant en BD les meilleures nouvelles de Robert Bloch, Ray Bradbury, Lovecraft, mais avec un succès moindre.

1998-2009 : Faillite et renaissance menée par Joe Quesada

 

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Logo de Marvel Comics

Fin 1996, Marvel Enterprises se retrouve en faillite et est rachetée en 1998 par Toy Biz (un fabricant de jouet) qui se rebaptise Marvel Entertainment créant un groupe diversifié.

En 2000, Marvel lance à l’instigation de Joe Quesada et Bill Jemas, ses dirigeants de l’époque, la ligne Ultimate pour essayer d’attirer un nouveau lectorat en se débarrassant des contraintes de la continuité et avec des héros remis au goût du jour. Bien que ces comics comptent parmi les meilleures ventes de Marvel, le projet est un échec partiel, n’arrivant pas s’affirmer de manière décisive en dehors du lectorat traditionnel de l’éditeur. En parallèle Marvel signe des accords avec des studios de cinéma pour produire des longs métrages.

En 2000, Joe Quesada devient directeur de publication de Marvel Comics.

Depuis 2009 : Rachat par Disney


Le 31 août 2009, The Walt Disney Company rachète Marvel Entertainment pour 4 milliards de dollars (soit 2.8 milliards d’euros)21. L’achat se fait par échange d’actions au taux de 0,745 action Disney pour une Marvel et 30 $ en numéraire mais cette transaction nécessite l’approbation de la commission anti-monopole et des actionnaires de Marvel21. Cet évènement entraîne le fait que Warner et Disney, déjà opposé dans le domaine du dessin animé (Warner étant le créateur des Looney Toons), se trouvent à nouveau en rivalité dans le domaine des comics, à travers Marvel et DC Comics (appartenant également à Warner, créateur, entre autres, de Superman et Batman).

Le 4 janvier 2011, Axel Alonso est nommé directeur de publication de Marvel Comics22. Le 16 février 2011, Marvel Comics et Disney Publishing annoncent leur première collaboration concrète avec le lancement d’un mensuel nommé Disney-Pixar Presents en mai 2011 avec des personnages de Pixar23. Le 11 avril 2011, Marvel Comics et Disney annoncent qu’ils lanceront en juin une publication grand format sur les Muppets24.

Le 13 février 2012, Disney Publishing Worldwide annonce emménager dans le même immeuble que Marvel Comics à New York25. Disney était installé depuis 2007 à White Plains 26. Le 12 juin 2012, Club Penguin annonce que les personnages de Marvel Comics seront disponibles dans le jeu à compter du 3 juillet27. Le 16 novembre 2013, Disney lance son premier comic book publié par la maison d’édition Marvel Comics, une filiale de Disney depuis 2009 intitulé Disney Kingdoms : Seekers of the Weird28. Le 3 janvier 2014, Marvel annonce récupérer à partir de 2015 la licence Lucasfilm des publications Star Wars au détriment de Dark Horse29.

En 2014 à Paris, les super-héros Marvel sont mis à l’honneur le temps d’une exposition à Art ludique – Le Musée, preuve de leur impact fort dans la culture populaire occidentale du XXIe siècle30. Le 28 avril 2015, Maker Studios lance une campagne de création de contenu sur Marvel et sur les X Games d’ESPN31,32,33.

Les rédacteurs en chef

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Labels et collections de Marvel Comics

 

Marvel a publié certains comics sous des labels spécifiques :

 

Publication en français


En France, les revues de Marvel ont été diffusées par les éditions Arédit/Artima et les éditions Lug devenues Semic et enfin par Panini Comics. Chaque numéro des mensuels ou trimestriels (Strange, Titans, Spécial Strange, Nova, etc.) distribués par leurs soins étaient composés d’histoires provenant de plusieurs revues américains distinctes.

Au Québec, plusieurs titres de Marvel furent publiés, dans un format similaire aux originaux, par Les Éditions Héritage.

