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lundi 21 mars 2016

Présidentielle 2017 : le NPA a des comptes à régler

Oui, comme d’habitude quand échoue une des tentatives d’escroquerie ou autre saloperie de Josette Brenterch du NPA de Brest, par exemple la tentative d’escroquerie au jugement dont j’étais la cible avec mon ancien hébergeur de blog OverBlog depuis 2010.

La « campagne » du NPA pour 2017 a déjà débuté avec la publication du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi du 5 mars 2016, elle va continuer comme il l’a annoncé dans son article d’hier préparant la publication tout aussi illégale de ma soi-disant « biographie » mêlant inventions calomnieuses et éléments véridiques tous obtenus par divers moyens frauduleux, notamment des piratages informatiques et des écoutes illégales, ce monsieur et ses complices violant ainsi l’intégralité des membres de ma famille quotidiennement depuis de nombreuses années.

Si la plupart des journaux allongent aujourd’hui leurs textes sur les déclarations de Philippe Poutou, relevant au passage quelques incohérences dans son discours officiel, déjà contredit par d’autres figures de son parti, je n’en vois pour l’heure aucun qui s’interroge sur le financement de cette campagne.

Pour ma part, je vous garantis que le NPA dispose déjà d’un bon pactole qui n’apparaîtra jamais dans ses comptes officiels.

Dans cette catégorie des finances occultes du parti, il y a toujours eu les caisses des associations diverses et variées que le NPA contrôle ou confisque à son profit au détriment de leurs propriétaires et de leurs objectifs.

Il en était ainsi du réseau de collectifs de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions AC ! jusqu’à la scission de l’automne 2005 au sujet de laquelle, au moins à Brest, les dissidents scissionnaires ont toujours été menacés de mort en cas de déballage public.

Mais ils l’étaient déjà avant la scission du fait de leur opposition à Josette Brenterch.

Ces menaces de mort avaient d’ailleurs provoqué avec d’autres exactions la radiation de Josette Brenterch de l’association AC ! Brest au mois de septembre 2005.

J’avais affiché sa lettre de radiation sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog le 8 juillet 2010 en réponse aux calomnies qu’elle faisait quotidiennement publier à mon sujet sur les deux blogs alors publics de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis le 19 juin 2010.

Voici une copie de cet article (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :


2010-07-08 Septembre 2005- AC ! Brest vire sa trésorière - Un petit coucou


On remarquera que cet article fait partie de tous ceux portant sur nos conflits dans l’association AC ! Brest dont Josette Brenterch ne s’est jamais plainte de la publication alors qu’elle a bien tenté de me faire poursuivre et condamner pour quantités de publications dont la plus ancienne remontait au 4 juillet 2010 et qui toutes ne la concernaient pas.


http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/03/20/npa-philippe-poutou-de-nouveau-candidat-a-la-presidentielle_4886669_823448.html

Philippe Poutou (NPA) candidat à la présidentielle : « Le plus simple, c’est que ce soit moi qui y retourne »


Le Monde.fr | 20.03.2016 à 19h49 • Mis à jour le 21.03.2016 à 09h10 | Par Raphaëlle Besse Desmoulières

Philippe Poutou, lors d'une manifestation des employés de Brittany Ferries pour sauver leurs emplois, le 23 novembre 2013 à Morlaix.

 

C’est finalement Philippe Poutou qui représentera le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) en 2017. Cinq ans après avoir été le premier candidat à l’élection présidentielle du NPA, l’ouvrier de chez Ford a de nouveau été désigné, dimanche 20 mars à Nanterre, pour porter les couleurs du parti dans treize mois. « Il y a quasiment eu l’unanimité pour qu’il soit candidat », assure Alain Krivine, figure historique de la formation d’extrême gauche.


Présidentielle 2017 : le NPA a des comptes à régler dans AC ! Brest
M. Poutou explique au Monde qu’il n’avait pas forcément envie à tout prix de repartir, mais que, « dans une situation difficile, le plus simple, c’était que ce soit [lui] qui y retourne ». « J’ai une petite expérience, souligne le candidat de 49 ans. Je n’arrive pas en terrain inconnu, même si on sait que ce sera une campagne compliquée. » Ce dernier compte désormais sur les manifestations contre le projet de loi sur le travail pour faire entendre la voix du NPA. « Cela nous a redonné la pêche, affirme-t-il. On a envie de régler des comptes. Cette présidentielle, pour nous, c’est une tribune. »

En 2012, une campagne difficile


En 2012, alors inconnu, M. Poutou avait obtenu 1,15 % des voix au terme d’une campagne difficile. Comme Nathalie Arthaud, la candidate de Lutte ouvrière (LO), il avait souffert de la concurrence de Jean-Luc Mélenchon, qui avait attiré sur sa candidature une partie des suffrages de l’extrême gauche. Mais à l’approche du premier tour, cet ouvrier, qui faisait ses premiers pas dans la politique nationale, avait gagné en sympathie et terminé devant la candidate LO.

