Cet article que j’avais publié initialement sur Le Post
le 21 février 2010 n’a pas rencontré là un grand succès, en dépit de mon
lectorat sur ce site, relativement important (plusieurs milliers de
lectures pour chaque nouvel article, dans les heures suivant sa
publication).
Il n’a suscité aucun commentaire sur mon blog « Un petit coucou » sur
OverBlog où je l’avais republié le 20 mai 2010 avec quelques
explications (cliquez sur l’image pour l’agrandir) :
Voici ce dernier article sous une forme directement accessible :
Après la suppression de mon compte « jexiste » le 26 février 2010,
je me suis réinscrite sur Le Post sous le pseudonyme
« jexistetoujours », et ai reposté durant quatre jours quelques uns des
derniers articles que j’avais signés »jexiste », afin de provoquer des
réactions qui puissent m’en apprendre un peu sur les raisons de la
suppression de mon compte. En effet, ni la modération ni la rédaction du
Post ne répondaient à mes demandes d’explications, comme je l’ai déjà
exposé dans cet article du 30 mars dernier :
Ainsi le 1er mars 2010 ai-je republié un post du 21 février
intitulé « Affaires de moeurs et extrême-gauche: appel à témoignages ».
Dans sa première version, restée en ligne jusqu’à la suppression de
mon compte le 26 février, il n’avait pas suscité la moindre réaction.
Dans sa seconde version, identique à la première, hors les
identifiants de l’auteur et la date de publication, il m’a attiré les
commentaires de trois des personnes visées par son contenu, « Le
renard », qu’un oeil exercé identifie rapidement comme étant le riverain
« ginkoland », de la bande à Cyp, « vafanculo », posteur régulièrement
inscrit, de toute évidence un militant de l’extrême-gauche, jusque-là
totalement inconnu, et « Texiste trop », l’un de mes harceleurs
d’habitude, un délirant chronique de la bande à Cyp dont le pseudonyme
exprime très bien ses sentiments à mon égard : il ou elle me
souhaiterait morte et enterrée depuis longtemps…
Ce post du 1er mars n’a pas plus été modéré que le précédent, il
n’a disparu du site qu’avec la suppression de mon compte
« jexistetoujours » le 3 mars 2010.
Affaires de moeurs et extrême-gauche: appel à témoignages
Dans les réactions sur un post du 28 mars 2009
relatif aux lettres de menaces qu’adressait l’année dernière à diverses
personnalités le corbeau de l’Hérault, figure celle-ci, parfaitement
anonyme :
Colonna aux chiottesle 30/03 à 08h22
Beaucoup de gens en reçoivent tout comme Madame Albanel, même via le post !
Personne ne peut comprendre ,seulement ceux à qui ces ordureries sont destinées /
sur le post je vous certifie qu’il y a des internautes-corbeaux ! et pas des moindres !
Il y a une femme qui le fait depuis 4 ans et a déjà eu 7 plaintes !
elle fait cela avec un vieux gauchistes qui se faisait rétribuer par les
Chiraquiens et les socialistes. Ce sont les plus virulents du post sous
un tas de pseudos.
Ils défendent Colona, Coupat etc parce qu’ils font les mêmes saloperies sur d’autres, ce ne sont que des délinquants protègés !
En soutenant Coupat, c’est EUX MÊMES qu’ils défendent ! Coupat est un agité comme eux !
Il y a même eu des menaces de mort mises plusieurs fois à exécution
sur des gens ne soutenant pas les délinquants du Larzac et autres beau
pays de pourris !
Ils devraient bien s’en vanter ici s’ils ont du courage les mauviettes gauchos !
Accidents de la route provoqués, coups et blessures à domicile ! etc etc alors les gauchos ? plus de souvenirs ?
Les gauchos payés s’attaquaient à des petits enfants et à des mères
de famille à domicile qu’en dites vous ? pour protèger crimes et viols à
répétition !
C’était pas en Corse mais dans les régions où ils avaient des connivences officielles !
Je ne sais ce que vaut ce témoignage ou
cette dénonciation, et ne partage pas forcément toutes les opinions de
son auteur, mais suis tentée de lui accorder quelque crédit, dans la
mesure où je suis moi-même témoin ou victime de faits similaires à ceux
qui y sont évoqués.
Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Avez-vous des précisions, d’autres témoignages à apporter sur le même sujet ?
Dans les réactions sur un post du 28 mars 2009
relatif aux lettres de menaces qu’adressait l’année dernière à diverses
personnalités le corbeau de l’Hérault, figure celle-ci, parfaitement
anonyme :
Colonna aux chiottesle 30/03 à 08h22
Beaucoup de gens en reçoivent tout comme Madame Albanel, même via le post !
Personne ne peut comprendre ,seulement ceux à qui ces ordureries sont destinées /
sur le post je vous certifie qu’il y a des internautes-corbeaux ! et pas des moindres !
Il y a une femme qui le fait depuis 4 ans et a déjà eu 7 plaintes !
elle fait cela avec un vieux gauchistes qui se faisait rétribuer par les
Chiraquiens et les socialistes. Ce sont les plus virulents du post sous
un tas de pseudos.
Ils défendent Colona, Coupat etc parce qu’ils font les mêmes saloperies sur d’autres, ce ne sont que des délinquants protègés !
En soutenant Coupat, c’est EUX MÊMES qu’ils défendent ! Coupat est un agité comme eux !
Il y a même eu des menaces de mort mises plusieurs fois à exécution
sur des gens ne soutenant pas les délinquants du Larzac et autres beau
pays de pourris !
