Accessoirement, il livre aussi au public quelques informations sur son vieux complice policier du commissariat de Cahors, qu'il appelle "Titou" et qui est aujourd'hui à la retraite, et dont autrefois il affirmait publiquement qu'il le conseillait pour toutes ses exactions à mon encontre.
Il vient tous les jours me réclamer sa tape sur la tête, quand ce n'est pas plusieurs fois par jour, mais moi, je suis juste une petite Rosie qui adore tout faire comme ses copains huskys, même porter un aileron de requin pour aller à la piscine.
Quand il faut vraiment cogner, euh... je n'ai pas toutes les aptitudes nécessaires, voyez-vous...
Et là, Nemrod a bien besoin d'un gros coup sur la tête pour chasser son moustique.
Parce que moi, j'ai beau tapoter, il revient tout le temps, comme vous pouvez le constater avec la suite de commentaires rapportés ci-dessous.
Tout à la fin de cet article, vous verrez aussi qu'il y en a un autre sur Facebook qui ne va pas mieux et réclame vainement son traitement au lecteur de passage.
Il dit qu'il a quitté l'hôpital (psychiatrique) parce qu'il a cotisé douze ans pleins, qu'il lui en ma(n)que deux et donc, qu'il n'a pas un centime - du vol organisé, affirme-t-il.
Vous y comprenez quelque chose, vous ?
Moi, tout ce que je vois, c'est qu'il faut chasser le moustique.
Bon sang on même plus aller en Espagne! https://www.herault-tribune.com/articles/1564053/insolite-interceptes-avec-2-millions-d-euros-en-especes-les-deux-heraultais-sont-confines-en-prison/
"Nimrod
meurt d'une façon humiliante. Un moustique s'est introduit dans son
nez, provoquant d'atroces migraines[réf. nécessaire]. Il demande à tous
les passants de lui donner une tape sur le crâne dans l'espoir de faire
tomber le moustique. C'est ainsi que celui qui se prenait pour un Dieu
meurt victime d'un moustique. Dans le Talmud, la mort du « méchant Titus
» qui a détruit le Temple de Jérusalem est décrite par un midrash
identique."
En préambule, je prie mon aimable lecteur de bien vouloir m'excuser de lui imposer la vue des horreurs ci-dessous.
En effet, je
profite des tendances narcissiques du pervers Pascal Edouard Cyprien
Luraghi, qui bien évidemment adore poster des photographies de sa
tronche sur tous les sites qu'il pollue de ses messages ou commentaires
haineux et délirants, pour en retirer une petite leçon de choses.
Le voilà sur Twitter il y a tout juste trois jours, donc :
Cette grimace est un sourire.
Il ne peut pas faire mieux, et je vais vous expliquer pourquoi, mais je crois que de toute façon, cela se voit, même sur des photographies comme celle-ci : il a le cuir épais et extrêmement rigide.
C'est ce qui m'a le plus frappée chez lui lorsque je l'ai vu de visu au TGI de Paris en 2016 : littéralement, il porte un masque.
Il s'agit d'une des caractéristiques physiques du pervers narcissique, qui est plus ou moins marquée d'un individu à l'autre selon le degré de sa maladie mentale.
Chez lui, elle est tellement développée que c'en est carrément flippant : on ne perçoit pas l'anomalie comme chez les autres, elle s'impose d'emblée et éclipse tout le reste.
Mêmes tendances chez ses divers complices, dont :
- Josette Brenterch du NPA de Brest, avant et après cure d'amaigrissement (pas mieux) :
- Jean-Marc Donnadieu de Béziers :
Tous les trois ont également de très petits yeux qui émergent à peine sous l'épaisseur du masque.
Ils n'ont pas les yeux grand ouverts sur le monde car, tout simplement, ils ne peuvent pas le regarder en face. Ils ne le font d'ailleurs jamais, ils fuient constamment la réalité par tous les moyens.
