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vendredi 18 octobre 2024

Mort de Yahya Sinouar, chef du Hamas

 

 

Le chef terroriste aurait donc conçu les attaques du 7 octobre comme une vengeance, mais il se réjouissait aussi du sang versé chez les Palestiniens...

C'est exactement la politique de la LCR ou des trotskistes partout dans le monde, je l'ai déjà dit 36000 fois à propos de l'ensemble de leurs politiques sociales en France, c'est-à-dire, justement, pas de social parce qu'il ne faut surtout pas adoucir le capitalisme de quelque manière que ce soit, entrisme partout, à tous les niveaux, dans les administrations et les services publics, pour y foutre la merde et créer un maximum d'injustices en produisant des faux et des décisions arbitraires et cruelles, dans les associations de lutte contre tous ces dysfonctionnements pour y semer la zizanie, les empêcher de fonctionner et les pourrir complètement de l'intérieur, etc... le but étant toujours de créer un maximum de victimes pour pouvoir en accuser le capitalisme et tenter de provoquer des révoltes ou le Grand Soir prêché dans toutes les cellules du parti... sauf qu'on ne fait pas la guerre ni la révolution avec des cadavres...

Pour assainir la situation en France, je suis assez partisane de solutions drastiques comme l'interdiction d'accès à la fonction publique pour les encartés. On écarte bien déjà du monde du travail ou de quantité de postes des personnes jugées psychologiquement trop fragiles, bien trop souvent des victimes de la LCR ou des pervers qu'elle protège, qui elles sont sans malveillance et ne représentent que des dangers potentiels, alors que les encartés, eux, ne sont tous là que pour faire du mal, c'est leur but unique.

Noter que mon dernier article concernant les attentats du 7 octobre a été assez lu les 15 et 16 octobre :



Lire ou relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/7-octobre-revelations-sur-les-plans-du.html


 

https://www.cnews.fr/monde/2024-10-18/mort-de-yahya-sinouar-il-avait-sur-lui-beaucoup-dargent-liquide-et-des-faux

Mort de Yahya Sinouar : «Il avait sur lui beaucoup d’argent liquide et des faux passeports, il était prêt à s'enfuir», révèle le porte-parole de l’armée israélienne


«Yahya Sinouar avait sur lui beaucoup d’argent liquide et des faux passeports, il était prêt à s'enfuir», a révélé ce vendredi sur CNEWS le porte-parole de l’armée israélienne Olivier Rafowicz, au lendemain de la mort du chef du Hamas.

Le chef du Hamas était «prêt à s’enfuir». Ce vendredi 18 octobre, le porte-parole de l’armée israélienne, Olivier Rafowicz, a commenté sur CNEWS les images d’un drone de Tsahal publiées jeudi 17 octobre. Elles montrent les derniers instants de Yahya Sinouar, leader du groupe terroriste du Hamas et l’un des cerveaux du 7-Octobre, décédé après une attaque de Tsahal dans un appartement de la bande de Gaza. 

«Yahya Sinouar s’est réfugié seul dans ce bâtiment», a précisé le colonel Olivier Rafowicz, réagissant aux images d’un appartement de la bande de Gaza détruit et dans un état insalubre à la suite d’une potentielle frappe de l’armée israélienne. «Il est assis dans un fauteuil et semble déjà blessé à la main», a-t-il indiqué. 

«Il essaye de toucher le petit drone d’observation que Tsahal utilise dans des actions tactiques (…) pour identifier les cibles et ensuite les frapper. (…) Il a levé le bras, s’est tourné pour essayer de détruire le drone», a commenté le porte-parole de l’armée israélienne des images partagées par Tsahal. «Alors qu’il est toujours en vie, l’armée israélienne est passée à l’action. Il a été éliminé ensuite», a-t-il expliqué.

«Yahya Sinouar était en cavale» 

Le porte-parole de l'armée israélienne a donné des informations importantes en ce qui concerne la situation du chef du Hamas avant sa mort. «Yahya Sinouar était en cavale. Il avait sur lui beaucoup de liquide, des faux passeports et également une carte de l’Unrwa», l’aide de l’ONU pour les réfugiés palestiniens. Des biens personnels qui, selon Olivier Rafowicz, «peuvent montrer qu’il était prêt à s’enfuir et à laisser Gaza et ses hommes derrière lui».

Le colonel a rappelé qu’il restait «101 otages, vivants ou morts, aux mains du Hamas et qui sont dans des tunnels», précisant que Tsahal était toujours à leur recherche. Après une année de captivité dans la bande de Gaza, 64 d’entre eux sont présumés vivants. Ils restent la principale monnaie d’échange du Hamas pour obtenir un cessez-le-feu et des libérations de prisonniers palestiniens.

