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mercredi 3 août 2016

Julie Le Goïc est-elle aussi folle que son associé Cyprien Luraghi ?

Responsables politiques et journalistes brestois semblent en tous les cas en être tout à fait convaincus depuis le mois de mars de cette année.

Le 21 mai dernier, j’avais rapporté sur ce blog plusieurs articles relatifs à une séance du conseil municipal particulièrement houleuse.

J’en rappelle ci-dessous l’essentiel avec l’article de Ouest-France du 11 mars 2016 ayant relaté l’évènement.

Outre leurs comportements inadmissibles, tout à fait semblables à ceux qui sont habituellement les siens, les protégés de la cheftaine Josette Brenterch, soutenus par une Julie Le Goïc tout sourire, étaient apparus tout aussi nuls en droit qu’elle-même ou ses complices les cyberdélinquants de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Comme le publiait le même journal quelques jours plus tard, les présidents des six groupes de la majorité municipale avaient ensuite signé un communiqué de presse commun dénonçant l’attitude de Julie Le Goïc, sa « complicité avec les comportements et l’agressivité verbale de certains manifestants », son « défaut d’honnêteté et de cohérence intellectuelle », ou encore une recherche manifeste de « confusion et non de transparence démocratique ».

Dans sa dernière version de l’article que j’ai rapporté sur ce blog samedi 30 juillet 2016 à propos de son tweet du 26 juillet 2015, Le Télégramme ajoutait la réaction de la Fédération finistérienne du PCF ayant ainsi conclu : « S’il reste un minimum de lucidité à Madame Le Goïc, elle saura tirer toutes les conséquences de son attitude ».

Mais il n’y a eu de sa part ni démission ni excuses, bien au contraire : tout comme son complice le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ou leur cheftaine commune Josette Brenterch, elle revendique haut et fort ce qu’elle qualifie de « droit à l’humour » ou à la « moquerie » à l’égard des victimes, particulièrement quand ce sont les leurs.

Enfin, l’on notera que leurs protégés albanais, par ailleurs suspects d’être mafieux, laissent entendre tout comme eux que ceux qu’ils qualifient de fous n’auraient pas plus que des animaux les droits qu’il convient d’accorder à des êtres humains et pourraient de ce fait vivre dans la rue sans que personne ne s’en émeuve – et bien sûr, eux-mêmes n’en seraient pas.

D’où, sans doute, cette « plaisanterie » qui m’a été adressée en date du 1er août 2016 à une heure où, depuis qu’il a commencé à troller le site Rue89 en 2008, personne n’a jamais vu dormir le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi :


http://justinpetitcoucou.unblog.fr/2015/08/10/tentative-dattentat-a-villejuif-lenquete-progresse/#comments

  1. Julie Le Goïc est-elle aussi folle que son associé Cyprien Luraghi ? dans Attentats
    Didier WebDesign 1 août 2016 à 3 h 01 min
    Bravo, un blog tout à fait bon. Plus d’infos sur la réalité virtuelle pour l’immobilier
    http://adon-immo.com/fr/technologies
    Répondre


Serais-je ainsi invitée à céder mon habitation à ces gens qui m’ont toujours traitée de folle du fait qu’en dépit de leurs exhortations, harcèlements et violences diverses et variées à ce sujet, j’ai toujours refusé de me prostituer ?



http://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-le-conseil-suspendu-en-plein-vol-par-larrivee-des-cass-papiers-4088775

Brest. Le conseil suspendu en plein vol par l’arrivée des Cass-papiers


Brest – Publié le 11/03/2016 à 10:42
 
  • La séance du conseil municipal était consacrée au vote du budget. Elle a été interrompue par des militants de Casss-papiers.
    La séance du conseil municipal était consacrée au vote du budget. Elle a été interrompue par des militants de Casss-papiers. | Photo : Ouest-France

Olivier PAULY.

Ces militants réclamaient un logement pour une vingtaine de demandeurs d’asile albanais. Au terme d’une séance très mouvementée, le budget a fini par être adopté.


Reportage

Jusque-là, tout allait bien. À peine quelques propos liminaires sur le limogeage du directeur de Brest 2016 et, plus habituel, la sécurité, mais le conseil municipal suivait son train. Tout le monde s’était exprimé sur le budget 2016, il ne restait plus qu’à le voter. Et puis un groupe d’une quarantaine de militants de Casss- papiers surgissent dans le fond de la salle.

