Pages

vendredi 21 octobre 2016

Expulsion de migrants au Forestou à Brest





Chacun pourra remarquer que c’est assez violent de part et d’autre.

C’est Brestoa, quoi… l’air du large, toussa…

A ceux qui n’auraient toujours pas compris cette ville de fêlés, je précise ou rappelle encore une fois qu’ici le criminel en chef siège au tribunal.

C’est un problème. Tout le reste en découle plus ou moins.

Pour les justiciables locaux, la ou les situations de non-droit subies restent sans solution hors les dérapages violents qui font régulièrement la une des journaux locaux, ou le suicide, généralement plus discret, non moins violent, dévastateur.

Nous n’avons même pas d’avocats à Brest. Ceux du barreau local obéissent tous au criminel en chef, c’est-à-dire qu’il est inutile de compter sur eux pour défendre leurs clients lorsqu’il s’agit d’honnêtes gens qui pour des raisons x, y ou z, la plupart du temps totalement inconnues d’eux, se retrouvent subitement dans le collimateur de cet individu. Quant à ceux des autres barreaux, ils refusent de venir à Brest en sachant qu’ici les dés sont toujours pipés.


https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/brest-evacuation-de-migrants-au-forestou-1477038704

Brest : 35 migrants évacués ce vendredi matin quartier du Forestou


Par Nolwenn Quioc et Jérôme Collin, France Bleu Breizh Izel vendredi 21 octobre 2016 à 10:35 Mis à jour le vendredi 21 octobre 2016 à 13:37

L'évacuation a commencé ce matin avant 9h
L’évacuation a commencé ce matin avant 9h © Radio France – Hervé Cressard

35 migrants installés dans des maisons insalubres, quartier du Forestou à Brest, ont été évacués ce vendredi matin par la police dans un climat tendu. Ils vivaient dans ces habitations depuis le mois de mars. Brest Métropole Habitat veut démolir les maisons pour reconstruire de nouveaux logements.

Des pavillons de Brest Métropole Habitat (BMH), promis à la démolition, ont été évacués ce matin. Depuis le mois de mars, ils étaient occupés illégalement par des familles de migrants, venus d’Europe de l’Est et d’Afrique. Construites dans les années 1930, ces maisons ont servi de logement au bâtiment de la SNCF. Elles sont insalubres et BMH souhaite les détruire pour construire de nouveaux logements sociaux. L’organisme assure avoir également reçu des plaintes du voisinage. L’évacuation avait été ordonnée par la justice en début de semaine. Elle s’est déroulée dans un climat assez tendu.

Au moins 3 militants interpellés et placés en garde à vue


Des militants d’un collectif pro-migrants étaient sur place. Au moins trois d’entre eux se sont cachés sur les toits des maisons. Ils en ont finalement été délogés par les forces de l’ordre. Ils ont manifesté un « comportement plutôt violent » selon le sous-préfet de Brest. Les pavillons sont insalubres, mais selon ces militants, c’est mieux que d’être à la rue.

Les 35 migrants ont été pris en charge par les autorités. Certains vont bénéficier d’hébergement d’urgence, d’autres les ont refusé. Ce qui explique que des travaux sont en cours dans le quartier du Forestou. Des ouvriers construisent des grillages pour sécuriser le secteur et empêcher le retour des migrants.


http://www.ouest-france.fr/node/4574618

Brest. Expulsion tendue des migrants du Forestou


Modifié le 21/10/2016 à 15:17 | Publié le 21/10/2016 à 09:04
  • Le quartier a été rapidement bouclé par la police.
    Le quartier a été rapidement bouclé par la police. | Ouest-France
  • Face à face tendu avec les forces de l'ordre
    Face à face tendu avec les forces de l’ordre | Ouest-France

Lundi, un huissier de justice était passé signifier aux 50 migrants qui occupent cinq maisons appartenant à Brest métropole habitat dans le quartier du Forestou qu’ils étaient désormais expulsables. L’opération a été déclenchée ce vendredi matin par la police.


Après l’avis d’huissier annonçant les expulsions imminentes, le collectif Zéro personne à la rue s’était alors organisé, appelant à la mobilisation pour empêcher l’opération.