En tous les cas, j’ai toujours été très bien notée en français, mieux
que tous mes camarades de classe, puisque j’avais toujours les
meilleures notes.
Ouvrez l’école aux filles, aux enfants de pauvres, et voilà le résultat :
même sans avoir jamais suivi d’études de droit, ils peuvent s’avérer
parfaitement capables d’aller battre sur leur propre terrain, et de
surcroît chez eux (Paris pour le premier en 2016 et 2017, Lyon pour le
second actuellement), les avocats de M. le Baron PEC Luraghi, que
ceux-ci agissent en son nom ou en leurs noms propres, en qualité de
complices… Inadmissible…
Copyright AFP 2017-2020. Droits de reproduction réservés.
Une prétendue lettre écrite par Madame de Sévigné à sa fille en 1687
a été partagée plusieurs milliers de fois sur Facebook depuis début
mai. La marquise française, connue pour ses talents d’épistolière, y
évoque un confinement dû à un « fléau » « qui se propage comme un feu de bois sec » et explique qu’à Versailles « tout le monde »
porte des masques, afin d’éviter de se contaminer. Cette lettre n’a
pas été écrite par la marquise. Elle est issue d’un pastiche, rédigé en
avril dans le cadre d’un concours d’écriture.
« Surtout, ma chère enfant, ne venez point à Paris ! Plus personne ne sort de peur de voir ce fléau s’abattre sur nous », aurait écrit Madame de Sévigné dans une lettre à sa fille. « Le roi et Mazarin nous confinent tous dans nos appartements », s’attriste la marquise, qui envoie à sa fille
« deux drôles de masques (…) Tout le monde en porte à Versailles. C’est
un joli air de propreté, qui empêche de se contaminer. » Des propos qui résonnent étrangement avec l’actualité, alors que la France et la Belgique ont entamé leur deuxième confinement pour lutter contre la pandémie de covid-19.
Capture d’écran réalisée le 4 novembre 2020 sur Facebook
Cette prétendue lettre circule depuis le 2 mai 2020 sur Facebook et a été partagée plusieurs milliers de fois, selon les recherches de l’AFP.
En réalité, Madame de Sévigné, dont les lettres à sa fille sont
encore étudiées dans les écoles françaises, n’a jamais rédigé une telle
missive. Il s’agit d’un pastiche, écrit dans le cadre d’un concours
d’écriture, organisé par le Bottin Mondain (un annuaire des familles de la « société mondaine » française) pour ses membres, et partagé le 23 avril 2020 dans une newsletter.
Cette prétendue lettre de la marquise contient d’ailleurs plusieurs anachronismes et détails qui doivent alerter le lecteur.
Plusieurs indices permettent de voir que cette lettre n’a pas pu être écrite par Madame de Sévigné en 1687
La marquise de Sévigné a écrit à sa fille plusieurs
centaines de lettres entre 1671 et 1696. Mais on ne trouve aucune trace
de cette lettre-ci dans les recueils disponibles en ligne, comme l’édition de Hachette publiée en 1876, ou celle de Flammarion en 1976.
Interrogée le 3 novembre 2020, Laure Depretto, docteure en
littérature française et spécialiste de Madame de Sévigné, a confirmé
par e-mail à l’AFP qu’« aucune lettre de Madame de Sévigné datée du 30 avril 1687 ne figure dans l’édition de ses lettres (Pléiade, Gallimard) ».
D’après ces publications, cette lettre aurait été écrite le « jeudi 30 avril 1687″. Or, selon le site éphéméride,
qui permet de retrouver le jour de la semaine correspondant à une date
précise, le 30 avril 1687 était un mercredi et non un jeudi.
Le texte de cette publication contient, de plus, plusieurs
anachronismes. L’épistolière évoque d’abord une décision prise par le
roi et Mazarin « qui nous confinent tous dans nos appartements ». Or le cardinal Mazarin est mort en mars 1661.
