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vendredi 26 décembre 2014

Attentat de Nantes : le chauffard était ivre

La presse l’a révélé aujourd’hui après avoir donné des précisions sur les faits,  sans pouvoir pour l’heure compléter davantage le portrait de Sébastien Sarron ni expliquer son geste :


http://www.liberation.fr/societe/2014/12/26/drame-de-nantes-le-chauffard-avait-180-g-d-alcool-dans-le-sang_1170330

Drame de Nantes: le chauffard avait 1,80 g d’alcool dans le sang


AFP 26 décembre 2014 à 12:39 (Mis à jour : 26 décembre 2014 à 12:55)

La camionnette qui a foncé sur la marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014
La camionnette qui a foncé sur la marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014 (Photo Georges Gobet. AFP)

Le conducteur qui a fauché dix piétons sur le marché de Noël lundi à Nantes, dont l’un est décédé, avait 1,80 g d’alcool par litre de sang lors des faits, soit près de quatre fois la limite autorisée, a-t-on appris vendredi de source policière, confirmant une information de RTL.

Cet homme de 37 ans, originaire de Charente-Maritime, était toujours hospitalisé vendredi matin, placé sous surveillance policière en attendant d’être interrogé en garde à vue par les enquêteurs.

Il s’était sérieusement blessé en s’assenant plusieurs coups de couteau, après avoir percuté la foule avec une camionnette blanche, en plein centre de Nantes.

Un des piétons fauchés, Virgile, 25 ans, a succombé mardi à ses blessures et une enquête pour assassinat et tentative d’assassinat a été ouverte par le parquet de Nantes.

La procureure de la République de Nantes, Brigitte Lamy, avait évoqué mardi les problèmes d’alcoolisme du chauffard qui n’était semble-t-il pas «suivi sur le plan psychiatrique». «Son état se serait détérioré ces dernières semaines», avait-elle précisé, ajoutant que l’homme vivait seul et avait travaillé dans le secteur du jardinage.

Les expertises toxicologiques ont donc décelé un taux de 1,80 g d’alcool par litre de sang alors que le maximum autorisé est de 0,5 g.

Un carnet avait été retrouvé à bord de la voiture après l’agression, contenant «des propos pour le moins confus», selon la procureure. L’homme y dit «sa haine de la société» et évoque «un risque d’être tué par les services secrets». Il y affirme aussi que «sa famille le dénigrait sur internet», avait précisé Brigitte Lamy, ajoutant qu’il avait porté plainte le 12 décembre contre sa famille.

AFP


http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/2014/12/26/drame-du-marche-de-noel-de-nantes-comment-la-voiture-folle-est-arrivee-place-royale-619892.html

Drame du marché de Noël de Nantes : comment la voiture folle est arrivée place Royale


Sébastien Sarron, d’après les premiers témoignages a suivi un taxi pour accéder à la place Royale. Là, il roulait à 70 km/h quand il a foncé sur la foule du marché de Noël.

  • Par Xavier Collombier
  • Publié le 26/12/2014 | 09:55 

En suivant un taxi, Sébastien Sarron est arrivé place Royale par le quai de la fosse. © NATHALIE BOURREAU / MAXPPP
© NATHALIE BOURREAU / MAXPPP En suivant un taxi, Sébastien Sarron est arrivé place Royale par le quai de la fosse.

Il a suivi un taxi


Selon de nombreuses sources proches de l’enquête relatées ce matin par nos confrères de Presse Océan , Sébastien Sarron au volant de son Peugeot Expert a suivi un taxi pour accéder au secteur piéton de la fin de la rue de la Fosse vers la place Royale. Grâce à un badge le taxi a abaissé la borne, Sébastien Sarron s’est engouffré derrière lui, profitant du temps de latente de l’automate, réglant l’accès à la zone piétonne. « Il n’y aurait pas eu de dysfonctionnement du système » selon la source du quotidien nantais.

Le conducteur a ensuite accéléré son moteur, le faisant ronfler sur les 400 mètres séparant le quai de la Fosse de la place Royale, les 70 kilomètres heure auraient été atteints selon de nombreux témoins, avant que le véhicule termine sa course dans les stands du marché de Noël.

