J'ai déjà exposé preuves à l'appui et à maintes reprises les tout débuts des attaques que j'ai subies de la bande du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur le site Rue89 à compter de septembre 2008, par exemple ici :
N'étant qu'une commentatrice anonyme du site Rue89, je venais de m'y révéler comme victime de harcèlement moral en entreprise dans un débat consacré à ce sujet, où j'intervenais pour expliquer ou montrer un peu ce qu'est cette infraction pénale et jusqu'où elle peut aller, n'excluant aucune autre infraction pénale, par exemple des agressions physiques parmi les plus graves.
Bien évidemment, je n'avais cité personne et il n'était pas possible dans mes évocations de reconnaître qui que ce soit ou quelle qu'affaire que ce fût, même pas la mienne que je me gardais bien d'exposer complètement, n'en tirant à titre d'exemples que quelques éléments parmi les plus communs dans les affaires de harcèlement moral en entreprise.
Or, à partir de ce début septembre 2008, j'ai continuellement été harcelée par les malades mentaux et cybercriminels dits "déconnologues" de la bande du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi affirmant que le harcèlement moral en entreprise n'existait pas, que je n'étais qu'une folle paranoïaque comme tous les prétendus harcelés dans le travail ou ailleurs, que je n'avais jamais subi nulle part aucun harcèlement et même, que j'avais aussi menti sur ma profession, n'ayant jamais été, selon eux, ni ingénieure ni informaticienne.
Egalement, ils ont toujours exigé que je leur fournisse des preuves de mon passé professionnel, faits de harcèlement moral y compris, et comme je m'y suis toujours refusée, ne leur devant absolument rien, ils n'ont pas tardé à les demander aux magistrats ultra CORROMPUS de mes TJ de province qui leur ont toujours fourni illégalement tout ce qu'ils pouvaient, jusqu'à me faire subir eux-mêmes ou par délégation les interrogatoires qui leur avaient été soumis par mes harceleurs afin de pouvoir leur en communiquer les résultats.
Voilà. Je refuse de répondre aux questions illégitimes du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ou de son complice le "zététicien" Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qu'à cela ne tienne, les magistrats qu'ils ont achetés vont me reposer les mêmes questions ou m'imposer de fournir moi-même à quelque auxiliaire de justice également aux ordres de ces cinglés tous les éléments de ma biographie qui leur manquent encore pour leur saleté de bouquin sensationnel sur mon compte.
Je rappelle ici que ces magistrats connaissent tous parfaitement bien tout mon passé professionnel, les faits de harcèlement moral dont j'ai été victime dans le travail ayant bien donné lieu à enquêtes, procès et décisions diverses : ces faits sont bien connus, ils sont partiellement reconnus, j'ai bien obtenu des condamnations contre certains de mes harceleurs, et disposais aussi et dispose toujours de bien des preuves pour tout le reste, comme le savent bien tous les magistrats qui ont été saisis de ces faits.
Mes magistrats bretons ultra CORROMPUS jouent depuis le début, en 2008, 2009 ou 2010, une comédie absolument immonde.
Mes harceleurs "déconnologues" et "zététiciens" ayant décidé de révéler à leurs publics respectifs à compter du 19 juin 2010 mon identité et toutes mes coordonnées, qu'ils avaient obtenues frauduleusement au moins deux ans plus tôt, avec, de plus, toutes leurs inventions calomnieuses et accusations mensongères à mon encontre, c'est à eux qu'il appartenait de s'en justifier, et non l'inverse.
J'aurais menti à propos de ma propre biographie, de mon passé professionnel ?
Où ? Quand ? Comment ?
Prouvez-le !
Je n'aurais été en réalité qu'une "petite secrétaire" "hypernarcissique et atrocement méchante" (sic) ?
Où ? Quand ? Comment ?
Prouvez-le !
Je n'aurais été en réalité qu'une prostituée ?
Où ? Quand ? Comment ?
Prouvez-le !
Je n'aurais été qu'un "cas lourd psychiatrique", une "paranoïaque" ?
Où ? Quand ? Comment ?
Prouvez-le !
