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vendredi 6 mai 2016

NEMROD34 banni du forum des Sceptiques du Québec !

Selon une information que je viens de recevoir, NEMROD34 aurait réussi ces derniers jours à se faire virer du forum de ses amis les Sataniques Sceptiques du Québec où il sévissait très régulièrement depuis mai 2008, soit depuis huit ans.

Il s’y était inscrit le 21 mars 2008 et y faisait l’objet depuis l’été 2013 d’une mesure exceptionnelle de modération a priori qui avait été prise en raison de tous ses écrits calomnieux à mon encontre, car je m’en étais plainte à plusieurs reprises depuis 2011.

En effet, au cours de l’été 2013, ses atteintes à l’intimité de ma vie privée et celles de mes proches s’étaient encore aggravées, nécessitant l’intervention d’un des modérateurs de ce forum qui tous se sont pourtant toujours montrés très tolérants à l’égard de toutes les exactions à mon encontre de leur troll fétiche NEMROD34.

Ce ne sont donc pas ces délits continus ou à répétition qui avaient encore donné lieu à de grandes discussions l’année dernière qui lui auront valu son exclusion définitive de ce site, c’est une fausse information concernant une autre de ses cibles régulières qu’il y a postée le 4 avril dernier.

Tout le fil de discussion publique correspondant a évidemment été supprimé et il n’en reste plus aujourd’hui que cette trace dans Google :


Mort de Christian Comtesse (les repas ufologiques) – Les …NEMROD34 banni du forum des Sceptiques du Québec ! dans Calomnie UrlAdvisorGoodImage

www.sceptiques.qc.ca › Accueil du forum › Sujets sceptiques › Ovnis
Mort de Christian Comtesse (les repas ufologiques). Messagepar NEMROD34 » Lun Avr 04, 2016 5:14 pm. Il a trouvé la mort vendredi dernier vers 19 h 30 …


Le problème de taille que posait cette information de NEMROD34 du 4 avril dernier est que la personne citée est toujours bien vivante…

En fait, il semble qu’il l’ait confondue avec un homonyme ayant effectivement trouvé la mort début avril, un médecin du travail de Bâle, en Suisse, qui s’est tué dans un accident d’avion en se rendant à sa résidence secondaire de Saint-Dié, dans les Vosges.

La nouvelle était sans doute trop réjouissante pour NEMROD34 pour qu’il prenne la peine de vérifier quoi que ce soit. Mais peut-être a-t-il toujours confondu ces deux messieurs répondant au même nom, tout comme son compère Pascal Edouard Cyprien Luraghi et lui-même m’ont déjà plusieurs fois confondue avec certaines de mes homonymes, notamment l’une d’elles qu’ils menaçaient comme moi en 2011.

En tous les cas, à peine le quotidien L’Alsace avait-il informé ses lecteurs de la mort du médecin bâlois dans le crash de son avion sur les hauteurs de Sondernach en Alsace que NEMROD34 a relayé l’information sur le forum de ses amis Sataniques Sceptiques du Québec.

La voilà sur son site d’origine, sans aucune mention des Repas Ufologiques :



http://www.lalsace.fr/haut-rhin/2016/04/03/un-sifflement-un-crac-et-un-gros-boum

CRASH de Sondernach « Un sifflement, un crac et un gros boum »


Pourquoi l’avion de tourisme piloté par un médecin bâlois s’est-il écrasé dans la forêt de Sondernach, dans la vallée de Munster, vendredi vers 19 h 30 (« L’Alsace » d’hier) ? L’enquête sur les circonstances précises de la mort de ce quinquagénaire prendra du temps, mais les investigations révèlent déjà quelques certitudes.


Le 03/04/2016 05:00 par Texte et photos : Jean-Frédéric Surdey , actualisé à 07:10 Vu 68503 fois

Les gendarmes des transports aériens de Strasbourg à la recherche d’indices, hier, parmi les débris de l’avion pulvérisé. Photo L’Alsace
Les gendarmes des transports aériens de Strasbourg à la recherche d’indices, hier, parmi les débris de l’avion pulvérisé. Photo L’Alsace

« J’ai entendu un très fort sifflement qui m’a tout de suite fait penser à une chute d’avion, puis un craquement d’arbres fracassés, et enfin un gros boum. Ça n’a duré que quelques secondes, mais on est tout de suite allés voir, avec la personne qui travaillait avec moi et le tracteur : on savait que quelque chose était tombé » , témoigne Steve Baumgart, propriétaire de la ferme équestre du Raedlé, sur les hauteurs de Sondernach.

Secours risqué


Moins de 500 mètres au-dessus du chemin jouxtant la ferme-auberge éponyme, Steve et son collègue découvrent un brasier, à travers un brouillard aussi dense qu’une purée de pois. Ils s’approchent pour voir s’ils n’aperçoivent pas de victime, puis redescendent en quatrième vitesse de la combe pour donner l’alerte par téléphone, bien avant 20 h. « Les secours, à commencer par les pompiers, sont arrivés en quelques minutes » , poursuit celui qui les a alors aidés à monter du matériel avec son quad.

