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jeudi 17 avril 2025

Attaques de prisons : le groupe "DDPF" a été fermé

Créé samedi 12 avril 2025 sur la messagerie Telegram, il est déjà fermé, à la demande de l'autorité judiciaire. Première publication dimanche matin, 13 avril. Puis des vidéos des actions ont été postées, mais rien ne concerne l'attaque de la prison de Toulon à la kalachnikov.

Pas de nouveau fait la nuit dernière, semble-t-il.

Mais ce n'est peut-être pas fini pour autant, car : "Le combat sera permanent, les démonstrations de force représentées ces derniers jours ne sont rien (à côté de) ce qui suivra", a écrit le groupe.

A noter : ces "démonstrations de force" n'ont été précédées d'aucun des avertissements qui me sont habituellement adressés avant une nouvelle attaque terroriste.

Donc, effectivement, si les auteurs en sont encore mes harceleurs, pour eux, cette fois-ci, il ne s'agissait pas de terrorisme. 

D'ailleurs, le chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait bien donné ses définitions dès le 17 novembre 2008 dans l'article intitulé "Terreur au terrier" qu'il avait publié ce jour sur son blog principal :

 


 

"Terroriste, c'est quand on veut la mort des gens." 

Assassin aussi, remarquez, mais dans ce cas, lui, il dit "pour de rire" :

 


 

Puis il écrit, comme déjà rapporté précédemment (*) :

 

Là, après leur avoir rendu la pareille en affichant leurs noms sur l’internet, elles peuvent enfin se rendre compte et goûter à leur tour à ce qu’elles nous ont infligé : nous savons où elles vivent, ce qu’elles font dans la vie et leurs masques de carnaval sont définitivement tombés. Plus jamais elles ne pourront continuer à se comporter de la manière inique comme elles l’ont fait.
Pour l’heure, je n’ai fourni que leurs deux noms, mais rien ne m’empêchera de nommer leurs rares alliés si l’envie m’en prenait : eux aussi ont été tracés et nous pouvons dire qui ils sont, où ils vivent et comment ils vivent. Et c’est édifiant : ils sont tout ce qu’ils nous reprochent. Des cas sociaux d’abord, et des ratés absolus. Des vies de merde.
Alors que pour nous autres tous autant qu’on est Ici, c’est pas pour dire, mais ça gaze et ça gazouille dans nos casas ;-)

 

Et trois jours plus tard, il fait assassiner Patricia Bouchon à Bouloc parce qu'il craint d'être dénoncé pour ses piratages informatiques et écoutes illégales à mon encontre, puis se met à hurler de rire avec tous ses complices en évoquant tout ce qu'ils lui ont fait subir, ce qui dure trois bonnes semaines, et remet ça avec un ingénieur de ma connaissance qu'il fait assassiner probablement pour le même motif, vers le 4 ou le 5 mars 2011.


(*) On rappelle le principe fondamental de toutes les attaques de ce criminel : d'abord il attaque, il n'a jamais prévenu d'aucune manière et jouit d'ailleurs du fait que vous ne l'avez pas vu venir et ne comprenez pas grand-chose à son attaque, c'est ultra-violent d'emblée, et il y a déjà une floppée d'infractions pénales qui sont commises; puis à chaque tentative de sa victime de se défendre, par quelque moyen que ce soit, y compris celui d'une plainte (dont il a toujours connaissance en temps réel grâce à tous ses piratages et écoutes illégales, et d'ailleurs, sa nouvelle campagne de calomnies publiques de janvier et février 2011 était bien motivée par une plainte que j'avais déposée contre lui et ses complices au mois de décembre 2010 et qui l'avait fait hurler dès le jour même de son dépôt dont je n'avais pourtant parlé à personne), il monte d'un cran dans les violences, tout en niant tout ce qu'il a déjà fait précédemment et se présentant mensongèrement comme une victime de sa victime qu'il accuse mensongèrement de n'importe quoi, mais très souvent de faits similaires à ceux qu'il a lui-même réellement commis à son encontre : il est dans l'inversion accusatoire qui est aussi pratiquée de manière systématique par tous ses complices de l'extrême-gauche.

Cette explication de texte minimale est toujours nécessaire au regard de tout dégueulis du Luraghi à mon encontre.

 

P.S.: Tout compte fait, je retire ce que j'ai dit plus haut concernant l'absence de signal particulier avant les attaques, il y en a bien eu :

https://satanistique.blogspot.com/2025/04/cest-qui-encore-lulu.html

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-depuis-dimanche-le.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-faits-nouveaux.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/04/attaques-de-prisons-un-suspect-dans.html

 

 

https://www.bfmtv.com/police-justice/nous-ne-sommes-pas-des-terroristes-ce-que-l-on-sait-du-groupe-ddpf-pointe-du-doigt-apres-les-degradations-de-prison_AV-202504170416.html

"Nous ne sommes pas des terroristes": ce que l'on sait du groupe "DDPF" pointé du doigt après les dégradations de prison

 
Emilie Roussey

Construction de prisons de haute sécurité: "Il y a une forme d'inquiétude de la part de certains" narcotrafiquants, affirme le directeur de l'administration pénitentiaire



Un groupe baptisé "DDPF", pour "Défense des prisonniers français", relaie sur la messagerie Telegram depuis le dimanche 13 avril les différentes actions ciblants des prisons françaises. La "dégradation des conditions de détention" des prisonniers y était vivement critiquée. Il vient d'être supprimé "à la demande de l'autorité judiciaire".