Toutes vos affirmations publiques me concernant ont toujours été gratuites, mensongères, contredites par tous les éléments de preuve que je me suis trouvée contrainte de produire pour ma défense dans les différents procès, plus qu'abusifs, que vous m'avez faits depuis 2010, qu'il s'agisse de mon passé professionnel ou de ma vie privée.
Quand ils n'attaquent pas le 7, mes harceleurs attaquent très volontiers le 11, le 13 ou le 22, particulièrement le 22 mars, comme le 22 mars 1968 à Nanterre, le 22 mars 2002 à Brest, jour où j'ai été victime d'un empoisonnement criminel entre l'assassinat de Daniel Pearl le 1er février 2002 à Karachi annonçant le mien et l'attentat du 8 mai 2002 dans la même ville, pour fêter mon quasi assassinat de ce printemps 2002, ou bien encore le 22 mars 2016 à Bruxelles.
Ce jour-là, la première explosion s'est produite à 07h58 et 28 secondes.
Quelle heure le terroriste avait-il sous les yeux lorsqu'il s'est fait exploser ? 07h58 et 20 secondes ?
Le malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi est né le 07/02/58 à Strasbourg, ce sont ses chiffres un peu bousculés par des impondérables.
Et hier, 30 décembre 2023, 3413 visites : même quarte dans un autre ordre... les chiffres 3 et 4, qui font 7 quand on les additionne, ont été inversés :
Et vlan ! La troisième plainte d'Annie Lobé est déjà dans toutes les têtes, son avocat est en train de hurler de rire. Quant aux juges que Thomas Durand vient aussi de diffamer, laissons-les réserver leurs jugements... pour ceux qui ne seraient pas des magistrats déjà achetés en vue des condamnations prononcées contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog par la Cour d'Appel de Montpellier en 2011 et 2017...
Du décompte que Thomas Durand a fourni dans cette vidéo sur l'emploi de sa cagnotte magique constituée l'année dernière, il se déduit par ailleurs que l'association qui l'emploie, l'ASTEC, laquelle, rappelons-le, est une création du trio d'enfer Jean-Marc Donnadieu / Patrice Seray / Francine Cordier et est toujours dirigée par le couple de cybercriminels Seray / Cordier, dispose encore de plus de 75 000,00 euros pour faire des procès à ses cibles privilégiées... mais toujours pas à moi... quoique les multitudes de plaintes simples de ces "zététiciens" d'élite à mon encontre soient toujours classées sans suite...
Et pourquoi donc ?
La réponse est fort simple : ce n'est pas moi qui mens.
Le dénommé Pascal Edouard Luraghi dit Cyprien Luraghi est né le 7 février 1958 à Strasbourg, de :
TOLOTTI
Renée
Naissance
Jœuf, Meurthe-et-Moselle, Grand Est, France
Décès
Pradines, Lot, Occitanie, France
et :
LURAGHI
René Jacques
Naissance
Sierentz, Haut-Rhin, Grand Est, France
Décès
Strasbourg, Bas-Rhin, Grand Est, France
Ses deux parents fêtent comme lui leur anniversaire le 7ème jour d'un des 7 premiers mois de l'année et le chiffre 7 ressort jusqu'à trois fois dans la date de naissance de sa mère et encore deux fois dans sa date de décès. Il s'agit de cette mère "pire que Folcoche" dont il se présentait comme victime dans sa bio sur le site Rue89 lorsqu'il a commencé à m'y attaquer en 2008, laissant entendre qu'Hervé Bazin pouvait se rhabiller... et du même coup toutes les autres victimes aussi, de harcèlement moral dans le travail ou de n'importe quoi d'autre, il n'en supportait absolument aucune, étant, lui, LA victime par excellence, la seule, la vraie, à laquelle il ne pouvait tolérer qu'aucune autre ne vienne faire de l'ombre.
Le 7 mars 2003 est pour lui LE grand jour qui lui permettra enfin de devenir propriétaire de la maison de l'horreur de Puy-l'Evêque, que son bon ami Alain Pougetoux a achetée pour lui cette année-là et qu'il occupe toujours aujourd'hui :
Et je ne doute pas que ce chiffre revienne encore dans d'autres évènements importants de sa vie.