Les soldats du feu, puis les autres secouristes, prennent le risque d’approcher l’appareil. « Si le carburant des réservoirs avait déjà visiblement pris feu, il restait une possibilité d’explosion très dangereuse avant notre intervention , explique un chef démineur du centre de la sécurité civile de Colmar. Certains petits avions sont dotés de parachutes de secours propulsés par des roquettes pyrotechniques, qui peuvent faire beaucoup de dégâts si elles s’enflamment. » Le monomoteur quatre places HR100 du constructeur francais Robin n’était semble-t-il pas doté de ce système, et aucune autre explosion n’a eu lieu en présence des sauveteurs.

Malheureusement, les secours constateront assez rapidement que l’unique occupant a été tué sur le coup. Son corps a été dégagé dans la nuit. Christian Comtesse, un médecin bâlois âgé de 55 ans, était pourtant un pilote expérimenté, qui connaissait parfaitement le trajet entre l’EuroAirport et sa résidence secondaire à Saint-Dié, où il se rendait avant-hier.

Que s’est-il passé exactement ? Le plafond nuageux très bas a-t-il joué un rôle dans la chute de l’aéronef ? Le pilote a-t-il été pris d’un malaise ? L’enquête judiciaire pourrait mettre des semaines voire des mois à l’établir, le domaine aéronautique étant très technique. Le parquet de Colmar a d’ailleurs confié les investigations à la fois au groupement de gendarmerie du Haut-Rhin – à la brigade de Munster en particulier – et à la gendarmerie des transports aériens (GTA) de Strasbourg.

Si de nombreuses zones d’ombre restent à éclaircir, quelques certitudes se dégagent néanmoins : à en juger par les deux uniques cimes de sapins arrachées juste au-dessus du lieu du crash, l’avion n’a pas percuté la forêt alors qu’il volait à l’horizontale, mais il chutait déjà « très brutalement » , assure le chef d’escadron Marc Jankowski, commandant de la compagnie de Colmar.

Par ailleurs, si les militaires de la GTA recherchaient des traces ADN pour confirmer scientifiquement l’identité du pilote, celle-ci ne fait pas de doute pour les enquêteurs. Enfin, il s’agit très vraisemblablement d’un accident.

« Ces petits appareils n’ont pas de boîte noire, mais plusieurs moyens techniques doivent nous permettre d’y voir plus clair , expose un gendarme des transports aériens. D’une part, sur réquisition judiciaire, l’EuroAirport va pouvoir nous dire s’il était en liaison radio avec le pilote, et jusqu’à quand. D’autre part, le centre de coordination de sauvetage de l’armée de l’Air, basé à Lyon et qui surveille tout ce qui vole en France, va nous apporter des indications sur la trajectoire de l’avion, à moins que le relief ne gêne ce qu’on appelle le radar primaire. Il sera néanmoins possible d’avoir une idée plus précise de la trajectoire si l’appareil est doté d’un radar dit secondaire. »

Perdu de vue à Linthal


Ce centre militaire lyonnais avait indiqué dans un premier temps avoir perdu de vue un avion plus au sud, vers Linthal, vendredi peu avant 21 h et le déclenchement par la préfecture du plan Sater-Bravo de « recherche d’aéronef en détresse et non localisé ». Au départ, les gendarmes des compagnies de Colmar et Guebwiller, ne connaissant pas encore la taille de l’avion, recherchaient si d’autres débris n’étaient pas tombés dans les alentours.

En 2007, après le témoignage de bûcherons de Metzeral qui avaient aperçu un avion de tourisme puis entendu un bruit de crash au loin, plus de 24 heures avaient été nécessaires pour retrouver l’épave et le corps sans vie du pilote.

Sur le même sujet


http://www.lalsace.fr/actualite/2016/04/01/un-ulm-s-ecrase-et-s-embrase-pres-d-une-auberge

Sondernach Un avion s’écrase près d’une auberge: le pilote tué


Le 01/04/2016 20:48 , actualisé le 03/04/2016 à 07:08 Vu 25302 fois

Vendredi soir, pendant l'intervention des pompiers. Photo DR
Vendredi soir, pendant l’intervention des pompiers. Photo DR
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Vendredi soir, pendant l'intervention des pompiers. Photo DR
Vendredi soir, pendant l'intervention des pompiers. Photo DR
Vendredi soir, pendant l'intervention des pompiers. Photo DR
Doc. Google maps
Le secteur où s'est produit le crash, photographié ce matin, alors qu'il est bouclé par la gendarmerie pour les besoins de l'enquête.
Sur les lieux du crash, ce samedi matin. Photo L'Alsace/Jean-Frédéric Surdey
Sur les lieux du crash, ce samedi matin. Photo L'Alsace/Jean-Frédéric Surdey
Sur les lieux du crash, ce samedi matin. Photo L'Alsace/Jean-Frédéric Surdey
Sur les lieux du crash, ce samedi matin. Photo L'Alsace/Jean-Frédéric Surdey

Vers 20 h ce vendredi, un petit avion biplace a chuté dans la vallée de Munster, au-dessus de Sondernach, au niveau des écuries de l’auberge du Raedle. Apparemment seul à bord, le pilote – un médecin bâlois de 55 ans – aurait été tué sur le coup.