Témoignages des rescapés


3 jours après le drame, les témoignages se succèdent. Dans Ouest-France, ce matin, un retraité normand explique « après le choc, je me suis retrouvé au sol, à plusieurs mètres du point d’impact (..), lorsque j’ai pu me relever, la première vision que j’ai eue, c’est le bras du chauffeur dans sa camionnette. Il se donnait des coups de couteau au niveau du thorax. Sur le moment, je n’ai pas eu trop le temps de réaliser. J’avais peur qu’il s’agisse d’une attaque terroriste. »

Le fils d’une blessée témoigne dans Presse Océan : « C’était la pagaille. Ma mère était sous la voiture. Elle ne savait pas si le conducteur allait redémarrer ou tout faire exploser (..) Il y a des fous partout. On ne peut pas mettre un policier derrière tout le monde. Personnellement , je n’ai pas de haine envers lui. Est-ce que je lui pardonne ? Difficile de répondre à cette question ».

Une quarantaine de personnes ont été reçue par la cellule d’urgence psychologique mise en place par les autorités. De nombreux commerçants de la place Royale et du marché de Noël y ont consulté, des passants et des témoins de la course folle de Sébastien Sarron également.

Une information mondialisée


Le drame de Nantes a été relayé par les médias du monde entier. De New-York à Sydney, le triste fait divers en cette période de fête a fait la Une lundi et mardi.



http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/qui-est-sebastien-s-le-chauffard-de-nantes_1635815.html

Qui est Sébastien S., le « chauffard » de Nantes?


Par LEXPRESS.fr, publié le 26/12/2014 à  17:45

Portrait de cet homme asocial de 37 ans, connu des services de police pour des faits mineurs, qui a foncé lundi, pour des raisons mystérieuses, dans le marché de Noël et tué une personne.

Qui est Sébastien S., le "chauffard" de Nantes?
La police relève des indices sur la camionnette qui a foncé sur un marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014.afp.com/Georges Gobet

Le profil de Virgile, le jeune homme tué lundi à Nantes, est, au fil des informations distillées dans la presse, de plus en plus clair: celui d’un amateur de danse, altruiste et généreux, fauché par la mort à 25 ans. Celui de son agresseur présumé, Sébastien S., est lui complexe. Peu de personnes connaissent réellement ce chômeur de 37 ans qui vivait isolé en Charente-Maritime. Même sa famille ne l’a pas vu depuis plusieurs années. Ses parents étaient sans nouvelles de leur fils depuis deux ans.Attentat de Nantes : le chauffard était ivre dans Crime empty

Né à La Rochelle en octobre 1977, il fait partie de ces enfants discrets un peu isolés. « Il n’avait pas de copain, se remémore sa soeur Loëticia qui s’est confiée au Parisien. Il était d’une timidité maladive. » Asthmatique, il rate souvent les cours et accumule les retards scolaires. Jusqu’à ce qu’en quatrième, il trouve sa vocation. « Les seules choses qu’il aimait, c’était les animaux, et surtout les plantes », selon sa soeur. A 19 ans, il part effectuer une spécialisation à Agde (Hérault) pour devenir paysagiste.

A 30 ans, un tournant


Econome, travailleur, il boursicote même avant sa majorité. Adulte, Sébastien achète et revend deux appartements dans le Sud, puis finance l’acquisition de sa maison de Berneuil (Charente-Maritime) où il s’installe il y a sept ans, à l’âge de 30 ans.

C’est à ce tournant de la trentaine que les choses se gâtent. Il se sépare de sa compagne et se met « à fumer du cannabis, et je voyais qu’il n’allait pas bien », se souvient Loëticia. « Son comportement n’était pas normal. Il fallait le faire soigner. Mais il ne voulait rien entendre. On a discuté tous ensemble d’un possible internement d’office, que je souhaitais, mais nous n’avons pas osé franchir le cap, craignant qu’il ne s’éloigne encore un peu plus… »

Pas de passif psychiatrique


Ce qui finit par arriver. Sébastien change de numéro de téléphone pour ne plus être appelé. Fini les échanges avec ses neveux et ses nièces dont il était jusqu’alors proche. Il ne côtoie plus alors que Lily, un berger allemand craintif que sa soeur lui avait offert.