Un mail avait circulé, annonçant l’intervention pour jeudi, entre 5 heures et 7 heures.

Mais c’est finalement ce vendredi, peu avant 9 heures, que de nombreux véhicules de police et de gendarmerie sont arrivés sur les lieux.

Quartier bouclé


Le quartier a été rapidement bouclé  et les forces de l’ordre ont commencé à procéder à l’évacuation des logements, dans une ambiance tendue.




Des cris retentissent dans tout le quartier « Arrêtez » ; « Non » ; « Il y a des enfants ! On ne touche pas aux enfants ! » ; « Honte sur vous ! » ; « Où sont les pompiers ? Où sont les ambulances ? »

Les gendarmes ont disposé leurs fourgons pour cacher l’intervention.

Les gendarmes ont disposé leurs fourgons pour cacher l'intervention.
Les gendarmes ont disposé leurs fourgons pour cacher l’intervention. | Ouest-France

Un face à face tendu s’est installé entre forces de l’ordre et membres du collectif Zéro personne à la rue, dont des membres ont été évacués manu militari du périmètre.

Des militants perchés sur un toit


Trois militants du collectif, perchés sur un toit, ont été sommés d’en descendre.

Peu après, la grande échelle des pompiers est arrivée dans la rue pour aller déloger les trois personnes sur le toit.

Le toit sur lequel étaient montés les militants.
Le toit sur lequel étaient montés les militants. | Ouest-France

Deux gendarmes ont pris place à bord de la nacelle et coupé les cordes avec lesquelles les membres du collectif s’étaient attachés au toit…

Deux militants ont été descendus du toit, le dernier résiste et échappe aux forces de l’ordre. Assis au bord du toit, il menace de sauter !

Il a été finalement maitrisé, ramené au sol et conduit au commissariat.

Par ailleurs, toutes les maisons ont désormais été évacuées.

L'intérieur d'une maison squattée.
L’intérieur d’une maison squattée. | Ouest-France

Les réfugiés partis en bus


Un bus est venu chercher les réfugiés pour les conduire dans des hôtels. Une femme enceinte a été prise en charge par les pompiers, mais elle n’a pas voule être conduite à l’hôpital.

Le sous préfet du Finistère Ivan Bouchier était sur place.

Peu avant midi, il y avait encore quelques manifestants et quelques cris mais le quartier retrouvait un peu de calme. L’intervention se termine. Quelques familles de migrants qui ont refusé l’hébergement en hôtel sont encore là.


http://www.cotebrest.fr/2016/10/21/expulsions-dans-un-squat-au-forestou/

Brest Expulsions dans un squat au Forestou


Les forces de l’ordre, en application d’une décision de justice favorable à Brest métropole habitat, ont évacué une quarantaine de personnes dans un climat très tendu.


21/10/2016 à 14:37 par martinedesaintjan

Visuel : Twitter @christophepluchon, Radio RCF).
Des militants s’étaient postés sur les toits. Visuel : Twitter @christophepluchon, Radio RCF Finistère).

Vendredi 21 octobre 2016, en application d’une décision de justice faisant suite à un recours déposé par Brest métropole habitat, les forces de l’ordre ont procédé à l’évacuation d’un squat situé dans le quartier du Guelmeur (”squat du Forestou”), à Brest.

Dans d’anciennes maisons de cheminots vivaient « environ 40 étrangers en situation irrégulière, en provenance de Roumanie, Albanie et Macédoine », selon la Préfecture du Finistère.

L’évacuation s’est faite dans un climat tendu, des militants d’un comité de soutien (mouvement Zéro personne à la rue à Brest) étant bien décidés à empêcher cette évacuation de logements inoccupés.

La Préfecture indiquent que 15 personnes ont accepté l’offre d’hébergement qui leur a été proposée tandis que 25 autres l’ont refusée.

Photo : Christophe Pluchon, radio RCF.
Photo : Christophe Pluchon, radio RCF Finistère.

Rue du Capitaine Guynemer, 29200 Brest, France

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire