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mardi 15 avril 2025

Attaques de prisons depuis dimanche : le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête

Le droit des prisonniers fait partie des préoccupations habituelles de la LDH (Ligue des Droits de l'Homme), où les militants de l'extrême-gauche se sont comportés comme dans tous les autres organismes qu'ils ont investis, du jour où ils ont cessé de se présenter partout comme anti-droits-de-l'hommistes, c'est-à-dire qu'ils ont jeté tous les autres hors du nid...

Dans le même temps, et plus que jamais, ils restaient complices de toutes les mafias possibles et imaginables...

Aussi, la qualification d'"ultra-gauchiste" n'est sûrement pas celle qui convient pour l'inscription "DDPF" (Droit des prisonniers français) retrouvée sur tous les lieux d'attaques et qui à mon avis n'est autre que le chant du gros coucou LFI/NPA pour ce printemps 2025.


N.B. : Le cybercriminel, pédocriminel, trafiquant de drogue et terroriste islamiste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi est aussi un militant anti-carcéral. En outre, il milite depuis toujours pour la dépénalisation de toutes les activités illicites où il a pu s'épanouir à défaut d'être titulaire des diplômes qui auraient pu lui permettre de s'insérer socialement et très bien gagner sa vie dans des secteurs d'activités légales.

Par ailleurs, son complice feu Jean-Marc Donnadieu de Béziers (décédé le vendredi 5 janvier 2024 à Montpellier), également cybercriminel, toxicomane et terroriste islamiste, disait s'occuper bénévolement d'anciens détenus dans un cadre associatif.

 

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/prisons/vehicules-incendies-tags-tirs-plusieurs-prisons-francaises-visees-par-une-attaque-coordonnee-dans-la-nuit_7190901.html

Tirs, voitures incendiées... Des attaques ont visé plusieurs prisons en France dans la nuit, le Parquet national antiterroriste se saisit de l'enquête

 
Une source proche du dossier évoque une "attaque coordonnée", dans la nuit de lundi à mardi. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a demandé un renforcement de la sécurisation des établissements et de leurs agents. 
 
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 4min 
 
La prison de Réau (Seine-et-Marne) le 23 octobre 2018. (LP/MARINE LEGRAND / MAXPPP)
La prison de Réau (Seine-et-Marne) le 23 octobre 2018. (LP/MARINE LEGRAND / MAXPPP)

 

Le Parquet national antiterroriste annonce se saisir de l'enquête après que plusieurs établissements pénitentiaires ont fait l'objet d'incendies de véhicules et de tags, et que celui de Toulon (Var) a été visé par des tirs à l'arme automatique, dans la nuit du lundi 14 au mardi 15 avril.

Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, se rend mardi après-midi au centre pénitentiaire de Toulon pour "apporter son soutien aux agents" sur place, a-t-il fait savoir sur X(Nouvelle fenêtre), qualifiant ces actes de "tentatives d'intimidation" et évoquant les récentes mesures prises contre le trafic de drogue. "La République est confrontée au narcotrafic et prend des mesures qui vont déranger profondément les réseaux criminels", écrit-il. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a dénoncé sur X(Nouvelle fenêtre) "plusieurs attaques inacceptables" et annoncé le renforcement de "la protection des agents et des établissements" pénitentiaires.

Quinze "impacts" sur la porte d'entrée à Toulon

Selon une source proche du dossier à franceinfo, il s'agit d'une "attaque coordonnée". Cette même source s'interroge sur un lien possible entre ces attaques et l'instauration de prisons de haute sécurité dédiées aux détenus les plus dangereux provenant de la criminalité organisée. Les prisons de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) et de Condé-sur-Sarthe (Orne) se préparent en effet pour accueillir, dans quelques mois, les 200 narcotrafiquants détenus jugés les plus dangereux.

A Toulon, des tirs d'arme de guerre ont touché la porte d'entrée du centre pénitentiaire La Farlède (Var). Quinze "impacts ont été relevés sur la porte d’entrée", dénonce FO Justice.

Au centre pénitentiaire d'Aix-Luynes, à Aix-en-Provence (Bouche-du-Rhône), deux véhicules ont été incendiés et le portail des équipes régionales d'intervention et de sécurité (Eris) a été pris pour cible, déplore aussi FO Justice.