Dès 2006, il est impliqué dans une affaire de vol et recel à Béziers (Hérault), selon le parquet de Saintes. Il est également mis en cause dans une dégradation de véhicule en 2008 mais cette affaire est classée sans suite. Malgré son isolement et son asociabilité, il n’est ni sous tutelle ni sous curatelle, ne prend aucun traitement médicamenteux et ne séjourne jamais en hôpital psychiatrique. La justice ne lui connaît qu’ « certain problème d’alcoolisme ». D’ailleurs, lundi soir, lorsqu’il fonce dans le marché de Noël de Nantes, il affiche un taux d’alcoolémie de 1,8 gramme par litre de sang.

Un mois de décembre étrange


Depuis début décembre, son comportement s’était fait plus étrange encore. « Il avait déposé plainte le 12 décembre contre des membres de sa famille, qu’il accuse par exemple de le dénigrer sur Internet… Mais il n’avait pas pu fournir d’éléments permettant d’identifier ce site, tout en affirmant que tous les habitants de la région l’avaient consulté », a expliqué, lors de sa conférence de presse mardi, la procureure de la République de Nantes.

Sébastien Sarron s’était aussi fait remarquer à Berneuil récemment par des feux qu’il allumait tous les soirs dans le jardin de l’ancienne ferme où il vit seul. Une bétonnière et une tondeuse y étaient ainsi passées, à la grande surprise des gendarmes locaux. « Comme ça dégageait une fumée opaque et noire, les voisins se plaignaient… Mais il a renvoyé balader ceux qui ont tenté de discuter avec lui », confie à Libération Joël Reignier, le maire de Berneuil.

Dans la camionnette blanche dont il s’est servi pour commettre l’irréparable à Nantes, un carnet avec des écrits « pour le moins décousus » ont été retrouvés par les enquêteurs. « Il est fait état des reproches faits à sa famille, de sa haine de la société ou bien du risque d’être tué par les services secrets. »


http://www.ouest-france.fr/camionnette-folle-la-tante-du-suspect-sebastien-etait-gentil-3080409

Camionnette folle à Nantes. La tante du suspect: »Sébastien était gentil »

Nantes – 24 Décembre
  • Dix piétons ont été fauchés lundi au marché de Noël de Nantes. Un jeune homme est mort.
    Dix piétons ont été fauchés lundi au marché de Noël de Nantes. Un jeune homme est mort. | Marc ROGER

La famille du conducteur du fourgon confie son incompréhension sur le geste du jeune homme.


«   Nous partageons la douleur de la famille de Virgile Porcher et nous lui présentons nos excuses. Ce qui s’est passé est terrible. » Accablée, la tante de Sébastien S., le conducteur du fourgon qui a foncé lundi dans la foule, à Nantes, entraînant la mort de Virgile, 25 ans, rassemble ses mots avec peine.

« Son geste fait très mal. Je me mets à la place de la famille du jeune homme mort. Je ne sais pas comment ils vont faire pour vivre avec ça », murmure-t-elle en pleurant.

Meurtrie, la tante de Sébastien S. avoue ne pas comprendre. « Nous avons grandi ensemble. On était très proches. Sébastien est quelqu’un de gentil, doux, généreux, pudique, à l’écoute des autres. Ce que j’entends dire de lui ne correspond pas à ce qu’il est. Cela ne colle pas avec sa personnalité. Pourquoi a-t-il commis un tel geste ? Il y a forcément eu un mal-être. Je ne l’ai pas vu depuis quatre ou cinq ans. Il a pu changer. C’est vrai qu’il se repliait sur lui-même comme un bernard-l’ermite. Pour en arriver là, il a dû psychoter. Je pense qu’il a pété les plombs. »



http://www.ouest-france.fr/camionnette-folle-nantes-que-disait-le-carnet-3080387

Camionnette folle à Nantes. Que disait le carnet ?

Nantes – 24 Décembre
  • Que disait le carnet du conducteur de la camionnette  ?
    Que disait le carnet du conducteur de la camionnette ? | Ouest-France. Marc ROGER

On en sait un peu plus sur le contenu du carnet retrouvé aux côtés de Sébastien S., lundi soir, quelques instants après qu’il a foncé dans la foule avec son fourgon blanc.


Les quelques lignes qui y sont griffonnées sont l’œuvre d’un homme qui est manifestement entré dans un grand délire. On savait déjà qu’il y évoquait sa peur des services secrets. Il y fait aussi état de ses difficultés relationnelles obsessionnelles avec sa famille, qu’il accuse de mauvais traitements. Il y évoque un « contrat » d’éducation imaginaire avec l’État qui prendrait fin ce mois-ci…

De nombreuses victimes « innocentes »


Il y manifeste aussi son intention de faire de nombreuses victimes « innocentes » pour régler ses comptes avec la société tout en s’excusant par avance auprès de leurs familles…

« Mon respect et ma compassion vont à la famille du jeune homme décédé à Nantes et aux victimes de ces attaques dramatiques. Il est de notre devoir collectif de tout mettre en œuvre pour les accompagner dans cette épreuve » a souligné la Ministre de la justice ce mercredi.



Puisqu’il est bien question d’un contrat d’éducation avec l’Etat, réel ou imaginaire, continuons à explorer la piste des manipulateurs de l’extrême-gauche, des pervers qui prônent effectivement l’action violente, destructrice, si possible sanglante et meurtrière, afin d’attirer l’attention des médias sur leurs revendications, en évitant toujours soigneusement de s’y montrer eux-mêmes en première ligne :


http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/listeReponseClassique.jsf

Sarron à proximité de Rochefort (17300)

: 5 réponses

2014-12-26_224805

http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/listeReponseClassique.jsf

Morillon à proximité de Rochefort (17300)

: 71 réponses

2014-12-26_225207


C’est toujours intéressant.

Poursuivons :


http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/listeReponseClassique.jsf

Sarron à proximité de Montluçon (03100)

: 6 réponses

2014-12-26_225624

http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/listeReponseClassique.jsf

Morillon à proximité de Montluçon (03100)

: 6 réponses

2014-12-26_230016

http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/listeReponseClassique.jsf

Sarron à proximité de Clermont Ferrand (63)

: 57 réponses

2014-12-26_230428

http://www.pagesjaunes.fr/pagesblanches/listeReponseClassique.jsf

Morillon à proximité de Clermont Ferrand (63)

: 11 réponses

2014-12-26_230737


Bingo !

Nous savons en effet depuis longtemps que le professeur « islamo-gauchiste » pervers et manipulateur se rend parfois dans la cité du pneu :

  1. 104694
    lamorille répond à 0
    Le 12 février 2011 à 20:06 | Permalien
    une journée passée avec le fiston sous le soleil à clermont…et ben j’ai rencontré zéro gniasse ! plein de mioches pour les séances ciné de la fin du festival du court métrage et pas un fâcheux.
    vive le puy-de-dôme !
    • 104696
      cyp répond à 104694
      Le 12 février 2011 à 20:11 | Permalien
      Y a pas de gniasses dans le Puy-de-Dôme, et pourtant y a plein de bouses.
      C’est le Paradoxe Auvergnat.
      Bon app’ le monde, et à tout’ !
    • 104702
      Numerosix répond à 104694
      Le 12 février 2011 à 23:59 | Permalien
      Clermont c’est connu et reconnu comme une ville sympa et plutôt accueillante pour l’étranger pas auvergnat et même parisien qui vient y faire ses études ou y bosser . J’ai connu de nombreux témoignages dans ce sens .
      Comme quoi, les bouseux sont pas monolithiques..
      • 104703
        Mon-Al répond à 104702
        Le 13 février 2011 à 0:04 | Permalien
        Non, non, pas tous, j’en ai même rencontré des sympas à Grenoble, alors :-)
      • 104704
        cyp répond à 104702
        Le 13 février 2011 à 0:07 | Permalien
        Ça dépend : y a des régions de France où les aborigènes bouseux ne jurent que par les monolithes. La Bretagne, par exemple.
        • 104705
          Numerosix répond à 104704
          Le 13 février 2011 à 0:10 | Permalien
          La Bretagne , c’est pas les pires non plus ..
          Des gens sympas, y en a partout heureusement, mais Grenoble est pas spécialement connu pour une proportion supérieure à la moyenne nationale , qui est déjà très faible, par contre..
          • 104706
            cyp répond à 104705
            Le 13 février 2011 à 0:15 | Permalien
            Ce qui sauve les bretons, c’est leurs kouignettes, déjà.
            Faudrait pas que le gouvernement s’installe à Grenoble, parce que le (déjà très) faible pourcentage de gens sympas s’y effondrerait sur lui même et l’univers entier serait aspiré dans ce trou noir…
      • 104707
        Hulk répond à 104702
        Le 13 février 2011 à 1:48 | Permalien
        Il faut aimer les pneus quand-même pour vivre à Clermont…
        • 104708
          Numerosix répond à 104707
          Le 13 février 2011 à 8:04 | Permalien
          Ha ben Clermont-Ferrand ,en plus que ça pue le pneu; que c’est de la pierre noire , que ça caille bien l’ hiver et que c’est la fournaise l’ été, tu arrives dans la ville, t’as aucune envie d’ y habiter , hein .
          C’est justement ça le paradoxe. J’en ai vraiment entendu parler en bien, de plusieurs sources amicales différentes pas nées la .
          Maintenant , est ce la réalité , je peux pas le jurer.
          Et comme je n’y ai pas de famille , ni aucun intérêt dans l’office du tourisme et le pôle économique et que je n’ai jamais baisé une auvergnate outé qui m’aurait fait des trucs inoubliables, si quelqu’un me dit le contraire et casse le mythe, je l’écouterai en toute objectivité sans passion , que ce soit clair..
          Y a juste concernant la gomme. Que j’ai remplacé y a pas longtemps les pneus avant de ma tire par des pas Michelin pas chers , et que j’ai assez vite remis ces foutus pneus à l’arrière et cassé ma tirelire pour chausser des vrais Michelin à l’avant pour me ressentir en sécurité en traction avant..
          Pour le seul dernier produit que l’industrie française on est les meilleurs, autant l’utiliser..
  • 104709
    lamorille répond à 104708
    Le 13 février 2011 à 9:08 | Permalien
    quand tu prends le tramway, y’a du michelin partout : usine, stade…hier, il faisait 12 degrés et nous avens sandwiché dehors.
    le bonjour, fors les folles de gniassique park.
    • 104710
      Numerosix répond à 104709
      Le 13 février 2011 à 9:13 | Permalien
      C’est un pneu pénible..
      Mais bon . Ternalisme ou paternalisme : ne travaillez jamais !
      Le bonjour et que dimanche ne pas pleurera.
      • 104711
        lamorille répond à 104710
        Le 13 février 2011 à 9:31 | Permalien
        figure-toi qu’il y peu, le tram clermontois a effectué une sortie de route et s’est encastré dans un mur. sûrement un problème de pneumatique ?
        sinon, number, ça baigne ?
        • 104713
          cyp répond à 104711
          Le 13 février 2011 à 12:56 | Permalien
          Be indian, buy indian !
           dans Folie
          Et salut le monde !
        • 104714
          Numerosix répond à 104711
          Le 13 février 2011 à 14:39 | Permalien
  • 104715
    Liger répond à 104711
    Le 13 février 2011 à 17:02 | Permalien
    Partir à Clermont, c’est crever un pneu..
    Deux de mes potes ont fait leurs études à Clermont. Impossible d’imaginer qu’ils s’y soient faits chier.
    (en même temps, l’un d’eux a vécu ensuite à Vierzon, et on y a fait la fête une bonne trentaine de WE, c’est dire si le lieu importe peu)
    Et salut les gens !
    • 104716
      cyp répond à 104715
      Le 13 février 2011 à 17:13 | Permalien
      Pourtant, Vierzon, faut vraiment avoir un moral d’acier pour parvenir à y survivre…
      • 104717
        Liger répond à 104716
        Le 13 février 2011 à 18:04 | Permalien
        Ah ça, pour expliquer ce qu’est un trou noir, on peut se taper 1200 pages d’ouvrages d’astrophysique, ou alors quitter l’A71 (la solution la plus mnémotechnique)..
        Brrr…
        • 104718
          cyp répond à 104717
          Le 13 février 2011 à 18:14 | Permalien
          On peut aussi se servir de l’ouvrage de 1200 pages pour boucher le trou noir. Simple, élégant et efficace.
          Grâce à la bande de bricolodéconnos de l’Ici-Blog, l’univers peut dormir tranquille : nul trou de Vierzon [Grenoble - Clermont-Ferrant : biffer la mention inutile] ne viendra troubler son doux ronflement.
          • 104719
            Liger répond à 104718
            Le 13 février 2011 à 18:40 | Permalien
            Merci Professeur !
            professeur_choron dans LCR - NPA
            • 104720
              cyp répond à 104719
              Le 13 février 2011 à 18:46 | Permalien
              Que Sainte Prothèse chante Ses louanges !

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