Du coup, c'est aussi celui-là qu'il choisit assez souvent pour ses attentats "islamigrés" :
- le 7 janvier 2014, près de Madobi, dans l'État de Kano au Nigéria, des hommes armés ouvrent le feu sur une mosquée, trois personnes sont tuées et douze sont blessées,
- le 7 janvier 2015 au Nigéria, massacre de Baga : Boko Haram prend le contrôle de la base militaire de Baga puis détruit 16 localités dont Baga, faisant de plusieurs centaines à 2 000 morts et 20 000 déplacés selon Amnesty International et la presse anglo-saxonne,
- le 7 janvier 2015 à Paris, attentat des frères Kouachi contre Charlie Hebdo et plus largement contre la liberté d'expression, en réponse à la défense en appel de mon hébergeur de blog OverBlog contre la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, militante de la LCR depuis les années 1970 et fondatrice du micro parti brestois Baga issu de la LCR (Brest à gauche autrement),
- le 7 janvier 2016 à Paris XIII, attentat au hachoir du Tunisien Tarek Belgacem contre le commissariat de police de la Goutte d'Or,
- le 7 février 1984 à Paris, l'assassinat de Gholam Ali Oveisi, ex gouverneur militaire
de Téhéran, et de son frère, en exil (attentat revendiqué
par le Jihad islamique),
- le 7 mars 2015 au Nigéria, attentat de Maiduguri : trois explosions font 58 morts et 139 blessés,
- le 7 mars 2015 à Bamako, attentat contre le bar-restaurant-boîte de nuit La Terrasse, fréquenté par les
expatriés, premier attentat qui visait
des Occidentaux dans la capitale malienne,
- le 7 avril 1987 à Paris, l'assassinat d’Ali André Mécili, avocat et politique
algérien (le principal suspect, Mohamed Ziane Hasseni,
bénéficie d’un non lieu dans des conditions floues qui ressemblent à une
collusion entre l’Etat français et algérien),
- le 7 avril 2017 à Stockholm, un attentat au camion-bélier dans Drottninggatan (en français : la « rue de la Reine »), une des principales artères piétonnes du centre de la ville, et à Kasserine, en Tunisie, où quatre soldats tunisiens ont été tués,
- le 7 avril 2019 au Nigéria, à Maiduguri : au moins 11 personnes perdent la vie et 43 sont blessées dans un double attentat-suicide,
- le 7 avril 2022 à Tel-Aviv,
- le 7 avril 2023 en Cisjordanie et à nouveau à Tel-Aviv, où était commise une nouvelle attaque à la voiture-bélier, un type d'attentat en affinité avec la date (bélier) et particulièrement prisé du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui le préconisait à mon encontre dès 2009,
- le 7 mai 1980, un attentat à la bombe contre l'Association des étudiants musulmans, revendiquée par le Groupe Charles Martel,
- le 7 mai 2023 en Russie, un attentat contre l'écrivain russe Zakhar Prilépine, chantre de l'attaque contre l'Ukraine,
- le 7 juin 2015 au Nigéria, à Huyum : le village est incendié par Boko Haram et au moins 15 habitants sont tués,
- le 7 juin 2016 à Istambul,
- le 7 juin 2017 à Téhéran,
- le 7 juillet 1977 à Paris, la tentative d’assassinat contre l’ambassadeur de
Mauritanie (revendiquée par les Brigades internationales Mustapha El Wali
Sayed),
- le 7 juillet 2005 à Londres,
- le 7 juillet 2015 au Nigéria, à Zaria, un attentat kamikaze dans des locaux administratif fait 25 morts et 32 blessés,
- le , un attentat d'Action directe contre la société Nemor,
- le 7 août 1998 au Kenya et en Tanzanie (ambassades américaines en Afrique),
- le 7 août 2017 au Nigéria, îles de Duguri et Dabar Wanzam, dans le lac Tchad : 31 pêcheurs sont massacrés par des djihadistes,
- le 7 septembre 1995 à Lyon, l’explosion d’une voiture piégée devant l’Ecole juive
de Lyon à Villeurbanne (Rhône), attribuée aux
extrémistes islamistes dirigés par Khaled Kelkal, directement lié à
l’attaque,
- le 7 octobre 1989 près de Libourne, l'assassinat revendiqué par Action directe du général Jean Favreau, ancien gouverneur militaire de Paris, abattu alors
que ses assassins tentaient de voler la voiture dans laquelle il voyageait,
- le 7 octobre 1995, le leader du GIA, Djamel Zitouni, annonce
qu’il lance le « jihad », des « frappes militaires au cœur même de la
France » pour la punir de son soutien au régime d’Alger, il exige que le
président Jacques Chirac se convertisse à l’islam,
- le 7 octobre 2015 au Nigéria, à Damaturu, au moins quatorze personnes ont été tuées dans trois attentats-suicides,
- le 7 octobre 2023 en Israël, attaque du Hamas,
- le 7 décembre 1985 à Paris, contre Les Galeries Lafayette et le Printemps Haussmann, double attentat revendiqué par le CSPPA, Comité de Solidarité avec les
prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient, organisation marxiste
liée au Hezbollah et au Djihad islamique animé par des Musulmans
chiites inspirés et financés par Téhéran.