Des véhicules ont aussi été incendiés à la maison d'arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis) et à celle de Nanterre (Hauts-de-Seine). Selon une source policière à France Télévisions, des individus ont été vus en train de mettre le feu aux voitures d'employés sur les parkings de ces deux établissements et des bidons d'essence ont été retrouvés sur place. 

Des tags "droits des prisonniers français" 

Deux voitures de surveillants ont aussi été incendiées devant le centre pénitentiaire de Valence (Drôme), rapporte "ici Drôme Ardèche"(Nouvelle fenêtre) (ex-France Bleu) mardi matin. L'Ufap Unsa Justice a affirmé, sur cette antenne, que c'est un individu encagoulé, venu en trottinette, qui a répandu un liquide sur les véhicules avant de les enflammer. 

Dans la nuit de dimanche à lundi, sept voitures avaient déjà été incendiées(Nouvelle fenêtre) sur le parking de l'Ecole nationale de l'administration pénitentiaire (Enap) à Agen (Lot-et-Garonne), provoquant l'évacuation de plusieurs centaines d'élèves. Là encore, un témoin a vu quatre personnes encagoulées y mettre le feu, rapporte une source proche du dossier à franceinfo. Selon une source policière à France Télévisions, un suspect a été interpellé. Cette même nuit, le centre pénitentiaire de Réau (Seine-et-Marne) a également été pris pour cible, et le véhicule d'une agente pénitentiaire y a été incendié, a indiqué cette même source.

L'inscription "DDPF", pour "Droits des prisonniers français", a également été taguée sur des voitures sur les parkings des prisons de Nîmes, Luynes et Marseille, a appris France Télévisions de source policière.

"On attend une action coordonnée par les ministres de la Justice et de l'Intérieur", a déclaré à l'AFP Wilfried Fonck, secrétaire national de l'Ufap-Unsa Justice, soulignant que l'administration pénitentiaire n'avait "pas les forces humaines pour assurer la sécurisation aux abords des établissements 24 heures sur 24".

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/attaques-de-prisons-la-piste-de-lultragauche-etudiee-le-parquet-antiterroriste-se-saisit-15-04-2025-73FIIGSFUZHTNBKQLJEYJNWILI.php

Attaques de prisons : la piste de l’ultragauche étudiée, le parquet antiterroriste se saisit

Le parquet national enquête sur la série d’attaques qui frappe les prisons françaises depuis trois jours. La piste de groupes d’ultragauche qui veulent s’en prendre à ce « symbole de l’oppression de l’État » est sérieusement étudiée.

La prison de Villepinte (Seine-Saint-Denis) a été attaquée dans la nuit de lundi à mardi. AFP/PHILIPPE LOPEZ
La prison de Villepinte (Seine-Saint-Denis) a été attaquée dans la nuit de lundi à mardi. AFP/PHILIPPE LOPEZ

 

Une série d’attaques cible depuis dimanche des prisons dans toute la France. S’il est envisagé par le ministère de la Justice que ces actions qui semblent coordonnées soient liées à la politique pénitentiaire mise en place par Gérald Darmanin, la piste d’attaques menées par des groupuscules d’ultragauche est elle aussi sérieusement étudiée. Le parquet national antiterroriste (PNAT) s’est ainsi saisi de l’enquête, annonce-t-il ce mardi à la mi-journée.

L’enquête a été confiée à la sous-direction antiterroriste de la Direction nationale de la Police judiciaire (DCPJ), aux directions zonales de la police nationale concernées et à la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI).



La plupart de ces attaques se sont traduites par des véhicules incendiés sur les parkings des prisons. À Marseille et Luynes-Aix (Bouches-du-Rhône), tout comme à Nîmes (Gard), la mention « DDPF », « Droit des prisonniers français », a été retrouvée sur des véhicules dégradés.

Selon nos informations, les enquêteurs ont ainsi découvert un canal Telegram qui pourrait être lié à l’ultragauche et lance des appels à s’en prendre à des établissements pénitentiaires. « Les équipes de sécurité pénitentiaire (ELSP) de Luynes, vous allez tous mourir pour le mal que vous avez fait (…) sachez que notre mouvement s’étend dans toute la France. Tous les surveillants qui ont profité de leur pouvoir et qui ont contribué à faire basculer les conditions de détention en paieront les totales conséquences », peut-on notamment y lire.

 

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