Publications en France

 

  • Éditions Lug : première maison d’édition ayant traduit les comics Marvel dans des revues anthologiques (Strange, Nova…)
  • Arédit/Artima : contemporaine de Lug, cette société publiait les séries délaissées par son concurrent (Avengers, Captain America, Hulk, Thor)
  • Semic : maison d’édition ayant pris la relève de Lug après son rachat par un groupe scandinave, dont les revues avaient un format proche des éditions originales.
  • Bethy : cet éditeur a publié en librairie des albums conservant la traduction des parutions kiosque de Semic, en partenariat avec Marvel France.
  • Marvel France : filiale de la société italienne Panini, détentrice des droits sur les comics Marvel pour la France depuis 1997 et les traduisant également dans de nombreux pays européens.
  • Soleil Productions : maison d’édition toulonnaise dont Marvel Comics publie certaines séries en anglais. Au début des années 2000, Soleil a édité dans une collection dirigée par Jean Wacquet l’intégrale du Silver Surfer de Buscema et Kirby, trois recueils de Savage Sword of Conan et des artbooks sur les personnages Marvel.

Personnages publiés par Marvel Comics

 

Super-héros


Parmi les quelque cinq mille héros des comics Marvel, on peut citer (par ordre alphabétique) :


Équipes, organisations et groupes

 

Super-vilains

 


Équipes, organisations, groupes et races

 

Adaptations cinématographiques

 

 

Notes et références

 

Notes

  1. Martin Goodman publia des titres comme Ka-Zar (1936), Marvel Science Stories (août 1938), Marvel Tales, Marvel Stories (1941), Complete Western Books
  2. Captain America Comics #1 (décembre 1940) se vend à plus de 1 million d’exemplaires, alors qu’en même temps Time Magazine ne vendait que 700 000 exemplaires.
  3. Comme pour tous les comic books, la date imprimée correspond à la période à partir de laquelle les commerçants peuvent renvoyer la revue à l’éditeur.

 