Noter que la première de ces dates est le 7/7/77, jour où sa mère a fêté ses 50 ans, pour une attaque concernant la Mauritanie, un pays qui excite aussi l'escroc brestois David Rajjou, qui lui est associé, tandis que le plus grand nombre d'attentats a été commis pour l'anniversaire de son père, au printemps, et qu'il s'agit à plusieurs reprises d'attaques à la voiture-bélier, correspondant à ses premières menaces de mort à mon encontre en 2009.
En outre, il est certain que résonnent aussi en lui la mort du président de la République française Paul Doumer le 7 mai 1932 et ses circonstances, l'attentat du 7 novembre 1938 du jeune Juif polonais Herschel Feibel Grynszpan contre le diplomate allemand Ernst Eduard vom Rath, évènement déclencheur de la nuit de Cristal, et la série d'attentats de l'OAS du 7 février 1962, notamment contre André Malraux, ministre des Affaires culturelles, qui sera suivie le 8 février 1962 d'une journée de manifestations de protestation contre les terroristes.
Et ses complices bretons ont nécessairement en mémoire, tout comme lui même s'il n'en est pas forcément conscient, l'attentat du 7 août 1932 à Rennes, un attentat à la bombe ayant visé une œuvre symbolisant l'union de la Bretagne à la France, jugée dégradante par le mouvement breton en raison de sa position agenouillée devant le roi de France, ainsi que l'attentat du 7 mai 1989 contre l'hôtel de région des Pays de la Loire à Nantes, qui fut revendiqué par l'Armée Révolutionnaire Bretonne.
Par ailleurs, le FLNC a frappé le 7 février 2009 une résidence à Olmeto-Plage, le 7 octobre 2009 le centre de vacances Marina Viva à Porticcio, le 7 février 2010 une villa à Bassussarry (une inscription sur la spéculation immobilière est retrouvée sur les lieux), le 7 juillet 2010 une résidence secondaire près de la commune de Zonza (les dégâts sont importants). Et le 7 février 2023, le tout nouveau groupe clandestin GCC marchant sur ses traces a revendiqué 17 actions violentes.
Toute la vie, les oeuvres et "chefs-d'oeuvre" du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont particulièrement glaçants, mais il est bien né sous le signe d'une météo très défavorable :
A la fin des
années 50, les hivers sont mois rudes. Quelques épisodes peuvent toutefois
évoquer quelques souvenirs, notamment en février 1958, où le 7 février, une tempête de
neige issue d’un très fort conflit de masses d’air paralyse une zone située
entre Paris et Strasbourg. Alors que la température atteint près de 10° dans la
Beauce, il tombe 9cm de neige à Paris, 45cm à Strasbourg et 60cm à Phalsbourg
(nord de la Lorraine). Ces fortes précipitations provoquent des inondations,
notamment dans le bassin de la Seine.