Il n’aurait donc pas pu prendre la décision de « confiner » la cour en
1687. Quant au maître d’hôtel Vatel, chargé de pourvoir aux repas de
Madame de Sévigné selon cette publication, il s’est suicidé en 1671. La
marquise avait d’ailleurs raconté cet événement dans l’une de ses lettres.
La publiction évoque également la comédie « Le Menteur » de Pierre Corneille, que la marquise semble découvrir. Or cette pièce est parue en 1644. « Il est peu probable que Madame de Sévigné assiste à une « nouvelle » représentation presque cinquante ans après », a souligné Laure Depretto.
Enfin, dans certains des posts, Madame de Sévigné signe cette lettre avec cette marque d’affection, « Je vous embrasse Pauline… ». Or, Pauline de Grignan (devenue de Simiane après son mariage) n’était pas la fille mais la petite-fille de Madame de Sévigné. Sa fille s’appelait Françoise-Marguerite.
Chronologie des principaux fléaux de l’Histoire, avec estimations de leur nombre de morts (AFP – John SAEKI)
Au XVIIème siècle il n’y aurait pu avoir ni confinement généralisé, ni port du masque
A cette époque, « depuis le début de la peste du Moyen-Age en
1346, il y avait eu pratiquement tous les ans en France des épidémies
plus ou moins graves », a indiqué Patrick Zylberman, professeur
émérite d’histoire de la Santé à l’Ecole des hautes études en santé
publique. Cependant, Paris n’a connu aucune épidémie particulière en
1687, a-t-il précisé à l’AFP le 3 novembre 2020.
En effet, la dernières grande épidémie de peste de l’époque avait eu lieu entre 1629 et 1631.
Après 1687, une nouvelle vague venue du Moyen-Orient a tué 40 000
personnes à Marseille et plus de 100 000 personnes en Provence entre
1720 et 1722.
Le confinement, évoqué dans cette publication, n’était pas une
politique publique au XVIIème siècle mais plutôt le fait d’une minorité
de personnes, a expliqué Patrick Zylberman : « Pendant la grande
épidémie de peste dans les îles britanniques en 1665, 1666, les
personnes aisées se confinaient à la campagne. Mais les politiques
publiques étaient plutôt tournées sur les quarantaines ». A cette
époque, en cas d’épidémie, des murs étaient construits autour des villes
pour limiter les entrées et les sorties, comme ce fut le cas en Provence en 1720.
Selon cette publication, Madame de Sévigné envoie également avec cette lettre « deux drôles de masques », à la mode à la Cour de Versailles. « C’est un joli air de propreté, qui empêche de se contaminer ».
Une phrase qui n’aurait pas pu être écrite à l’époque, a expliqué Patrick Zylberman : « pour
cela, il aurait fallu avoir la notion du mode de transmission du virus.
Or l’idée que le virus se transmet par l’intermédiaire de gouttelettes
arrive à la fin du XIXème siècle ».
Pendant la Grande peste, les masques en forme de bec d’oiseau,
essentiellement portés par des médecins, étaient censés protéger contre
les « miasmes » contenus dans l’air vicié qui charriait, selon la
médecine de l’époque, des matières en décomposition et des mauvaises
odeurs, expliquait cette dépêche de l’AFP publiée en mai.
Un pastiche rédigé en mars 2020
Cet article de France Inter,
publié le 4 mai 2020, évoque un certain « Jean-Marc Banquet d’Orx »,
qui en serait l’auteur. En tapant ce nom et des mots-clés sur un moteur
de recherche, on retrouve un article daté du 30 avril sur le site Baskulture, qui évoque un « pot-aux-roses », inspiré d’un « article de Mme Marie-José Lacourte publié dans la chronique du ‘Bottin Mondain’ du 23 avril dernier ».
Contactée le 3 novembre 2020, l’équipe du Bottin Mondain a confirmé à
l’AFP que ce pastiche a été publié dans une newsletter datée du 23
avril, que l’AFP a pu consulter, à l’occasion d’un concours d’écriture
autour du confinement.