Les revendications sont connues. Ils les rappellent dans une prise de parole à plusieurs. Il s’agit du logement d’une vingtaine de migrants, pour la plupart d’origine albanaise. « Actuellement, 6 000 logements sont inoccupés à Brest et vous avez le pouvoir de les réquisitionner, lancent-ils à François Cuillandre, maire, pour enfin, résoudre cette situation. »

« On attend »

Ils invoquent au passage une décision concernant la commune de Metz, dans un cas similaire. Ignorant qu’en l’occurrence, c’était le droit d’Alsace Lorraine, hérité du chancelier Bismarck, qui avait été appliqué… Un héritage de la période durant laquelle l’Alsace et la Lorraine étaient allemandes…

Une jeune femme présentée comme l’une de ces migrants, s’exprime en anglais. « Nous vivons dans la rue, ce n’est pas une plaisanterie, nous ne sommes pas des animaux ni des fous. Nous combattrons jusqu’au bout », lâche-t-elle, annonçant « un blocage des administrations si rien ne bouge ».

Dans une courte déclaration, François Cuillandre explique qu’il « comprend les difficultés et les drames des personnes en demande d’asile. En ce qui concerne les migrants, nous avons proposé des places à l’État. À ma connaissance, elles sont toujours disponibles », assure-t-il. Il espère alors que le conseil va pouvoir reprendre.

Non. Impossible de passer aux votes. Les manifestants protestent, couvrent par leur ramdam la voix des élus dans les micros. Qu’est-ce qu’on fait ? « On va attendre un petit peu », confie le maire à ses proches.

« Socio-traître »

La situation s’enlise. Les deux camps se regardent en chien de faïence. Visiblement proche des manifestants, Julie Le Goïc met la pression sur Marie Gueye, sa voisine, pour qu’elle prenne la parole en faveur des migrants.

Excédée, la conseillère municipale socialiste sort de la salle. « Pourtant, la situation des migrants, ça doit vous connaître », lâche un manifestant. Complètement stupide.

De temps en temps, une insulte jaillit du fond de la salle. « Socio-traître. » Silence. « Vous faites honte à Jaurès. » Silence.

Finalement on vote

La question reste : qu’est-ce qu’on fait ? « Il faut faire voter le budget, tout le monde s’est exprimé », souffle l’écologiste Marif Loussouarn à François Cuillandre. « Le problème, c’est que si on annule la séance, on ne peut pas leur laisser la salle », explique Jean-Luc Polard.

Alain Masson, président du groupe socialiste, est missionné pour sonder ses homologues sur la situation. Le petit groupe sort, puis revient. Les manifestants s’installent. Julie Le Goïc leur sert à boire, les fait s’asseoir. Une banderole « Logements pour tou-te-s » est accrochée dans le dos du maire. Une sono est allumée.

Les conciliabules se poursuivent. À 20 h 30, François Cuillandre relance le conseil. Et sous les hurlements des Casss-papiers, il fait adopter les deux premières délibérations : le vote du budget et les taux d’imposition.

Puis il interrompt le conseil. Et la salle se vide avec quelques dégradations au passage de la part de quelques manifestants.



http://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/julie-le-goic-fait-lunanimite-contre-elle-4102966

Julie Le Goïc fait l’unanimité… contre elle


Brest – Modifié le 18/03/2016 à 04:00 | Publié le 16/03/2016 à 04:21


Olivier PAULY.

La majorité municipale ne la regarde plus comme une élue. Le conseil municipal de jeudi était la goutte d’eau de trop.


Analyse

C’est une vraie charge groupée ! Dans un communiqué de presse commun, initiative extrêmement rare pour ne pas dire inédite, les présidents des six groupes de la majorité municipale tombent à bras raccourcis sur leur ancienne camarade, Julie Le Goïc.

En cause, son comportement lors du dernier conseil municipal, quand la salle a été investie par une quarantaine de militants exigeant un logement pour des réfugiés d’Europe de l’Est (1).

Pas un aiguillon

Les signataires du texte évoquent son « attitude loin d’être neutre » ; sa « complicité avec les comportements et l’agressivité verbale de certains manifestants » ; « le défaut d’honnêteté et de cohérence intellectuelle » ; ou encore une recherche de « confusion et non de transparence démocratique ». Ils la rangent donc parmi les manifestants davantage que parmi les élus, qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition.