Dans la nuit du 25 au 26 février 1958,
une très violente tempête de neige ensevelie les régions du Nord-ouest où il
tombe en moyenne 10 à 15 cm. Un véritable blizzard soufflant en rafales à près
de 120 km/h forme d’énormes congères qui bloquent les axes routiers notamment
du Nord-Pas-de-Calais. Au cœur de la nuit, des milliers de véhicules sont alors
abandonnés en pleine campagne et 4 personnes trouvent la mort. Venant de
Bruxelles et regagnant Paris au volant de sa voiture américaine, le fantaisiste
Robert Lamoureux se trouve d’un seul coup face un mur de neige à la hauteur de
Baisieux. Il tente de se dégager quand soudain sa voiture prend feu. Il s’en
sort indemne, échappant de justesse à une catastrophe.
C’est à partir de
cette date que Paul Douchy, un prévisionniste de la Météorologie nationale
commente la météo quotidiennement à la télévision (alors que depuis le 17
décembre 1946, il s’agissait d’un rendez-vous hebdomadaire). Une télévision
française qui avance à pas de géants et que possèdent désormais près d’un
million de foyers.
Voilà, son attentat initial a bien eu lieu le 7 février 1958 à Strasbourg, et dès le lendemain, le retournement de situation était total, avec dégel et inondations.
Seul point positif : ses deux parents étant renés, il était obligé d'appeler sa fille Shanti Devi...
N.B. : Son frère aîné Francis, évoqué dans quelques-uns de
ses écrits publics, notamment ceux relatifs à son enfance, comme celui
que je viens de publier en date du 2 janvier 2024, dans lequel il relate
ce qui semble avoir été son tout premier attentat "islamigré" bien
conscient, est lui aussi marqué par le chiffre 7, il est même décédé un 7 janvier (à 22 ans, a priori d'une overdose), ce qui fut bien évidemment pour le malade mental Pascal Luraghi un évènement marquant (il a alors tout près de 17 ans) :
P.S. : N'hésitez pas à me signaler les attentats que j'aurais pu oublier.
P.S. bis : Les articles me concernant de janvier et février 2011 de Cyprien Luraghi sont au nombre de 7 - encore un attentat particulièrement violent, surtout pour Patricia Bouchon qu'il fera assassiner à Bouloc le 14 (= 2x7) février 2011 parce qu'il soupçonnait cette secrétaire d'un cabinet d'avocats toulousain qui fut aussi évangéliste et s'avérait accro au jogging (motifs particuliers de la haine du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à son encontre) de vouloir le dénoncer pour tous ses piratages et autres exactions à mon encontre.
Autres exemples : Monique Olivier, complice de l'ogre des Ardennes Michel Fourniret, Annie Belléculée, épouse à l'identique complice en tout du pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Isabelle Johanny, vice-procureure très très viciée du TJ de Brest, faussaire notoire.
A noter : toutes ont la prétention de justifier leurs crimes par leurs souffrances supposées, plus ou moins réelles, et aucune n'a la moindre considération pour ses victimes. En outre, leurs crimes crapuleux leur permettent de devenir propriétaires et, faisant preuve d'un goût prononcé pour la vengeance, elles tuent ou tentent de faire assassiner anciens amants ou maris (Simone Weber, Monique Olivier).
Au rang des drôleries : en 2017, Simone Weber a pour nouvel avocat le Finistérien Valery Le Douguet, un ami des Le Pen issu de la Chiraquie et membre du Grand Orient de France.
Simone Weber, née le à Ancerville (Meuse), est une criminellefrançaise qui a été condamnée le à une peine de vingt ans de réclusion
pour le meurtre de son ancien amant Bernard Hettier, disparu près de
six ans auparavant. Elle a toujours nié être l'auteur de ce meurtre
malgré un faisceau d'indices convergents.
L'affaire Simone Weber a fait l'objet d'une grande couverture
médiatique en France : elle a suscité de très nombreux articles dans les
journaux, plusieurs livres et des émissions de télévision. Simone Weber
est libérée de la prison centrale des femmes de Rennes le et vivra auprès de sa sœur Madeleine à Cannes1,
pour ensuite intégrer une maison de retraite, sa dernière prise de
parole remonte au 22 août 2021 sur la radio RTL. Elle avait 91 ans.
Biographie
Simone Weber est née le ,
d'un père mécanicien et d'une mère ouvrière. Ses parents se séparent
alors qu'elle a quatre ans. Deux enfants sont gardés par la mère malade.