En effet, on trouve sur le profil Facebook de Marie-José Chardonnet-Lacourte une publication datée du 5 mai 2020, dans laquelle elle s’indignait de la reprise de ses pastiches, écrits le 12 avril et « sans vérité historique ».
Contactée par l’AFP le 3 novembre, Marie-José Chardonnet-Lacourte a
confirmé être l’auteure de ce pastiche et a expliqué être « perplexe » face à l’ampleur que celui-ci a pris : « Certaines phrases ont même été ajoutées, comme la mention des masques et de Vatel ». La date du 30 avril 1687 n’apparaît pas non plus dans le texte original.
« On m’a dit de raconter mon confinement par rapport à des
personnages connus et donc je me suis lancée. Madame de Sévigné, c’était
une femme de lettres, très cultivée, je me suis mise dans sa tête si
elle avait été confinée », a expliqué Marie-José Chardonnet-Lacourte, qui a glissé volontairement quelques anachronismes dans son texte.
Selon Laure Depretto, il n’est pas étonnant que cette lettre circule autant, car « elle concilie tous les sentiments contradictoires nourris par l’apparition de l’épidémie de Covid ». Pour la docteure en littérature, elle suscite deux réactions : « La
première où le lecteur actuel se dit « tiens, rien n’a changé depuis
300 ans » et nous sommes confinés comme pouvaient l’être des Grands, des
nobles sous l’Ancien Régime. L’appartenance à une communauté unique,
soumise aux mêmes fléaux à plusieurs siècles d’intervalle et ce, quelles
que soient les appartenances sociales et hiérarchiques, a quelque chose
de rassurant. Nous sommes tous égaux devant les épidémies.
La seconde réaction, selon Laure Depretto, est une interrogation : « On
ne peut s’empêcher de se dire « Comment se fait-il que nous soyons
revenus au même point? Le sentiment d’arriération alors domine et l’on
se retrouve scandalisé.e que rien n’ait changé depuis l’Ancien Régime,
que nous n’ayons pas réussi à faire davantage de progrès. »
Le Monde a un peu de mal à le dire clairement, mais les journaux étrangers n’ont pas ses pudeurs…
On rappelle ici, d’une part, que des Albanais avaient armé le
terroriste tunisien de Nice pour le 14 juillet 2016, et d’autre part,
que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses divers
complices entretiennent depuis très longtemps d’excellentes relations
avec la mafia albanaise, tout comme d’ailleurs avec les Tchétchènes en
délicatesse avec les autorités russes (attentat de
Conflans-Sainte-Honorine).
Si besoin était, je rappelle tout le cirque organisé à la Marie de
Brest en mars 2016 pour ses protégés albanais par l’élue EELV provenant
en fait des rangs de la LCR Julie Le Goïc, ainsi que ses « moqueries »
de la même année au sujet du père Jacques Hamel, à peine celui-ci
venait-il d’être assassiné dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray,
le 26 juillet :
Le journaliste Alexandre Hervaud, depuis licencié de Libération pour
son activité de « loleur », s’était aussi fait remarquer à cette
dernière occasion :
Certains ou certaines vont encore se plaindre que l’on puisse les
associer à des terroristes ou les y assimiler, mais on ne les voit
toujours pas s’en désolidariser…
Le point sur l’attaque terroriste de Vienne : bilan des victimes, revendication de l’EI et profil du tueur
Quatre personnes ont été tuées dans cet attentat, et quinze autres
blessées, dont trois restent dans un état critique. L’Autriche a décrété
trois jours de deuil national.