Références

  1. Selon une déclaration datée du 2 octobre 1939 publiée page 40 de Marvel Mystery Comics #4 (daté de février 1940), et réimprimée à la page 239 de Marvel Masterworks: Golden Age Marvel Comics Volume 1 (Marvel Comics, 2004).
  2. (en) Don Markstein, « The Sub-Mariner » [archive], sur www.toonopedia.com, Don Markstein,‎ 2008 (consulté le 31 décembre 2014)
  3. a et b Duncan et Smith 2009, p. 44
  4. (en) Mike Ashley, Transformations : The Story of the Science Fiction Magazines from 1950 to 1970, Liverpool, Liverpool University Press, 2005, 346 p. (ISBN 0-85323-779-4), p. 191
  5. Fred Hembeck, « Tales of the Mysterious Mr. Ditko (and the Not-So-Mysterious Mr. Lee… [archive] », sur Hembeck.com, 13 novembre 2004
  6. Selon les informations de copyright de la Bibliothèque du Congrès recueillies par Grand Comics Database [archive].
  7. Gitlin 2010, p. 8-9
  8. (en) « Digital Comics: Fantastic Four (1961) #1 » [archive], Marvel Comics (consulté le 17 octobre 2011)
  9. Courtial 1985, p. 20
  10. Odile Faliu, Marc Tourret, Héros, Bibliothèque Nationale de France, 2007, p. 201
  11. (en) Aaron Sultan, Marie Severin : The Mirthful Mistress of Comics, TwoMorrows Publishing, 2012, 174 p. (ISBN 9781605490427), p. 71
  12. (en) Jeffrey K. Johnson, Super-History : Comic Book Superheroes and American Society, 1938 to the Present, McFarland, 2013, 230 p. (ISBN 9780786490356, lire en ligne [archive]), p. 84
  13. Weaver 2013, p. 117
  14. Courtial 1985, p. 106
  15. a et b Weaver 2013, p. 111
  16. (en) John Rhett Thomas, Stan Lee et Jack Kirby, Marvel Masterworks no 25, Marvel Comics, 2011, 248 p. (ISBN 978-0-785-15058-9), « Biography », p. 239
  17. Courtial 1985, p. 104
  18. (en) Rober L. Bryant, Jr, « Cut & Paste : the making of Kirby collages », The Jack Kirby Collector, TwoMorrows Publishing, no 48,‎ printemps 2007, p. 10-11
  19. Weaver 2013, p. 112
  20. Cassell et Sultan 2012, p. 88
  21. a et b « Disney to acquire Marvel Entertainment for $4B » [archive], The Walt Disney Company (consulté le 31 août 2009)
  22. Axel Alonso devient directeur de publication chez Marvel [archive]
  23. Marvel, Disney To Launch « Disney•Pixar Presents » Magazine [archive]
  24. Marvel, Disney Announce Giant-Sized « Muppets » [archive]
  25. Disney Publishing To Move Into The Same Building As Marvel Comics [archive]
  26. Disney Heads to White Plains [archive]
  27. Avengers and other Marvel heroes visit Disney’s Club Penguin [archive]
  28. Marvel, Disney unveil 1st comic under new imprint [archive]
  29. Lucasfilm and Marvel Entertainment join forces to publish Star Wars comics and graphic novels [archive]
  30. « Les super-héros Marvel envahissent Paris au musée Art ludique » [archive], sur lefigaro.fr,‎ 23 mars 2014 (consulté le 9 juin 2016)
  31. (en) Daniel Hurwitz, « Disney’s Maker enters Marvel universe » [archive], sur USA Today,‎ 28 avril 2015 (consulté le 26 août 2015)
  32. (en) « NewFronts 2015: Maker Studios Touts Disney Synergies with Marvel, ESPN » [archive], sur Variety,‎ 28 avril 2015 (consulté le 26 août 2015)
  33. (en) Joan E. Solsman, « Disney’s Maker to dive into Marvel universe » [archive], sur CNET.com,‎ 28 avril 2015 (consulté le 26 août 2015)

 

Bibliographie




Document utilisé pour la rédaction de l’article Ouvrages utilisés pour la rédaction de cet article
  • (en) Blake Bell et Michael J. Vassallo, The Secret History of Marvel Comics, Fantagraphics, 2012, 306 p. (ISBN 978-1606995525)
  • (en) Dewey Cassell et Aaron Sultan, Marie Severin : The Mirthful Mistress of Comics, TwoMorrows Publishing, 2012, 174 p. (ISBN 9781605490427).Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Gérard Courtial, À la rencontre des SUPER-HÉROS, Bédésup, 1985, 152 p. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Les Daniels : Marvel, five fabulous decades of the world’s greatest comics (1991) (introduction par Stan Lee)
  • (en) Randy Duncan et Matthew J. Smith, The Power of Comics : History, Form & Culture, The Continuum International Publishing Group Inc., 2009, 346 p. (ISBN 978-0826429360, lire en ligne)
  • (en) Robert Genter, « « With Great Power Comes Great Responsibility » : Cold War Culture and the Birth of Marvel Comics », The Journal of Popular Culture, Blackwell Publishing, vol. 40, no 6,‎ décembre 2007, p. 953–978 (lire en ligne)
  • (en) Martin Gitlin, Stan Lee : Comic Book Superhero, ABDO Publishing, 2010, 112 p. (ISBN 9781604538984)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Sean Howe, Marvel Comics : The Untold Story, Harper, 2012, 496 p. (ISBN 978-0061992100)
  • Roy Thomas, 75 ans de Marvel. De l ‘Âge d’or des comics à l’ère des blockbusters, Taschen, 2014, 720 p.
  • (en) Tyler Weaver, Comics for Film, Games, and Animation : Using Comics to Construct Your Transmedia Storyworld, Taylor & Francis, 2013, 352 p. (ISBN 9781136145742, lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article

 

Voir aussi

 

Articles connexes

 

Liens externes

 

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