Elle et sa sœur Madeleine (1933-2016) restent avec leur père. Sans
diplôme, les deux sœurs quittent le domicile familial pour épouser les
frères Thiot. Simone a cinq enfants, trois filles et deux garçons. Elle
finit par mettre à la porte son époux alcoolique et fait des petits
travaux pour nourrir ses enfants. Deux de ses enfants meurent assez
jeunes, ce qui la fait sombrer dans la mythomanie et la paranoïa. En 1977, elle rencontre Marcel Fixard, qu'elle épouse2.
L'affaire
Disparition de Bernard Hettier
Le , Patricia Hettier fait publier dans L'Est républicain, à la une de son édition, un avis de recherche dans l'intérêt des familles
au sujet de son père Bernard Hettier. Ce contremaître dans une usine
chimique âgé de 55 ans et divorcé a disparu alors depuis deux semaines3. La police est rapidement sur la piste d'une ex-maîtresse, Simone Weber, des voisins témoignant avoir vu le
(c'est-à-dire le dernier jour où il a été vu en vie) Simone en train de
guetter au volant de sa voiture Bernard à son domicile à Maxéville, et le menacer de mort, un fusil à la main. Leur liaison avait débuté en ,
lorsqu'Hettier vint tondre le gazon dans le jardin de cette veuve, mais
il avait rompu au bout d'un an, lassé de son amante jalouse et
possessive, et se disait persécuté par elle depuis4.
Plusieurs autres indices orientent l'enquête vers elle : un arrêt
maladie prétendument envoyé par Bernard Hettier à son employeur,
quelques jours après la publication de L'Est républicain, se révèle avoir été prescrit en réalité à Pascal Lamoureux, marié à Brigitte, la fille de Simone Weber5. On retrouve même chez elle une quarantaine de timbres en caoutchouc permettant d'établir de faux documents médicaux6.
Des témoins, les Haag, déclarent l'avoir vue le descendre de chez elle dix-sept sacs poubelle, après qu'elle eut fait dans la nuit un vacarme considérable, « comme si elle passait l'aspirateur sur place »6. Or, la veille de la disparition de Bernard Hettier, Simone Weber avait loué une meuleuse à béton
à six mille tours par minute (destinée selon elle à couper les murets
des jardinets de fleurs), qu'on lui aurait volée. Cependant, on retrouve
la meuleuse dans le coffre de sa voiture, avec des traces de sang et un
morceau de chair encore accroché à un disque7.
Le véhicule de M. Hettier a également disparu. Des conversations
téléphoniques entre Simone Weber et sa sœur Madeleine, qui demeure sur
la Côte d'Azur, permettent aux enquêteurs de comprendre que les deux
femmes emploient un code pour en parler, l'appelant « Bernadette »8.
Les policiers commencent à avoir des doutes quand, dans les
conversations, elles échangent de prétendus résultats du loto avec des
numéros supérieurs à quarante-neuf. Rapidement les enquêteurs
comprennent qu'il s'agit de numéros de cabines téléphoniques destinées à
passer des communications dont elles souhaitent qu'elles ne soient pas
écoutées, avec l'heure de l'appel. Le juge d'instructionGilbert Thiel
qui ordonne une soixantaine d'expertises au cours de l'enquête est
désigné par les sœurs comme « le shérif ». Pendant cette instruction,
Simone demande à sa sœur de faire disparaître des pièces à conviction
(chéquiers au nom d'Hettier, blocs d'ordonnance volés chez les médecins,
passeport, autres documents) et cette dernière s'exécute. Au cours
d'une perquisition menée chez Madeleine Weber à Cannes,
les policiers retrouvent cependant la carte grise et les papiers
d'assurance de la Renault 9 de Bernard Hettier. Ils découvrent également
le contrat de location d'un box en face du domicile de Madeleine. Ce
box contient la Renault 9 blanche d'Hettier. Le , à Poincy, dans un bras mort de la Marne,
un pêcheur retrouve un tronc humain (sans membres ni tête), enveloppé
dans un plastique à l'intérieur d'une valise lestée d'un parpaing.
Le corps ne peut être formellement identifié mais des indices (âge,
groupe sanguin, valise identifiée par Patricia Hettier comme appartenant
à son père, parpaing contenant de la terre identique à celle du jardin
de la maison de Rosières-aux-Salines
et des gouttes de peinture bleu ciel de composition identique à celle
utilisée chez elle par Simone Weber) suggèrent qu'il s'agit de Bernard
Hettier9. Le ,
Thiel fait arrêter les deux sœurs. Il inculpe Madeleine Weber pour
recel de preuves, obstruction à l'action de la justice, et destruction
d'éléments de preuve dans le cadre d'une affaire criminelle.
L'instruction de l'affaire est très longue, le juge Thiel
cherchant à explorer au maximum toutes les pistes pour conclure qu'une
seule d'entre elles est crédible, à savoir que Simone Weber est l'auteur
d'un homicide, même si les preuves matérielles, apparemment
accablantes, sont juridiquement minces4. Avec la découverte dans l'appartement de Simone d'une carabine 22 long rifle
équipée d'un silencieux, d'une cartouche percutée et d'une douille sous
l'armoire, l'hypothèse privilégiée de Thiel est que Simone a tué
Hettier d’une balle dans la tête alors qu’il se baissait puis l'a
découpé à la meuleuse, refusant de restituer cet outil loué de peur
qu'on y trouve des traces de chair et de sang10.
Mort mystérieuse de Marcel Fixard
L'enquête
sur la disparition de Bernard Hettier permet également de s'intéresser
au passé de Simone Weber. On s'aperçoit alors qu'elle est veuve de
Marcel Fixard, 81 ans, un militaire à la
retraite, veuf et sans enfant. Fixard l'avait engagée comme dame de
compagnie à la suite d'une petite annonce au printemps 1977 dans un
journal, dans laquelle il recherchait une femme de service. Criblée de
dettes, elle avait répondu à l'annonce alors qu'elle ne correspondait
pas au profil recherché (elle se fit passer pour une divorcée sans
enfant, professeur de philosophie à la retraite), et obtint le poste.
Afin de toucher son héritage, elle demande à un figurant de se faire
passer pour Fixard et l'épouse dans la plus stricte intimité à la mairie
de Strasbourg le 11.
Bien que le retraité soit décrit comme en pleine santé pour son âge, il
meurt brusquement trois semaines après ce faux mariage secret.
L'enquête prouvera que ce dernier n'était pas l'homme qui s'était
présenté le jour du mariage, et qu'il ignorait donc qu'il était marié. À
l'ouverture du testament, elle apprend qu'elle n'est pas l'héritière,
aussi décide-t-elle de fabriquer un faux testament postérieur qu'elle
présente au notaire, pouvant ainsi toucher l'héritage. Elle s'installe
ainsi dans sa maison de Rosières-aux-Salines, un pavillon dont elle a hérité par subterfuge à quinze kilomètres de Nancy11.
Le juge Thiel restera persuadé, sans pouvoir le prouver, que
Simone Weber a empoisonné M. Fixard, pour récupérer son héritage, avec
de la digitaline qu'elle s'est procurée avec une fausse ordonnance12.
Procès, condamnation et libération
Après
une instruction de cinq ans, aboutissant à la constitution d'un dossier
de 18 000 pages, le procès de Simone Weber devant la cour d'assises de Meurthe-et-Moselle a lieu du au 13.
Il est l'occasion de multiples coups d'éclat de l'accusée. Elle récuse
elle-même des jurées, comme elle a précédemment récusé 25 de ses
avocats, notamment Gilbert Collard14 et Jacques Vergès, qu'elle a trouvé trop vulgaire pour avoir dit au juge Thiel : « Vous avez créé une effrayante chimère avec les couilles de Landru et les ovaires de Marie Besnard »15. Elle insulte copieusement certains témoins. En entendant l'avocat général requérir contre elle une peine de vingt ans de réclusion criminelle, assortie d'une période de sûreté de dix-huit ans, elle éclate de rire16. Le ,
la cour la déclare innocente du meurtre de son faux mari Marcel Fixard,
mais la reconnaît coupable d'avoir découpé le corps de son ancien amant
à la meuleuse à béton, sans reconnaître de préméditation, et la condamne à une peine de vingt ans de réclusion criminelle1.