Ils devraient bien s’en vanter ici s’ils ont du courage les mauviettes gauchos !
Accidents de la route provoqués, coups et blessures à domicile ! etc etc alors les gauchos ? plus de souvenirs ?
Les gauchos payés s’attaquaient à des petits enfants et à des mères
de famille à domicile qu’en dites vous ? pour protèger crimes et viols à
répétition !
C’était pas en Corse mais dans les régions où ils avaient des connivences officielles !
Je ne sais ce que vaut ce témoignage ou
cette dénonciation, et ne partage pas forcément toutes les opinions de
son auteur, mais suis tentée de lui accorder quelque crédit, dans la
mesure où je suis moi-même témoin ou victime de faits similaires à ceux
qui y sont évoqués.
Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Avez-vous des précisions, d’autres témoignages à apporter sur le même sujet ?
Ça y est elle est devenue complètement folle ?
Le choc de la suppression de jexiste, son moi ?
Mais comment peut-on écrire un tel ramassis de conneries avec tant de haine ?
Alerter les modérateurs | Rejeter
jexistetoujours le 01/03 à 15h46
Mais comment peut-on haïr assez les salariés du privé pour en assassiner des familles entières ?
En militant dans certaines organisation de l’extrême-gauche.
Alerter les modérateurs | Rejeter
jexistetoujours le 01/03 à 15h09
Tiens, c’est drôle, vous êtes plusieurs à réagir, et le nombre de « vu » reste à zéro.
On me bloque mes compteurs, maintenant ?
C’est d’une puérilité…
De toute évidence, les « journalistes institutionnels » ne sévissent
pas encore en Inde, où presse et politiques évoquent sans problème
certains faits criminels, jusque dans la part de responsabilités
incombant aux fonctionnaires.
Il faut bien dire que ce pays n’a pas connu la « révolution » de mai
68, et que l’hypersyndicat de fonctionnaires LCR ou NPA n’y est pas
développé.
Pour preuve : en Inde, la notion de « castes » reste traditionnelle,
elle n’a jamais subi les inversions que l’extrême-gauche a imposées en
France, faisant des illettrés les dieux tout puissants des juges, aux
dépens des ingénieurs et autres intellectuels devenus leurs bêtes
noires, à abattre par tous les moyens, y compris, ou en tout premier
lieu lorsqu’il s’agit de femmes, par le viol, crime que les miliciens de
la toute nouvelle « aristocratie ouvrière » sont vivement encouragés à
commettre autant qu’il leur plaît.
Ces derniers sont les gardiens acharnés de l’ordre établi chez eux,
celui d’un matérialisme pur et dur où la femme n’est qu’objet de
consommation et ne saurait manifester de quelconques velléités de penser par
elle-même…
Les femmes ingénieurs y sont traitées de « sales putes volant la
place des hommes dans le travail », leur calvaire est le même que celui
des Indiennes de basse caste, mais chuuut !!! le tout puissant NPA
veille depuis des lustres au maintien d’un blackout total à ce sujet, en
conséquence de quoi, après les plus lettrées dont l’importance s’est
bien amenuisée au fil des ans, toute la gent féminine pâtit aujourd’hui
de la taritude de l’ouvrier roi qui bien évidemment se sert comme il
veut parmi les plus démunies.
Voici donc un exposé des faits comme ils se produisent en Inde, où
malgré tout le public est informé et les fonctionnaires fautifs
sanctionnés, ce qui n’est pas le cas en France :
Un viol suivi de pendaison illustre le martyre des Indiennes de basse caste
LE MONDE | 31.05.2014 à 09h59 | Par Julien Bouissou (New Delhi, correspondance)
L’image sordide s’est répandue à toute allure sur les réseaux sociaux
: une assemblée de villageois calmement assis autour de deux
adolescentes pendues aux branches d’un manguier. La scène s’est déroulée
dans un petit village d’Uttar Pradesh, l’un des Etats les plus pauvres
d’Inde,
miné par les conflits entre castes. L’autopsie a révélé que les deux
jeunes filles de 14 et 15 ans avaient été violées avant leur mort, dans
la nuit du mardi 27 mai au mercredi.
Les villageois ont attendu, devant les corps suspendus des victimes, l’arrivée des journalistes et des caméras pour faire pression sur la police qui s’est finalement décidée, une dizaine d’heures plus tard, à arrêter
les suspects. La veille de la découverte des corps, des policiers
avaient insulté, et renvoyé chez lui, le père de l’une des victimes,
lorsqu’il était venu signaler la disparition de sa fille.
Les familles accusent la police d’avoir voulu épargner
les suspects issus, comme eux, de la caste des yadavs. Une centaine
d’étudiants sont descendus dans les rues de Delhi, vendredi, pour demander au gouvernement de sanctionner les policiers. Deux agents ont été mis à pied et deux des trois suspects, arrêtés.
« VIOLENCE, PROVOCATION, SENTIMENT D’IMPUNITÉ »
Dans les zones rurales de cette région du nord de l’Inde, une femme appartient à sa caste avant de s’appartenir à elle-même. Victime de la société patriarcale, elle est aussi la plus exposée aux violences subies par les basses castes.
« La pendaison des victimes dans un lieu public est un acte de
violence et de provocation. C’est la preuve que le sentiment d’impunité
règne encore », déplore la féministe Kavita Krishnan.
Malgré la nouvelle loi votée en 2013 prévoyant jusqu’à la peine de mort
pour les auteurs de viol, ces derniers sont encore nombreux à se croire invincibles, surtout lorsque les victimes sont au bas de l’échelle sociale et n’ont pas accès à la justice.
Les femmes issues des basses castes sont les damnées des damnés de l’Inde. Elles doivent subir, souvent en silence, violences et discriminations. La liste est longue : prostitution
forcée, violences domestiques, viols, négligences en matière de soins
médicaux, malnutrition, illettrisme ou avortement sélectif. L’une des
rares études publiées sur le sujet, en 2006, par la Campagne nationale
pour les droits de l’homme des intouchables (NCDHR) donne un aperçu de
l’ampleur de cette tragédie : sur 500 femmes issues de la caste des
intouchables, une sur deux déclare avoir
subi des agressions sexuelles. Les auteurs de l’étude citent même
l’exemple de parents qui marient leur fille dès l’âge de 5 ans de peur
qu’elle soit violée et ne trouve plus d’époux.
Les lois existent, mais la justice n’est qu’un rêve lointain pour ces
femmes souvent très pauvres. Il arrive que la police tente de les dissuader de porter plainte ou refuse d’enregistrer
leur plainte. Parfois ce sont les médecins qui inscrivent dans leur
rapport que la victime était habituée aux rapports sexuels, suggérant
que la fille était « facile », donc consentante. Et la justice se paie
cher, non pas pour s’offrir les services d’un avocat, mais pour verser des pots-de-vin, passer des journées au tribunal sans travailler et donc être privé de revenus déjà maigres.
« LAXISME DE LA POLICE »
Ces femmes s’exposent aussi aux représailles des castes supérieures.
Jeudi soir, la mère d’une victime de viol a été battue et déshabillée en
public dans l’Uttar Pradesh après que sa fille, de basse caste, a porté
plainte. « Le viol ou toute autre forme de violence sont des armes utilisées comme punition pour avoir transgressé l’ordre établi », analyse Namrata Daniel, de la NCDHR. Les victimes sont donc nombreuses à choisir le silence.
Elles ont contre elles une société patriarcale et un Etat incapable de protéger leurs droits. « La triste réalité, c’est que les droits de nombreuses femmes en Inde continuent d’être violés et l’impunité est la norme », déclarait, en mai 2013, la rapporteuse spéciale de l’ONU sur les droits des femmes, Rashida Manjoo.
Au lendemain des manifestations provoquées par le viol collectif, en décembre 2012, d’une étudiante qui avait succombé à ses blessures, les associations féministes étaient parvenues à imposer une nouvelle loi protégeant mieux les victimes. «
Mais, dans le mouvement féministe, on ne prête pas suffisamment
attention aux problèmes des femmes intouchables et, dans le mouvement
des intouchables, elles sont ignorées. La caste, la classe et le genre
doivent être abordés ensemble », insiste Namrata Daniel.
Vendredi, la ministre chargée de l’enfance et des femmes, Maneka Gandhi, a annoncé la création d’une cellule de crise pour venir en aide aux familles des deux adolescentes. « Le laxisme de la police est également responsable de l’incident qui a conduit à [leur] mort », a reconnu Mme Gandhi.
La
police indienne garde l’arbre où étaient suspendus les corps de deux
jeunes filles de 14 et 15 ans violées et pendues dans l’Etat d’Uttar
Pradesh le 31 mai 2014 (c) Afp
Katra Shahadatgunj (Inde) (AFP) – Cinq hommes ont été arrêtés pour le
viol en réunion et le meurtre de deux adolescentes retrouvées pendues à
un arbre dans leur village de l’Uttar Pradesh, dans le nord de l’Inde, a
annoncé samedi la police.
La découverte mercredi dernier des corps des deux cousines, de la
caste des Intouchables (« dalits ») âgées de 14 et 15 ans, à
Katrashadatganj, un village pauvre du district de Budaun, dans l’Etat de
l’Uttar Pradesh, a suscité une vague d’indignation dans le pays, après
plusieurs autres affaires de violences sexuelles.
« Ces hommes (accusés du meurtre) ont d’abord violé les victimes puis
les ont pendues comme l’a confirmé le rapport d’autopsie », a déclaré
au téléphone à l’AFP le commissaire Atul Saxena, chef de la police du
district de Budaun.
« Le viol des deux jeunes filles a été confirmé. La cause de la mort est l’asphyxie », a-t-il ajouté.
« Les jeunes filles étaient encore vivantes lorsqu’elle sont été pendues », a-t-il souligné.
Sur les cinq hommes, trois ont été inculpés de meurtre et de viol en
réunion, tandis que les deux autres, des policiers, sont accusés de
complicité criminelle, a précisé le commissaire Saxena.
- Agression de caste -
Les familles des victimes avaient déposé des plaintes contre les cinq
hommes pour viol en réunion, meurtre et agression sexuelle de mineures,
mais l’hypothèse d’un suicide des deux jeunes filles, qui auraient pu
se pendre après leur agression, avait été dans un premier temps émise
par la police.
Les proches des deux cousines, des agriculteurs, ont déclaré à l’AFP
que la police aurait pu secourir les deux adolescentes mais qu’elle
avait refusé de le faire lorsqu’elle avait compris qu’elles
appartenaient à une basse caste. Les agresseurs présumés appartiennent à
une caste plus élevée que la leur.
« Ces policiers se sont abstenus d’agir pendant des heures alors
qu’ils auraient pu sauver deux jeunes vies.
Pourquoi tout est une
affaire de caste? », a déploré le père de l’une des victimes.
Les victimes ont été violées à plusieurs reprises, selon la police.
Selon le récit du père fait à l’AFP, les deux cousines ont été
agressées lorsqu’elles se sont rendues dans un champ pour aller aux
toilettes, n’en ayant pas chez elles.
Le père a indiqué que son frère avait entendu des pleurs en
provenance du champ où s’étaient rendues les jeunes filles. Il a
commencé à se battre avec les cinq hommes mais a dû s’enfuir lorsqu’ils
ont menacé de tirer sur lui.
La famille a alerté la police qui a répondu que les jeunes filles se
trouvaient avec un villageois appartenant à une caste plus élevée et
qu’elles seraient de retour dans « deux heures », a poursuivi le père,
dont l’anonymat est préservé conformément à la loi indienne.
Ces violences mettent à nouveau en lumière la difficulté de prévenir
les violences sexuelles en Inde, pays en déficit de filles, en dépit
d’un durcissement de la loi et d’efforts pour changer les comportements
envers les femmes depuis le viol en réunion et la mort d’une étudiante à
Delhi fin 2012 qui avaient choqué l’Inde.
En début d’année, une jeune fille avait été violée en réunion dans un
village reculé du Bengale occidental (est) sur ordre d’un conseil
d’anciens qui s’opposait à sa liaison avec un musulman.
Selon le recensement de 2011, pour 1.000 garçons âgés de moins de 6 ans, l’Inde
comptait seulement 914 filles, contre 927 en 2001. Cette différence
serait liée à la pratique des avortements sélectifs et aux charges
financières pour les familles afférant au mariage des filles.
Juste avant la suppression de mon compte « jexiste » sur
Le Post, le 26 février 2010 à 12h41, au motif d’un prétendu
« comportement agressif » qui ne m’a jamais été davantage précisé,
j’avais donc bien rencontré quelques difficultés avec l’intégration dans
un de mes articles sur ce site de la vidéo « La Vieille qui roulait au
super », dont le personnage principal se prénomme Josette, cette
diffusion s’apparentant selon la modération du Post à des « propos
agressifs ».
Comme rapporté précédemment, j’en avais parlé sur mon blog « Un petit
coucou » sur OverBlog dans cet article du 10 juillet 2010 où j’avais
republié la totalité de l’article en cause en exposant aussi ses
différentes variantes successives, et tous les commentaires qu’elles
avaient suscités sur Le Post :
Dès l’annonce publique de
l’arrestation de Serge Rodallec en Thaïlande fin janvier de cette année,
j’ai retransmis l’information dans cet article publié sur Le Post le 16
février 2010 :
Comme je l’ai expliqué sur ce blog
le 30 avril dernier dans l’article suivant, en dates des 18 et 19
février 2010, l’un de mes harceleurs s’était manifesté dans les
commentaires sur ce tout premier post consacré à l’affaire Rodallec sous
le pseudonyme jusque-là inusité de « eau de roche » :
Le 20 février à 23h37, j’ai publié ce
nouvel article, que j’ai dû modifier très légèrement le lendemain à
15h09, comme l’indique sa version définitive :
Accusé de viols par plusieurs patientes, condamné en première instance, le psychiatre est acquitté en appel
Sept mois après sa condamnation en première instance
par la cour d’assises de la Dordogne à une peine de douze ans de
réclusion criminelle assortie d’une interdiction définitive d’exercer,
le Dr Daniel Cosculluela, psychiatre de Bergerac âgé de 53 ans, a été
acquitté hier, vendredi 19 février 2010, par la cour d’assises d’appel
de la Gironde, à Bordeaux, ville dont il est originaire.
Il était poursuivi pour des viols commis sur quatre de ses patientes entre 1989 et 1996.
La première de ses accusatrices, Mireille Lasserre, une conseillère
professionnelle à l’agence pour l’Emploi de Bergerac aujourd’hui âgée
d’une cinquantaine d’années, avait porté plainte avec constitution de
partie civile au mois de décembre 1997. Sa première plainte, déposée en
1996, avait été classée sans suite.
Souffrant d’une dépression sévère,
après notamment une agression sexuelle subie pendant l’enfance, d’abord
prise en charge de façon classique par le Dr Cosculluela, avec « une psychothérapie« , « des antidépresseurs » et « des anxiolytiques« ,
elle dénonçait un rapport sexuel avec son thérapeute à l’issue de deux
séances d’hypnose qu’il lui avait proposées par la suite. Brutalement,
le médecin lui avait dit que la thérapie était finie, et lui avait
imposé un rapport sexuel rapide. Auront suivi deux années durant
lesquelles elle allait « de plus en plus mal« , ne pouvant se
soustraire à l’emprise de son ancien thérapeute. Elle évoquait ainsi des
rapports à la sauvette, son partenaire parfois « impuissant« , des relations sans amour. « Moi je n’étais rien, il me parlait de toutes les jeunes femmes avec qui il avait des relations« , a-t-elle témoigné. Ces »humiliations » ont cessé lorsqu’elle a porté plainte.
Trois autres patientes, dont une gérante d’entreprise, s’étaient
ensuite constituées parties civiles pour des faits de même nature, et le
Mouvement pour le planning familial et un Collectif féministe contre le
viol s’étaient joints aux plaignantes.
Parallèlement à l’enquête pénale, en septembre 1997, estimant qu’il avait eu « un comportement violant les principes de moralité, de probité et la déontologie de sa profession« ,
le conseil régional de l’Ordre des médecins d’Aquitaine avait radié à
vie le médecin, mais cette sanction avait été ramenée en appel par le
Conseil national de l’Ordre à trois ans d’interdiction d’exercer.
Psychiatre brillant et apprécié de ses confrères,
Daniel Cosculluela est un adepte des thérapies brèves. Pour la
relaxation de ses clients, il emploie notamment l’hypnose ericksonienne,
dont il a vanté les bienfaits au cours d’une émission de télévision, et
c’était là l’un des enjeux du procès.
En effet, les victimes disent toutes que c’est à la suite à de telles séances,
ou après la lecture de contes allégoriques, qu’elles se sont retrouvées
privées de volonté, et que le psychiatre en aurait profité pour avoir
avec elles des rapports sexuels « rapides« et « sans plaisir« , « non souhaités« , « imposés par la surprise« , et « non protégés« .
Face aux dénégations du médecin, qui a
toujours formellement nié toute relation sexuelle avec l’une de ses
patientes, dément jusqu’aux séances d’hypnose, présente les
plaignantes comme des « affabulatrices » ayant ourdi un « complot » à son encontre, et les fait traiter de « folles furieuses »
par son avocat, celles-ci n’ont jamais varié dans leurs déclarations,
et ce, en quinze années d’une procédure dont deux procureurs et un juge
d’instruction se sont prononcés pour l’abandon. Toutes ont fait une
description de détails physiques de l’accusé que « seule une fréquentation intime pouvait révéler« ,
selon le rapport du Conseil national de l’ordre des médecins. De plus,
elles ont toutes été traitées pour la même maladie sexuellement
transmissible à la suite des viols qu’elles dénoncent. Or, le seul lien
qui les unit est le psychiatre.
Mais il y a aussi neuf autres anciennes patientes
pour lesquelles les faits étaient prescrits, ou qui ont renoncé à porter
plainte, et qui disent avoir subi le même sort. Parmi elles, une
ancienne institutrice de 58 ans et une retraitée de la fonction publique
de 51 ans, venues témoigner de leur dégoût, leur honte, et la peur de
ne pas être crues. Trois nouveaux témoins présentés comme victimes du
psychiatre avaient également été appelés à la barre pour ce procès en
appel qui s’est ouvert le jeudi 11 février 2010 et s’est terminé hier,
tandis qu’une instruction est actuellement en cours à Périgueux, suite à
deux nouvelles plaintes d’anciennes patientes du médecin pour des
faits similaires.
Comme pour le premier procès devant la cour d’assises de la Dordogne,
à Périgeux, au mois de juillet 2009, le médecin comparaissait libre, la
chambre de l’instruction de la cour d’appel de Bordeaux ayant ordonné
sa remise en liberté au mois d’octobre, et trois des quatre
plaignantes étaient présentes pour témoigner.
De même, au terme d’un réquisitoire semblable au premier, d’environ
une heure quinze, au cours duquel il présentait toujours le psychiatre
comme un homme « particulièrement dangereux » qu’il faut « empêcher de nuire« , « un violeur en série qui choisit ses proies parmi ses patientes les plus vulnérables« ,
le procureur général Jean-Luc Gadaud avait réclamé jeudi comme en
première instance quinze ans de réclusion criminelle et une interdiction
d’exercer à titre définitif.
Le verdict a été accueilli par des applaudissements du côté des
soutiens du médecin, et des cris et des larmes du côté des parties
civiles, effondrées.
Pour Maître Isabelle Steyer, du Collectif contre le viol, partie civile dans cette affaire, « ce jugement démontre à quel point le sujet n’est pas encore intégré dans l’esprit des citoyens« .
Presses nationale et étrangère ont relaté le procès.
Comme je m’attends à voir débouler mon Eau de boudin dans les
commentaires, je lui offre cette vidéo que j’intitule « Die unwürdige
Greisin fait ses courses » :
Terrible pour les victimes bafouées et souillées définitivement.
Juste une question, comment est-ce possible, avec toutes ces preuves ?
Toutes les femmes violées ou utilisées sexuellement (je ne parle pas
de rapport librement consenti, sans manipulation) n’auront pas eu la
présence de garder leur petite robe comme Monica. Un simple prélèvement
d’ADN aurait alors classé l’affaire. On ne voit plus que cela comme
preuve à apporter…
Il existe une justice à laquelle on ne peut échapper, mais elle ne reconstruira pas ces femmes.
Ce post en ligne depuis hier à 23h37
a été supprimé par la modération aujourd’hui à 18h40 pour le motif
suivant : « propos agressif ». Il totalisait 1391 lectures. En
conséquence, je le republie après avoir modifié la phrase que je suppose
être ce « propos agressif », la dernière du post, signalée par cette couleur verte.
Le modérateur précise : « Sont considérés comme agressifs, les messages
contenant des attaques personnelles, les règlements de compte entre
posteurs, ou bien de façon générale des attaques brutales ou excessives
contre un autre utilisateur. »
Pour vous distraire un peu après
tout ceci, je vous propose cette vidéo que j’intitule « Die unwürdige
Greisin fait ses courses » :
Cette seconde version avait suscité les réactions suivantes :
jexiste le 21/02 à 19h50
Voilà la phrase fautive contenue dans le post initial :
« Comme je m’attends à voir débouler mon Eau de boudin dans les
commentaires, je lui offre cette vidéo que j’intitule « Die unwürdige
Greisin fait ses courses » : »
Où sont l’agressivité ou les règlements de comptes entre posteurs ?
C’est possible, mais violeurs et médecins délinquants ou criminels
sont tous très difficiles à faire condamner. Celui-ci avait bien été
condamné par la cour d’assises de Dordogne. A Bordeaux, les jurés
n’étaient pas les mêmes, et ils ont pu être impressionnés ou induits en
erreur par la défense du psychiatre, renforcée, tous ses soutiens, et
par les mauvaises questions qu’a relayées la presse au cours du procès :
y a-t-il eu surprise, contrainte, etc… Dès lors qu’un psychiatre a des
relations sexuelles avec l’une de ses patientes, il n’y a pas à
tergiverser, c’est du viol. C’est d’ailleurs pour cette raison que le
psychiatre a toujours tout nié en bloc en dépit des évidences. C’est
aussi pour cette raison qu’il a été interdit d’exercice par le Conseil
de l’Ordre des médecins durant trois ans.
Alerter les modérateurs | Rejeter
amazeigh le 21/02 à 20h36
j ‘imagine que la partie civile et au vu du nombre de victimes, a du
faire la queue au tribunal.LES NOTAIRES BAISENT LEURS CLIENTS.LES
BANQUIERS BAISENT LEURS CLIENTS.pourquoi les toubibs se branleraient ils
tout seuls comme des cons?
Hier, j'ai fait suivre la publication de ce
post d'une réaction dans laquelle je donnais la phrase qui a été
assimilée par la modération à des "propos agressifs" ou
attaques personnelles "brutales ou excessives".
Chacun pouvait ainsi juger de quoi il retournait. Je constate
aujourd'hui que cette réaction a été supprimée, probablement, comme
d'habitude, à la demande de la personne qui fait
aussi supprimer de mes posts sous divers prétextes non valables. Dans sa
version initiale, ce post ne contenait AUCUNE ATTAQUE
ENVERS AUTRUI. C'est si vrai qu'aujourd'hui Le
Post me demande d'expliquer en quoi cette phrase constituait une telle
attaque et qui elle visait, sans toutefois rejeter les
qualificatifs utilisés par le dénonciateur.
et voila, la seule réponse qu’il y aura pour lui c’est trou du cul,
doigt dans le cul, enfermement, ect…………..pour un mec qu’on a laissé.
a sa place, je voudrai qu’on me bute. maintenant il a violé, certes mais une réponse dans ses conditons.
dabord ça risque l’exiquiter, ensuite c’est pauvre en matière de prévention pour l’avenir. je souhaite bon courage à la société.
moi, j’en ai pas pour longtemps.
trouvez d’autres réponse, il faudrait être moins en ruthe devant de telles méthodes.
enfin, je n’ai jamais viplé ni quoi que se soit mais je remarque que rien n’ai adalpté à l’enfance en souffrance.
mais attention, si je n’ai jamais rien fait j’ai personne à remercier
pour ça. sur tout pas les profs, la police, et les gens en général.
surtout pas eux.
maintentant qu’ils sont sans cesse à s’occuper de ce que je fais, à le
divulguer, à me le foutre dans la gueule lorsqu’ils passent, comme
ça,maintenant que je nai plus de vie plrivée, d’anonymat, je peux m’en
foutre une.
Alerter les modérateurs | Rejeter
3336le 23/02 à 21h30
ça se vie comme un viol psychologique. un viol de soi, un viol.
Alerter les modérateurs | Rejeter
3336le 23/02 à 21h33
et quoi qu’il arrive si je dois y passer, au moins une chose de positif, je m’en fou je m’en fou je m’en fou vraiment.
je ne ferai absolument rien pour vivre une seconde de plus.ABSOLUMENT RIEN; je m’en fou je m’en fou, je serai débarassée même.
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3336le 23/02 à 21h36
la place va se libérer
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Ces deux versions du même article sont restées en ligne jusqu’à la suppression de mon compte « jexiste » le 26 février 2010.
Le 2 mars 2010, j’en ai republié la première sous mon nouveau pseudonyme « jexistetoujours » avec le préambule suivant :
Accusé de viols par plusieurs patientes, condamné en première instance, le psychiatre est acquitté en appel
Rediffusion – Première publication le 20 février 2010 par « jexiste », compte supprimé le 26 février 2010 à 12h41.
N.B. : Supprimé à tort le 21 février 2010 à 18h40 par la
modération alertée abusivement, ce post avait été rétabli par le même
service dès le lendemain, 22 février 2010.
Cette nouvelle
publication a disparu de son support, Le Post, avec la suppression de
mon compte « jexistetoujours », dès le lendemain, 3 mars 2010.
Elle avait donné lieu aux réactions suivantes :
Azraelle le 02/03 à 20h44
Super d’avoir reposté.
aber warum eine unwürdige greisin dazu ?
Pouvez vous nous reposter également le post avec les extraits « tout maché » en quelque sorte.
Merci et bonne continuation.
Echaudée par une précédente suppression de compte avec perte
définitive de tous mes textes sur un autre site d’information (toujours à
la demande des mêmes…), désormais je prends mes précautions et
sauvegarde tout.
Die unwürdige Greisin : http://de.wikipedia.org/wiki/Die_unw%C3%BCrdige_Greisin
Bertolt Brecht est une référence de l’extrême-gauche.
Daniel Cosculluela se dit trotskyste et libertaire.
Et il y a bien quelques vieilles dames indignes parmi mes harceleurs…
lesquels viennent m’attaquer et me font censurer autant qu’ils peuvent
dès que j’aborde ces sujets où ils sont plus que mal à l’aise…
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Azraelle le 02/03 à 21h20
désolée, le détail des articles c’était pour le breton, ne n’ai vu l’article qu’après.
Et voici, en complément de cette republication de l’article dédié de
mon blog « Un petit coucou » sur OverBlog, tous mes échanges de
courriers électroniques de l’époque des faits avec les responsables du
Post, depuis la première suppression de cet article initialement publié
le 20 février 2010, jusqu’à la suppression de mon compte et toutes mes
demandes d’explications restées sans autre réponse qu’un nouvel avis de
suppression de post, le 28 février 2010 :
Subject: LePost: concernant votre article « Accusé de viols par
plusieurs patientes, condamné en première instance, le psychiatre est
acquitté en appel » du 21.02.10 15h06
Subject: Re: Votre post sur le psychiatre accusé de viol
Bonjour,
Je constate que
la modération a republié ce post, et qu’en conséquence, tout le monde
n’a pas vu l’attaque envers autrui. Ce n’était qu’un peu d’humour à
l’adresse de la personne qui me fait censurer dès que j’ai l’audace de
parler de psychiatres violeurs – ou d’autre chose… elle me fait censurer
sur tout, autant qu’elle peut…
Le 19 février,
elle a fait supprimer un autre de mes posts pour « diffamation » envers
un autre psychiatre violeur, le Brestois Serge Rodallec qui vient d’être
retrouvé en Thaïlande après plus de 4 ans de cavale. J’ai contesté la
diffamation auprès de la modération, qui ne m’a pas répondu, mais m’a
laissé republier.
Elle fait partie
du groupe de mes harceleurs de Rue89, qui ne se satisfont pas d’avoir
obtenu mon exclusion de ce site, et cherchent aussi à me faire virer du
Post, comme ils l’ont dit à plusieurs reprises dans leurs réactions sur
mes posts.
Je vous ai
maintes fois demandé, à la modération et à vous-même, de m’aider à les
identifier plus précisément, en me fournissant au moins leur
localisation géographique, comme vous l’avez déjà fait pour d’autres
posteurs eux aussi harcelés sur Le Post.
Ils ne sont pas
aussi nombreux qu’ils n’en ont l’air, ils multiplient les pseudonymes
pour m’attaquer, mais ne doivent pas être plus de deux ou trois, dont
l’un est certainement lié au psychiatre violeur Serge Rodallec,
puisqu’il dit publiquement s’être lui aussi réfugié en Thaïlande pour
échapper à la justice française, sans toutefois préciser pour quels
motifs il est recherché.
Je réitère ici mes demandes restées sans réponse.
Je conteste aussi
que des posts où je me contente de dire qui je suis ou ne suis pas
puissent être assimilés à des attaques envers autrui, sous prétexte que
mes harceleurs ne supportent pas, par exemple, que je soutienne n’avoir
jamais eu aucun trouble psychiatrique - ils me font passer pour folle…
Cela s’est déjà produit plusieurs fois.
Subject: Re: Mon compte vient d’être supprimé. Que se passe-t-il ?
Bonjour,
Je n’ai toujours aucune réponse à mes demandes d’explication.
En revanche, j’ai reçu cette nuit de la modération un message d’avertissement de suppression de post pour Jexiste.
Voici une copie de la demande d’explications que viens d’envoyer :
Je n’ai toujours pas la moindre réponse à mes demandes d’explication concernant la suppression de mon compte il y a deux jours.
Par contre, j’ai reçu cette nuit à 5h38 un message d’avertissement de suppression d’un de mes posts en date du 19 février :
—– Original Message —–
From: <moderation-lp@netino.com>
To:
Sent: Sunday, February 28, 2010 5:38 AM
Subject: LePost: concernant votre article « L’événement de la semaine:
Dominique de Villepin et son porcelet si sympathique » du 19.02.10 18h43
Bonjour jexisteAprès lecture et analyse attentive de votre article du
19.02.10 18h43 par notre équipe de modération, celui-ci a dû être
retiré de la publication en raison de sa non-conformité vis-à-vis de la
charte d’utilisation du Post.fr
============
Le motif indiqué est : motif 0.
Une première version de ce post avait été supprimée pour
« diffamation potentielle » contre le psychiatre violeur Serge Rodallec
en raison des citations d’articles de presse qu’il contenait. En
réponse, je vous avais indiqué où trouver dans mes posts les liens
pointant vers ces articles, et la republication du 19 février semblait
acceptée, elle n’avait pas été supprimée.
Pouvez-vous m’expliquer pourquoi je reçois aujourd’hui cet avertissement ?
Serait-ce en relation avec les commentaires publics, hier sur Le
Post, du posteur « Hammer » revendiquant avoir obtenu la suppression de
mon compte grâce à ses relations avec l’équipe de modération, où il
aurait au moins un complice ?
Tout comme le psychiatre violeur Serge Rodallec, le posteur
« Hammer » s’est réfugié en Thaïlande pour échapper à la justice
française. Il évite de préciser publiquement pour quels motifs il est
recherché, il se prétend « réfugié politique ». Il est Français.
Il me harcelait déjà sur le site Rue89, il m’y a violemment
harcelée avec ses amis jusqu’à obtenir mon exclusion de ce site. Parmi
les motifs invoqués par la bande, il y avait déjà une prétendue
« diffamation » contre Serge Rodallec, consistant simplement dans le
fait de donner les liens pointant vers les articles de presse relatant
ses procès et condamnations, et sa fuite à l’étranger au mois d’octobre
2005. Ce criminel a été retrouvé en Thaïlande il y a tout juste un mois,
mais y séjourne toujours en liberté en attendant que les autorités
françaises remuent pour obtenir son extradition.
Ce sont ses amis qui me harcelaient sur Le Post depuis mon
inscription comme ils l’avaient déjà fait auparavant sur le site Rue89.