Le Monde avec AFP Publié hier à 16h45, mis à jour hier à 20h31
L’Autriche était sous le choc au lendemain de l’attaque qui s’est déroulée, lundi 2 novembre, dans la soirée en plein cœur de la capitale, Vienne,
près d’une importante synagogue et de l’Opéra. Selon un bilan encore
provisoire, quatre personnes ont été tuées et quinze autres ont été
hospitalisées, dont trois dans un état critique, dans cet attentat que
le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a qualifié de « terroriste ».
Le pays a décrété trois jours de deuil national. Mardi, les drapeaux
ont été mis en berne sur les bâtiments publics partout à travers le pays
et une minute de silence observée à midi, tandis que les cloches des
églises sonnaient. Le chef du gouvernement, le président Alexander Van
der Bellen et d’autres hauts responsables ont participé à une cérémonie
en hommage aux victimes.
Mardi, des éléments ont commencé à filtrer sur l’identité du
principal auteur de l’attentat, abattu lundi soir par les forces de
l’ordre.Né à Mödling, au sud de Vienne, l’assaillant,
âgé de 20 ans, avait été condamné en avril 2019 à vingt-deux mois de
prison pour avoir voulu rejoindre la Syrie. Il avait été libéré de
manière anticipée, ayant réussi à « tromper » le programme de
déradicalisation autrichien. La procédure a bien été respectée et des
contacts réguliers pris avec les agents, a fait savoir la ministre de la
justice, Alma Zadic.
Le jeune homme détenait également la nationalité de Macédoine du
Nord, tout comme deux autres personnes dans le collimateur des
enquêteurs. Environ 150 ressortissants de ce pays ont rejoint, entre
2012 et 2016, les rangs des islamistes pour combattre en Irak et en
Syrie. Ils ont, pour la plupart, été recrutés au sein de la minorité
albanaise musulmane de ce pays en majorité slave orthodoxe.
L’EI a, par ailleurs, revendiqué l’attentat mardi dans un communiqué
publié sur ses chaînes Telegram. Dans un texte séparé, accompagné d’une
photo de l’assaillant armé, l’agence de propagande Aamaq évoque « une attaque aux armes à feu menée hier [lundi] par un combattant de l’Etat islamique dans la ville de Vienne ».
Elle a aussi publié une courte vidéo dans laquelle l’assaillant armé,
seul face caméra, se filme en train de prêter allégeance au chef
officiel de l’organisation jihadiste Abou Ibrahim al-Hachemi
al-Qourachi.
Dix-huit perquisitions, quatorze interpellations
Mardi, une grande partie du centre de la capitale était toujours
bouclée. Sur les lieux de l’attentat, un imposant cordon de sécurité
bouclait le périmètre de l’attaque, tandis que des membres de la police
scientifique étaient déployés pour relever des indices. La police a
également multiplié les opérations dans la journée, menant
18 perquisitions et procédant à 14 interpellations.
Contrairement aux premières déclarations des autorités, qui avaient
lancé une chasse à l’homme pour retrouver d’autres suspects, l’homme de
20 ans a visiblement agi seul. Il n’y a pas de preuve, à ce stade, de
l’existence d’un deuxième terroriste, a souligné M. Nehammer.
Deux Suisses arrêtés près de Zurich
Deux jeunes hommes suisses de 18 et 24 ans ont été arrêtés mardi près de Zurich, en lien avec la fusillade à Vienne. « Les deux hommes ont été arrêtés à Winterthur mardi après-midi en coordination avec les autorités autrichiennes »,
a indiqué la police cantonale de Zurich dans un communiqué. En 2017,
l’imam éthiopien de la mosquée An-Nur, à Winterthour avait été mis en
examen par la justice cantonale pour avoir appelé au meurtre de
musulmans non pratiquants.
L’éventuel lien « entre les deux personnes arrêtées et le
responsable présumé des attentats fait actuellement l’objet d’enquêtes
et de recherches en cours par les autorités compétentes », a ajouté la police locale.
Quatre personnes tuées, quinze autres hospitalisées
Parmi les quatre victimes figurent un homme et une femme âgés, ainsi
qu’un jeune passant et une serveuse, a précisé le chancelier Kurz.