Purgeant sa peine à la prison centrale des femmes de Rennes, Simone Weber continue de soutenir qu'elle n'a pas découpé son ex-amant à la meuleuse17. Une fois libérée le , grâce aux remises de peine et à une bonne conduite, elle le redit à la télévision.
En ,
Simone Weber demande à son nouvel avocat, Valéry Le Douguet, de lancer
une demande de procédure en révision de sa condamnation criminelle de 18.
Notes et références
Pascale Robert-Diard, Didier Riouxs, Le Monde : les grands procès, 1944-2010, Les Arènes, , p. 322.
Denis Robert relate fictivement l'affaire Simone Weber dans Chair Mathilde, 1991, éditions Bernard Barrault
Georges Moréas (conseiller technique) et Bill Waddell (conseiller technique), Dossier meurtre. Enquête sur les grands crimes de notre temps, vol. 22 : La Diablesse. Simone Weber : la paisible sexagénaire de Nancy a-t-elle empoisonné son mari et dépecé son amant ?, Paris, ALP, , 30 p.
C'est le troisième pic important dans le graphique de mes lectures de blog pour les trois derniers mois écoulés :
Cela signifie, comme d'habitude, que nous ne sommes pas loin d'un nouvel attentat "islamiste" ou "islamigré" comme dit le chef terro Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ou au moins qu'il en existe un projet très avancé.
Le pic du 23 novembre annonçait l'attentat du 2 décembre à Paris et celui du 20 décembre l'attaque du marché de Noël de Strasbourg qui finalement aura été remplacée par le Noël noir nigérien.
Les statistiques d'audience correspondant au graphique ci-dessus indiquent :
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97
HeadlessChrome
21
MSIE
9
CriOS
6
Opera
5
FxiOS
3
Autre
217
Pages vues par système d'exploitation
Windows
24 234
Android
1 733
Linux
1 398
Macintosh
631
Unix
365
iPhone
111
iPad
8
(Windows NT 10.0
4
Android 10
4
Android 13
2
Android 14
1
OS/2
1
iPhone9,3
1
iPod touch
1
Autre
318
Windows
24,2 k
Android
1,73 k
Linux
1,4 k
Macintosh
631
Unix
365
iPhone
111
iPad
8
(Windows NT 10.0
4
Android 10
4
Android 13
2
Android 14
1
OS/2
1
iPhone9,3
1
iPod touch
1
Autre
318
Mon audience chez les Windows/Chrome est devenue massive ces derniers jours :
- pour les trente derniers jours :
Pages vues par navigateur
Chrome
18 070
Firefox
472
Safari
77
SamsungBrowser
26
HeadlessChrome
18
Opera
5
Kindle
1
MSIE
1
Chrome
18,1 k
Firefox
472
Safari
77
SamsungBrowser
26
HeadlessChrome
18
Opera
5
Kindle
1
MSIE
11
Autre
42
Pages vues par système d'exploitation
Windows
17,8 k
Android
265
Unix
211
Linux
131
Macintosh
119
iPhone
55
iPad
3
OS/2
1
iPhone9,3
- pour les sept derniers jours :
Pages vues par navigateur
Chrome
9 269
Firefox
113
Safari
13
SamsungBrowser
9
Kindle
1
Chrome
9,27 k
Firefox
113
Safari
13
SamsungBrowser
9
Kindle
1
Pages vues par système d'exploitation
Windows
9 251
Unix
72
Linux
36
Macintosh
27
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9
Android
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iPad
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iPhone9,3
1
Windows
9,25 k
Unix
72
Linux
36
Macintosh
27
iPhone
9
Android
8
iPad
1
iPhone9,3
1
- pour les dernières 24 heures :
Pages vues par navigateur
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Chrome
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Firefox
13
SamsungBrowser
1
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Windows
3,79 k
Linux
17
Macintosh
7
Android
3
Windows/Chrome, c'est le malade mental et néanmoins cybercriminel et terroriste Jean-Marc Donnadieu de Béziers, un "zététicien" des plus notables. Vraiment malade, il est actuellement trop pété pour écrire mais peut encore cliquer comme un forcené.