Ce sont eux qui ont fait supprimer nombre de mes posts sous de faux
prétextes parfois très fantaisistes, comme ils me faisaient aussi
censurer sur le site Rue89 pour tout et n’importe quoi, sans même avoir
besoin d’invoquer le moindre motif. Ce sont eux qui ont obtenu mon
exclusion de ces deux sites sans aucun motif valable dans aucun des cas,
uniquement parce qu’ils ont décidé de me faire exclure du net, comme
ils l’ont dit publiquement à de très nombreuses reprises, sur Rue89, sur
Le Post, et sur leur blog, où ils me calomnient depuis des mois sans
que je sois jamais en mesure de répondre à leurs inventions délirantes à
mon sujet. Je vous rappelle que vous avez aussi supprimé de mes posts
où je me contentais de dire qui je suis ou ne suis pas, histoire de
rétablir quelques vérités me concernant, et sans mettre en cause ces
criminels et malades mentaux notoires qui s’amusent à réinventer ma vie à
leur convenance.
Subject: Re: Mon compte vient d’être supprimé. Que se passe-t-il ?
Bonjour,
Je n’ai pas eu de réponse à ce message d’hier.
Le Français
recherché par la justice française et réfugié en Thaïlande qui avait
déjà fait supprimer mon compte « jexiste » sur le site Rue89 (il
m’accusait de « diffamer » le psychiatre violeur Serge Rodallec en
évoquant ses condamnations par la justice française…) se vante
aujourd’hui d’être aussi à l’origine de la suppression de mon compte sur
Le Post, où il s’est inscrit sous le pseudonyme de « Hammer » pour
me harceler :
Hammerà 03h07
A mon avis ils ont supprime ton compte parce qu’ils en avaient marre de moderer toutes ces anneries.
Subject: Mon compte vient d’être supprimé. Que se passe-t-il ?
Bonjour,
Vous n’avez pas répondu à mon dernier message, du 22 février, dont rappel ci-dessous.
Mon compte vient d’être supprimé au motif suivant : « comportement agressif ».
Je ne comprends pas du tout pourquoi, sauf que j’imagine sans mal une nouvelle intervention de mes harceleurs.
Je viens d’envoyer à la modération à peu près le même message que celui-ci :
Mon compte vient d’être supprimé au motif suivant : « comportement agressif ».
Je n’ai jamais agressé personne.
Par contre,
depuis mon inscription sur le Post, j’ai toujours été agressée par un
groupe de personnes qui me harcelaient déjà sur le site Rue89 et m’ont
attaquée en usant de divers pseudonymes non enregistrés, et même de
comptes spécialement créés à cet effet, comme celui-ci dont je constate
qu’il n’a pas plus été supprimé que les autres comptes du même groupe,
tous créés pour me harceler sur votre support par des gens qui clament
ailleurs haut et fort que Le Post est « nul à ch… » (ce sont exactement
les mêmes qui harcèlent aussi le journaliste Hugues Serraf sur sa
tribune du vaticinateur, sur le site Rue89, et encore bien d’autres
internautes, le harcèlement sur le net est leur spécialité) :
Subject: Re: Votre post sur le psychiatre accusé de viol
Bonjour,
Je constate que
la modération a republié ce post, et qu’en conséquence, tout le monde
n’a pas vu l’attaque envers autrui. Ce n’était qu’un peu d’humour à
l’adresse de la personne qui me fait censurer dès que j’ai l’audace de
parler de psychiatres violeurs – ou d’autre chose… elle me fait censurer
sur tout, autant qu’elle peut…
Le 19 février,
elle a fait supprimer un autre de mes posts pour « diffamation » envers
un autre psychiatre violeur, le Brestois Serge Rodallec qui vient d’être
retrouvé en Thaïlande après plus de 4 ans de cavale. J’ai contesté la
diffamation auprès de la modération, qui ne m’a pas répondu, mais m’a
laissé republier.
Elle fait partie
du groupe de mes harceleurs de Rue89, qui ne se satisfont pas d’avoir
obtenu mon exclusion de ce site, et cherchent aussi à me faire virer du
Post, comme ils l’ont dit à plusieurs reprises dans leurs réactions sur
mes posts.
Je vous ai
maintes fois demandé, à la modération et à vous-même, de m’aider à les
identifier plus précisément, en me fournissant au moins leur
localisation géographique, comme vous l’avez déjà fait pour d’autres
posteurs eux aussi harcelés sur Le Post.
Ils ne sont pas
aussi nombreux qu’ils n’en ont l’air, ils multiplient les pseudonymes
pour m’attaquer, mais ne doivent pas être plus de deux ou trois, dont
l’un est certainement lié au psychiatre violeur Serge Rodallec,
puisqu’il dit publiquement s’être lui aussi réfugié en Thaïlande pour
échapper à la justice française, sans toutefois préciser pour quels
motifs il est recherché.
Je réitère ici mes demandes restées sans réponse.
Je conteste aussi
que des posts où je me contente de dire qui je suis ou ne suis pas
puissent être assimilés à des attaques envers autrui, sous prétexte que
mes harceleurs ne supportent pas, par exemple, que je soutienne n’avoir
jamais eu aucun trouble psychiatrique - ils me font passer pour folle…
Cela s’est déjà produit plusieurs fois.
J’avais ensuite été bannie du site Le Post pour cause de bannissement
le 3 mars 2010 à la suite d’une réinscription en date du 26 février
2010 sous le pseudonyme de « jexistetoujours », comme expliqué dans cet
article publié sur mon blog « Un petit coucou » sur OverBlog le 30 mars
2010 (cliquez sur l’image pour l’agrandir) :