 

https://www.cnews.fr/monde/2024-10-17/hamas-qui-etait-yahya-sinouar-le-chef-du-groupe-terroriste-elimine-par-israel

Hamas : qui était Yahya Sinouar, le chef du groupe terroriste éliminé par Israël ?

 

 
Yahya Sinouar était accusé d’utiliser les Gazaouis comme boucliers humains. [MAHMUD HAMS / AFP]

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a annoncé ce jeudi la mort du chef du Hamas, Yahya Sinouar, tué lors d'une opération militaire à Rafah dans la bande de Gaza.

«Le meurtrier de masse», n'est plus. Nommé le 6 août dernier à la suite de l’assassinat à Téhéran de l'ancien chef du Hamas Ismaïl Haniyeh, le Hamas a annoncé, Yahya Sinouar a à son tour été tué par Tsahal, a-t-on appris du ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz ce jeudi.

«Le meurtrier de masse Yahya Sinouar, responsable du massacre et des atrocités du 7-Octobre, a été éliminé par les soldats (des forces israéliennes)», a déclaré Ismaïl Katz dans un communiqué à la presse.

L'armée et les autorités israéliennes accusaient Yahya Sinouar d'être l'un des cerveaux de l'attaque sans précédent du Hamas le 7-Octobre en Israël, ce qui faisait de lui l'un des hommes les plus recherchés par Ies autorités israéliennes, qui le considérait comme la version palestinienne de Ben Laden.

«le boucher de Khan Younès»

Yahya Sinouar est né en 1962 au sud de la bande de Gaza. Il s'est rapidement fait remarquer pour ses idées radicales en matière d'application de la religion. «Il avait dit qu’il planifiait un grand massacre de juifs, conformément à la charte du Hamas. Il considère donc ce qu’il a fait comme une réussite. Nous aurions dû l’éliminer depuis longtemps», concédait l'ancien du Shin Bet.

 

 

Son premier rôle au sein du Hamas était d’éliminer ses adversaires politiques. A 25 ans, il dirige ainsi l'Organisation du jihad et de la prédication, l'unité de renseignement du Hamas qui punit les «collaborateurs», ces Palestiniens châtiés pour intelligence avec l'ennemi israélien. 

C'est d'ailleurs pour ce motif qu'il avait été arrêté en 1989 par les Israéliens après avoir tué quatre Palestiniens accusés d'être des collaborateurs de l'Etat hébreu. Il avait passé vingt-trois années derrière les barreaux en Israël où il s’imposera comme un puissant leader politique, avant d’organiser sa propre libération. En 2011, 1.000 prisonniers palestiniens avaient été échangés, dont Yahya Sinouar, contre un soldat franco-israélien, Ghilad Salit.

Les médias israéliens et les personnes qui l'ont rencontré décrivent un homme cruel. «À Gaza, ils l’ont surnommé "le boucher de Khan Younès". C’était un homme intelligent, vif et charismatique. Mais il n’avait pas de sentiment. Il parlait avec froideur, indifférence. Rien ne le touchait», avait expliqué à franceinfo Michael Kobi qui a mené des interrogatoires de Yahya Sinouar. 

En témoigne un extrait de ces interrogatoires publiés par les médias, dans lequel il raconte avoir enlevé un «traître» avant de le tuer : «Nous l'avons amené au cimetière de Khan Younès (...), je l'ai mis dans une tombe et je l'ai étranglé avec un keffieh (...). J'étais sûr qu'il savait qu'il méritait de mourir».

Ancien commandant d'élite au sein des Brigades al-Qassam

Avant d'être nommé à la tête du Hamas, Yahya Sinouar devait faire le lien entre le bureau politique et la branche armée de l’organisation terroriste. Son objectif : lever le blocus sur Gaza, la paix sur les lieux saints et la fin de l'annexion d'Israël en Cisjordanie.

 

 

Il était activement recherché par Israël et placé sur la liste américaine des «terroristes internationaux». Tsahal avait indiqué que la ville de Gaza était au coeur de ses opérations, étant l'endroit où étaient basés la plupart des dirigeants du Hamas.

Yahya Sinouar entourait également ses déplacements du plus grand secret. Sa maison aurait été bombardée par les forces aériennes israéliennes quelques heures après le début de l'offensive du Hamas contre Israël, selon des médias palestiniens. Ancien commandant d'élite au sein des Brigades al-Qassam, il était accusé d’utiliser les Gazaouis comme boucliers humains.

 

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