Il était parti de Bâle-Mulhouse pour rallier Saint-Dié et sa résidence secondaire, dans les Vosges. Le pilote a pu être surpris par le brouillard épais, dans une région de forêt escarpée.

Dans un premier temps, le corps de la victime n’avait pas été retrouvé et des équipes cynophiles de recherche ont dû être mobilisées.

L’appareil étant en feu, il a fallu que les flammes soient éteintes pour que les pompiers retrouvent le corps de l’homme, vers 21 h 15, sous la carlingue. L’avion s’étant disloqué sous la violence du choc, de nombreux débris étaient éparpillés.

D’importants moyens étaient déployés sur les lieux : deux camions incendie, le peloton de gendarmerie de montagne (PGM), plusieurs équipes de gendarmerie des alentours ainsi que des moyens médicaux – une ambulance et un médecin – et des moyens de désincarcération. Le brouillard, important, n’a pas permis la mobilisation d’un hélicoptère.


http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/04/03/alsace-l-enquete-debute-apres-le-crash-de-l-avion-qui-se-rendait-a-saint-die%2888%29

Alsace : l’enquête débute après le crash de l’avion qui se rendait à Saint-Dié


03/04/2016 à 13:57, actualisé à 14:29 Vu 3667 fois

Photo d'illustration Jérôme HUMBRECHT zoom_in_magnifier_secure dans Folie Photo d’illustration Jérôme HUMBRECHT

Les témoins racontent avoir entendu « un très fort sifflement » puis « un gros boum » après le crash d’un petit avion vendredi soir sur les hauteurs de Sondernach en Alsace.

Nos confrères du journal L’Alsace reviennent aujourd’hui sur les circonstances de la découverte de l’avion et sur les premières informations sur le drame. Christian Comtesse, médecin venant de Bâle et âgé de 55 ans, se rendait dans sa résidence secondaire à Saint-Dié. Son avion a, selon les constatatons chuté très brûtalement pour une raison que l’enquête devra déterminer. Avec une difficulté, l’absence de boîte noire dans ces petits avions de tourisme.

Plus d’infos dans l’article de nos confrères de l’Alsace




http://www.vosgesmatin.fr/faits-divers/2016/04/04/massif-vosgien-a-la-recherche-des-causes-du-crash-de-l-avion-se-rendant-a-saint-die

Fait divers – sondernach Pilote confirmé Le pilote décédé


Massif vosgien : à la recherche des causes du crash de l’avion se rendant à Saint-Dié


04/04/2016 à 05:06 , actualisé le 03/04/2016 à 23:59 Vu 1792 fois

Le petit avion s’est totalement disloqué après avoir heurté un sapin.  Photo DNA - Patrick KERBER zoom_in_magnifier_secure dans LCR - NPA Le petit avion s’est totalement disloqué après avoir heurté un sapin. Photo DNA – Patrick KERBER

 

SONDERNACH


Les enquêteurs ont gelé le site du crash où a péri un pilote confirmé de 55 ans vendredi à Sondernach en Alsace, dans le massif vosgien. Pilote confirmé, le quinquagénaire avait décollé de Bâle et devait se poser à Saint-Dié. Son Robin HR 100 a heurté la cime d’un sapin qu’il a sectionnée vendredi vers 20 h dans la forêt de Sondernach. Agé de 55 ans, Christian Comtesse, médecin du travail à Bâle, a été tué sur le coup ( notre édition d’hier ).

Les gendarmes de la brigade des transports aériens de Strasbourg se sont rendus sur les lieux en compagnie des spécialistes du bureau enquête accident. Venus de Turckheim, Colmar, Munster, Metzeral, Sondernach, 26 sapeurs-pompiers dont des membres des équipes de montagne sont intervenus.

Le plafond était particulièrement bas, au point d’interdire toute intervention de l’hélicoptère de la gendarmerie, vendredi et la collision avec l’arbre s’est produite à la nuit tombante. Les investigations se sont poursuivies samedi avec l’assistance du peloton de gendarmerie de montagne.

Plusieurs unités de gendarmerie avaient été rapidement alertées. Le signalement d’une disparition d’aéronef entre Linthal et Munster avait été déjà lancé et les gendarmes de Guebwiller et du peloton de surveillance et d’intervention d’Ensisheim (Psig) étaient alors mobilisés.

Le plan Sater bravo, pour un crash non localisé, a été déclenché. Une vingtaine de gendarmes des brigades de Munster, Wintzenheim, Jebsheim, du Psig de Colmar ont été engagés. Les débris de l’appareil ont été rapidement localisés, en bordure d’un chemin forestier, au-dessus de Sondernach.

Les sapeurs-pompiers ont dû éteindre plusieurs foyers. Le petit monomoteur de 9 m d’envergure, récemment acquis par le pilote s’étant complètement disloqué. L’épouse du pilote effectuait quant à elle la même liaison vers Saint-Dié par la route.

Ph.M.

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