Julie Le Goïc défend ses positions en parlant d’une « dérive droitière et [de] la trahison politique et intellectuelle de la parole donnée aux Brestois de mener une politique de gauche » ? Les présidents de groupe la renvoient à leur travail pour « que Brest demeure une ville où la solidarité et l’ouverture soient toujours possibles dans le respect du débat démocratique et des droits des citoyens »

Une chose apparaît en tout cas aujourd’hui certaine. Julie Le Goïc n’est pas en capacité de jouer un rôle d’aiguillon pour la Gauche municipale. Rôle auquel elle aurait éventuellement pu prétendre, qu’elle revendiquait en tout cas, lors de son départ de la majorité à l’été dernier. À compter d’aujourd’hui et jusqu’à la fin du mandat, elle parlera dans le vent…

(1) Ouest-France de vendredi et samedi.



http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/polemique-julie-le-goic-provoque-et-recolte-la-tempete-30-07-2016-11165665.php

Polémique. Julie Le Goïc provoque et récolte la tempête


Publié le 30 juillet 2016 à 00h00
 
Julie Le Goïc a reçu de nombreuses menaces depuis son post sur le réseau social Twitter. (Photo d'archives Le Télégramme)
Julie Le Goïc a reçu de nombreuses menaces depuis son post sur le réseau social Twitter. (Photo d’archives Le Télégramme)

L’élue d’opposition de gauche Julie Le Goïc se retrouve au centre d’un ouragan de réactions haineuses depuis son post, mardi, d’un tweet provocateur et unanimement condamné à propos de l’assassinat du père Hamel, à Saint-Étienne-du-Rouvray : « Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au Paradis ? ».


Julie Le Goïc reconnaît avoir « eu tort de mettre sur les réseaux sociaux » cette provocation très « Charlie Hebdo » mais elle ne l’a pas effacée : « J’ai fait une connerie, maintenant j’assume », dit l’ancienne adjointe à la santé, ex-Europe Écologie Les Verts.

Appels au meurtre, au viol…


Et l’assumer, c’est du temps plein : c’est par milliers que les réactions hostiles (c’est un euphémisme) ont déferlé depuis. Toute la panoplie des insultes disponibles, des menaces, des appels au viol, à s’en prendre à ses enfants… On a même vu des gens s’inscrire sur Twitter uniquement pour l’injurier ! Bilan, le sujet Julie Le Goïc a un temps été parmi les dix plus discutés en France sur le réseau, hier. Des tweets venus de toute la France et attisés notamment par plusieurs relais d’extrême-droite, dont les sites FdeSouche et Breiz Atao ou, plus institutionnelle, la page Facebook du chef de file du FN breton Gilles Pennelle.

Condamnation de François Cuillandre


Mais la polémique, prenant de l’ampleur, a nettement dépassé ces frontières. Le maire de Brest François Cuillandre s’est ainsi désolidarisé, rappelant que l’élue, qui a rendu ses délégations en 2015 à la suite d’un énième désaccord politique, ne « fait plus partie de la majorité », et qualifiant ses propos « d’inacceptables, imbéciles et indécents », tout en condamnant les menaces à son encontre. Le patron du PS brestois Marc Coatanéa a, lui, demandé à Julie Le Goïc « des excuses, sans délai », tout en précisant condamner « les tweets haineux autant que son propre propos, totalement inqualifiable ». Toujours à gauche, si la Fédération finistérienne du PCF condanme les injures et menaces, elle conclut : « S’il reste un minimum de lucidité à Madame Le Goïc, elle saura tirer toutes les conséquences de son attitude ». Enfin, l’élu d’opposition de droite Marc Berthelot a aussi condamné sur Twitter « ce tweet de haine et d’ignorance ». Les appels à la démission se sont également multipliés. Au standard de la mairie de Brest, toutefois, on n’enregistrait une activité de son standard téléphonique que « légèrement supérieure à la normale, mais sans commune mesure avec l’affaire de la galette des Rois ». Une pétition en ligne réclamant qu’elle soit traduite en justice a été lancée sur mesopinions.com (plus de 7.000 signatures hier soir). Mais de démission ou d’excuses, il n’y aura pas : « Je ne vais quand même pas démissionner pour une blague ! ».

#FautSeCalmer


Les soutiens sont restés peu nombreux. Seul élu à s’être publiquement engagé, l’adjoint au maire de Brest Yann Guével (« avec lequel je me suis pourtant souvent accrochée », précise-t-elle), qui, tout en soulignant ne pas partager cet « humour déplacé », a posté son étonnement sur les réseaux : « Voir toute la fachosphère se déchaîner contre Julie Le Goïc pour une blague de mauvais goût. Soutien devant tant de haine. #FautSeCalmer ! »

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