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mercredi 8 juin 2016

Attentats : une fausse victime bientôt jugée pour escroquerie


Voilà ce qui aurait dû arriver aux fausses victimes que sont Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices les cyberdélinquants Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, dans le Lot, et Jean-Marc Donnadieu, de Béziers.

Je rappelle que ce dernier tente depuis six ans d’escroquer mon ancien hébergeur de blog OverBlog en présentant des faux aux magistrats de l’Hérault, ce que savent parfaitement bien leurs collègues ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest.

En effet, son avocat Maître Philippe Desruelles, qui doit certainement être intéressé par l’escroquerie, allègue mensongèrement que j’aurais « révélé » au public l’identité de son client qui « participait aux discussions sur [mon] blog » sous le pseudonyme de NEMROD34. En réalité, il venait m’y injurier, calomnier et menacer, se comportant de même avec ceux de mes commentateurs qui lui déplaisaient, tout en alertant mon hébergeur à propos de faits imaginaires afin d’en obtenir la suppression de mon blog, y révélait lui-même son identité et d’autres éléments relevant de sa vie privée, qu’il utilisera par la suite pour faire condamner mon hébergeur de blog au motif de l’atteinte à sa vie privée, et avait par ailleurs depuis très longtemps lui-même révélé au public l’identité de NEMROD34, un pseudonyme qu’il utilise sur de nombreux sites depuis de très nombreuses années en indiquant toujours lui-même au public son identité réelle et toutes ses coordonnées tout en y racontant sa vie, comme sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur la plateforme de blogs OverBlog à compter du mois d’avril 2010.

De plus, pour justifier ses demandes, outre les dénonciations calomnieuses de son client à mon égard, et des faux témoignages d’une dizaine de ses complices de la bande du cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ceux-là même qui m’ont toujours injuriée, calomniée, harcelée sur Internet depuis 2008 et dont il est avéré qu’ils me pirataient pour obtenir des informations confidentielles à mon sujet, il produit des constats d’huissier portant sur mes propres plaintes, que j’avais publiquement exprimées sur mon blog dès juin 2010, concernant la révélation de mon identité et de plusieurs autres de mes données personnelles sur les blogs du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, en les présentant mensongèrement comme celles de son client qui aurait été victime de ces faits de ma part !!!

Oui, au mois de décembre 2011, le dénommé Jean-Marc Donnadieu de Béziers a bien réussi à faire condamner mon hébergeur de blog OverBlog sur la base de mes propres plaintes à son encontre en raison de ses multiples atteintes à l’intimité de ma vie privée !

Et il continue aujourd’hui comme en 2011 à soutenir dans le cadre de ses procédures contre OverBlog n’avoir attaqué que mon hébergeur de blog au motif qu’il n’aurait pas eu mon identité, alors qu’au mois de juillet 2011 il a dû s’expliquer au Commissariat de Béziers sur les faits d’atteinte à l’intimité de la vie privée dont je me plaignais de sa part bien avant le début de ces procédures, faits qu’il n’a pas niés, mais justifiés en m’accusant mensongèrement de faits imaginaires.

En réalité, il ne m’a toujours écartée de ces procédures que pour s’éviter d’être contredit à propos de nos différends, dans l’espoir de tromper les juges plus facilement et d’en obtenir l’escroquerie au jugement projetée dès le début de ses harcèlements à mon encontre, en 2010.

Je rappelle que sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, qui elle aussi m’avait mensongèrement accusée d’avoir commis à son égard les mêmes faits d’atteinte à l’intimité de la vie privée dont elle s’était elle-même réellement rendue coupable à mon encontre auparavant, a finalement été déboutée de toutes ses demandes par la Cour d’Appel de Rennes le 2 décembre 2015, tandis que leur Konducator Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui lui ne peut s’amuser à tenter de me faire poursuivre pour ces mêmes faits, vu qu’il m’a toujours harcelée sous son identité véritable tout en se cachant sous divers pseudonymes pour une partie de ces faits, a vainement tenté de me faire poursuivre pour des harcèlements téléphoniques totalement inexistants.

En effet, je ne l’ai pas appelé une seule fois en huit ans !!!



http://www.20minutes.fr/societe/1860983-20160607-attentats-13-novembre-fausse-victime-bientot-jugee-escroquerie

Attentats du 13 novembre: Une «fausse victime» sera bientôt jugée pour escroquerie


JUSTICE La jeune femme s’était fait passer pour une victime auprès de plusieurs organismes…

Le 15 novembre 2015,  le Bataclan.
Le 15 novembre 2015, le Bataclan. – ERIC FEFERBERG / AFP

A.Ch. avec AFP

    • Publié le 07.06.2016 à 19:52
    • Mis à jour le 07.06.2016 à 19:52

Elle s’était fait passer pour une victime des attentats parisiens du 13 novembre auprès de plusieurs organismes: une jeune mère de famille doit comparaître en correctionnelle le 13 juin pour «escroquerie» et «tentative d’escroquerie», a-t-on appris mardi auprès du parquet de Versailles. La jeune femme âgée de 24 ans s’était présentée le 22 décembre 2015 au commissariat des Mureaux (Yvelines) pour porter plainte, prétendant faire partie des victimes d’une des attaques qui ont frappé la capitale.

Un récit incohérent


Aux enquêteurs de la police judiciaire qui l’interrogent le 31 décembre, elle indique avoir été présente dans le bar «Le Carillon», dans le Xe arrondissement, dont la terrasse a été l’une des cibles des assaillants. Mais la jeune femme prétend «avoir été soufflée par une explosion» – alors que la terrasse du bar a été attaquée au fusil d’assaut – et «gravement blessée à un bras». Elle porte d’ailleurs un bras en écharpe, présente des certificats médicaux montrant qu’elle doit subir une greffe de peau, produit une photo de son bras prétendument blessé et dit qu’elle a perdu ce soir-là téléphone, carte bleue et autres effets personnels.

Les enquêteurs de la PJ versaillaise se mettent alors en cheville avec la Sous-direction antiterroriste de la police judiciaire (SDAT) qui ne tarde pas à souligner de nombreuses «incohérences» dans son récit, ainsi que dans les pièces produites. Le médecin prétendument à l’origine de son certificat médical ne l’a en réalité jamais reçue. Le nom de la jeune femme ne figure sur aucune liste de victimes admises à l’hôpital le soir du drame. La photo de «son» bras blessé, enfin, est retrouvée sur internet, mais… ce n’est pas le sien.

Aussi accusée d’exercice illégale de la pharmacie


Grâce à de fausses déclarations, elle a néanmoins réussi à duper le Fonds de garantie des victimes d’actes de terrorisme et d’autres infractions (FGTI), ainsi que la Maison départementale de l’autonomie, qui aide les personnes handicapées. Brièvement placée en garde à vue en février, la jeune femme a reconnu les faits. Elle est convoquée devant le tribunal correctionnel de Versailles ce lundi. L’affaire pourrait être renvoyée.

La jeune femme, mariée et mère d’un nouveau-né, devrait se présenter à l’audience sans avocat. Face à elle, sur le banc des parties civiles, le médecin, dont elle a usurpé les certificats médicaux, et les deux organismes d’aide. Elle encourt jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 375.000 euros d’amende. Elle est, par ailleurs, convoquée le 21 novembre pour exercice illégal de la pharmacie.

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