Un an plus tôt, M. Poutou avait eu la délicate mission de succéder à Olivier Besancenot, candidat à deux reprises de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), en 2002 et 2007. Ce dernier, qui avait réalisé les meilleurs scores du parti avec plus de 4 % des suffrages à deux reprises, n’avait pas voulu se représenter cinq ans plus tard. Et a fait savoir qu’il ne souhaitait toujours pas rempiler en 2017.

Mécanicien à l’usine automobile Ford de Blanquefort, en Gironde, M. Poutou s’était fait connaître à travers son combat à la CGT pour la sauvegarde des emplois au sein de son entreprise. En 2014, il avait quitté la direction resserrée du NPA, critiquant un comité exécutif du parti « trop parisien » et dénonçant des « problèmes de fonctionnement, de manque de démocratie, de manque de respect entre camarades ». Même s’il reconnaît qu’il y a encore des « débats » en interne, le candidat se félicite d’une certaine « unité » retrouvée. « En 2011, c’était galère, on était coupé en deux et je n’étais pas connu, se souvient-il. Là, on se sent un peu moins démunis. » Trois porte-parole de campagne l’accompagneront au cours des prochains mois, dont M. Besancenot. « Cela permet de limiter la personnalisation », juge M. Poutou.

Ces dernières années, le mouvement d’extrême gauche a vécu des temps difficiles. En 2009, la Ligue, devenue le NPA, connaissait son apogée avec plus de 9 000 militants et l’idée de créer un parti de masse. Mais plusieurs crises internes ont eu raison de cet idéal. Depuis, la formation a perdu son financement public dans la foulée des législatives de 2012 et, au lendemain de la présidentielle, a dû faire face au départ de nombreux cadres et militants pour le Front de gauche.

Comme en 2012, M. Poutou devra affronter la concurrence d’une autre candidature à l’extrême gauche, celle de Mme Arthaud. Il lui faudra déjà réunir les 500 parrainages d’élus, nécessaires pour pouvoir se présenter. Une tâche qui pourrait être rendue plus complexe pour les « petits » candidats par une proposition de loi actuellement débattue au Parlement. Selon ce texte, les élus devraient désormais transmettre leur parrainage directement au Conseil constitutionnel, alors qu’auparavant ils pouvaient le remettre au candidat. « C’est une barrière supplémentaire, mais c’est à nous de montrer que ça vaut le coup qu’on soit présents », explique M. Poutou.

 Raphaëlle Besse Desmoulières

Philippe Poutou à nouveau candidat du NPA à la présidentielle

 


Philippe Poutou, en 2012.
 
LE SCAN POLITIQUE – Comme en 2012, l’ouvrier automobile représentera les couleurs du parti anti-capitaliste dans la course à l’Élysée.

Le NPA a son candidat à la présidentielle. Réunis en conférence nationale ce week-end à Nanterre (Hauts-de-Seine), les 150 délégués du parti anti-capitaliste ont acté la candidature de Philippe Poutou. Une information dévoilée par Le Lab d’Europe 1 et confirmée au Scan par la direction du parti. L’ouvrier et représentant CGT de l’usine Ford de Blanquefort (Gironde), qui avait déjà représenté les couleurs du NPA en 2012, va donc endosser à nouveau son costume de candidat. Avec une priorité: trouver les 500 signatures d’élus requis pour voir, comme en 2012, sa candidature validée par le Conseil constitutionnel. Une quête difficile pour le candidat du NPA qui l’oblige à se lancer tôt.

«La question de la présidentielle n’est pas dans notre agenda. Nous préférerions nous concentrer sur la mobilisation contre la loi travail ou l’état d’urgence. Mais le verrouillage du système fait que nous sommes obligés de nous poser la question de la présidentielle dès maintenant», explique Christine Poupin, porte-parole du NPA. Pourquoi ne pas avoir choisi Olivier Besancenot, dont la notoriété pourrait faciliter la recherche de parrainages? «Nous refusons la personnalisation de l’élection et la logique de l’homme providentiel. C’est justement parce qu’il est le plus connu qu’il ne faut pas que ce soit le candidat», explique Christine Poupin. Le célèbre postier avait lui-même exclu une candidature, il y a quelques semaines: «En ce moment, 2017, c’est vraiment pas ma tasse de thé et pour tout vous dire ça m’agace qu’une partie de la gauche radicale ait les yeux braqués là-dessus», avait-il expliqué sur BFM-TV.

Va donc pour Philippe Poutou, qui s’était pourtant mis en retrait de la direction du parti en 2014. Le syndicaliste peut cependant se targuer d’avoir déjà mené une campagne présidentielle jugée réussie. En 2012, il s’était imposé comme l’une des figures «rafraîchissantes» du scrutin: sa décontraction sur les plateaux de télévision et ses vidéos décalées avaient marqué les esprits. «Je suis prêt à refaire des clips et des choses comme ça. On dit des choses différentes donc aussi de manière différente», explique-t-il au Lab. Reste à savoir si son parti, peu adepte des coups de com’, suivra: pour éviter la personnalisation du scrutin, le NPA a mis en place un comité de porte-paroles qui seront chargés de relayer la parole du parti pendant la campagne.



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