Trois jours après les premières attaques contre des prisons françaises, il n'y a "pas de piste privilégiée", ni "arrestation", a indiqué le procureur de la République antiterroriste Olivier Christen ce jeudi 17 avril.

Le parquet national anti-terroriste (PNAT) a annoncé se saisir de l'enquête et a pointé la responsabilité "d'un groupe baptisé 'DDPF - Défense des prisonniers français'". Des inscriptions "DDPF" ont en effet été retrouvées dans de nombreuses actions recensées ces derniers jours.

"Ces gens-là, où qu'ils se trouvent, nous les retrouverons, nous les aurons", a promis ce jeudi le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.

• L'action de Darmanin visée

Créé samedi 12 avril, le groupe Telegram "DDPF" a d'abord arboré une photo de profil montrant Gérald Darmanin derrière les barreaux, indiquent Libération et l'agence de presse Reuters, qui ont pu accéder au groupe. Elle a ensuite été remplacée par la photo de couverture du livre La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de la juriste Wanda Mastor.

Un premier texte a été publié dans la matinée du dimanche 13 avril à destination des quelque mille abonnés du groupe. Le canal se définissait alors comme un "mouvement dédié à dénoncer les atteintes à nos droits fondamentaux auxquelles le ministre Gérald Darmanin compte porter atteinte".

Toujours selon Libération, le groupe a listé les dégradations des conditions de détention, partagé du contenu à ce sujet, dénoncé des violences de la part de l'administration pénitentiaire et appelé à la mobilisation contre le ministre de la Justice.

Ce dernier estime que ces actions sont des réactions à sa stratégie contre le narcobanditisme et notamment à l'annonce de la création des prisons de haute sécurité. Il dénonce également des tentatives de "déstabilisation de l'État".

• Des vidéos de revendications

Dans la nuit de dimanche à lundi 14 avril, juste après l'incendie de sept véhicules sur un parking de l'École nationale de l'administration pénitentiaire (ENAP), une vidéo a été publiée sur le canal. Elle montrait le sigle "DDPF" tagué au sol et la silhouette d'une personne entrain de mettre le feu à un parking.

"École à Agen, où les surveillants sont formés à ne pas respecter les droits de l'homme", est-il écrit en accompagnement de cette vidéo.

Les nuits suivantes, d'autres vidéos ont été publiées, présentant des voitures en feu à Nanterre (Hauts-de-Seine), Nîmes (Gard) ou encore Aix-Luynes (Bouches-du-Rhône). La plupart des actions recensées ont été partagées sur le groupe, sans être explicitement revendiquées. L'attaque à l'arme automatique de la prison de Toulon-La Farlède n'en fait pas partie.

• Le personnel pénitentiaire menacé

Dans certains messages, le groupe menace directement le personnel pénitentiaire. "Les ELSP (équipes locales de sécurité pénitentiaire) de Luynes, vous allez tous mourir pour le mal que vous avez fait", est-il écrit ou encore: "démissionnez, tant que vous pouvez, si vous tenez à vos familles, à vos proches, aux vraies valeurs essentielles d’une vie. Démissionnez tant qu'il en est encore temps."

Le canal appelle aussi les détenus à être "solidaires" et à les contacter pour "rejoindre le mouvement DDPF". Il prévient aussi que les actions vont se poursuivre.

"Le combat sera permanent, les démonstrations de force représentées ces derniers jours ne sont rien (à côté de) ce qui suivra", écrit le groupe.

"Gérald Darmanin a voulu déclarer la guerre à des personnes privées de liberté. Nous, la DDPF, à l'extérieur, nous les soutenons car tous les droits fondamentaux, qui constituent les droits de l’homme, sont bafoués. Détenus, réveillez-vous", poursuit le message.

• "Nous ne sommes pas des terroristes"

Mardi, le Parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé se saisir d'une enquête pour "association de malfaiteurs terroriste" et "tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste".

Gérald Darmanin a aussi dénoncé mardi lors d'une visite au centre pénitentiaire de Toulon-Farlède (Var) une "attaque terroriste" et affirmé que "la République ne reculera pas". Le même jour, dans la soirée, le groupe DDPF a voulu "remettre les choses au clair".

"Sachez que nous sommes pas des terroristes, nous sommes là pour défendre les droits de l’homme à l’intérieur des prisons", a écrit le groupe sur le canal, accusant Gérald Darmanin d'avoir "déclenché la guerre".

• Le groupe fermé "à la demande de l'autorité judiciaire"

Telegram a depuis supprimé certains messages et vidéos présents sur le canal qui étaient "contraires à ses règles". Le réseau social a rappelé dans un communiqué que "la publication d'appels à la violence et de menaces est explicitement interdite par les conditions d'utilisation."

La messagerie a notamment supprimée une vidéo de 18 secondes publiée mercredi 16 avril menaçant un agent pénitentiaire d'Aix-Luynes. Elle montrait un agent pénitentiaire en uniforme sortant d'une voiture, une boîte aux lettres avec un zoom sur le nom inscrit dessus, puis un plan d'une voiture avec la plaque d'immatriculation visible. Elle se terminait par un plan de nuit d'une plaque noire portant le sigle "DDPF" avec en arrière fond des flammes dévorant un véhicule.

Le procureur antiterroriste a annoncé ce jeudi matin que le groupe Telegram DDPF a finalement été fermé "à la demande de l'autorité judiciaire".

Emilie Roussey

 

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