Quinze personnes restaient hospitalisées, dont trois dans un état
critique, selon l’association hospitalière de Vienne.
Les riverains étaient encore sonnés, en oubliant même le confinement
entré en vigueur ce mardi pour lutter contre la seconde vague de la
pandémie de Covid-19. Le rabbin de la communauté juive de Vienne,
Schlomo Hofmeister, s’est dit « inquiet », craignant que l’attaque ait pu être liée à la synagogue. « Aucun indice ne le confirme, mais nous ne pouvons pas l’exclure », a-t-il confié. « Le bâtiment était fermé à ce moment de la journée et ce quartier est LE quartier animé de la ville. »
Il a assisté à la scène depuis la fenêtre de son appartement. « L’homme
s’est dirigé en courant vers les clients des bars avec son arme, il a
tiré des dizaines, peut-être même des centaines de salves », a-t-il témoigné. « Il faisait doux et c’était la veille du confinement, il a certainement profité de la situation pour faire un bain de sang. »
Des policiers et des soldats ont été mobilisés pour protéger les
bâtiments importants de la capitale, et les enfants ont été dispensés
d’école mardi. « Nous ne nous laisserons jamais intimider par le terrorisme et nous combattrons ces attaques avec tous nos moyens »,
a affirmé M. Kurz, alors que l’Autriche avait été jusqu’ici été
relativement épargnée par la vague d’attentats islamistes survenue en
Europe ces dernières années.
Cet attentat a suscité un afflux de réactions de solidarité, du
président américain, Donald Trump, en passant par son homologue russe,
Vladimir Poutine, et l’ensemble des dirigeants européens, d’Ursula von
der Leyen à Emmanuel Macron ou Angela Merkel.
« L’Europe est en deuil. L’un des nôtres a été durement frappé par le terrorisme islamiste », a réagi Emmanuel Macron mardi matin sur Twitter, ajoutant que la France « se tient aux côtés de l’Autriche ». Le chef de l’Etat français s’est rendu dans la journée à l’ambassade d’Autriche pour apporter « son soutien inconditionnel au peuple autrichien » et appeler à une réponse européenne contre « des ennemis qui s’attaquent à ce qu’est l’Europe ».
« Nous ferons tout, en Européens, pour nous tenir ensemble,
combattre ce fléau qu’est le terrorisme et, ensemble, avancer sans rien
céder d’aucune de nos valeurs », a-t-il déclaré, après avoir signé le registre de condoléances.
A l’Assemblée nationale, les députés et les membres du gouvernement,
debout, ont observé mardi après-midi une minute de silence pour exprimer
leur « solidarité » et leur « profonde compassion au peuple autrichien ». « Le
terrorisme islamiste a frappé l’Autriche. Nos pensées vont aux victimes
de cette attaque abjecte, barbare, guidée par un fanatisme aveugle dans
un pays européen ami », a souligné le président de l’Assemblée, Richard Ferrand (La République en marche, LRM).
Attaque à Vienne: le profil de l’assaillant abattu par les policiers se précise
Robin Verner
Le 03/11/2020 à 13:04
Au lendemain de l’attentat qui a tué au moins quatre personnes à
Vienne, le profil du terroriste abattu par la police se précise ce
mardi.
Beaucoup d’éléments restent à éclaircir après l’attaque terroriste
qui a fait quatre morts lundi soir à Vienne. Les policiers cherchent
toujours à établir avec précision le nombre d’assaillants, à savoir si
certains d’entre eux ont pu leur échapper. La police a en revanche
abattu durant la nuit l’un des terroristes. Et le profil de ce dernier
se précise ce mardi.
Selon les premiers éléments de l’enquête, divulgués dans la matinée
par les autorités, les enquêteurs ont pu pénétrer dans son logement et
ont examiné son matériel informatique. Ils y ont trouvé une vidéo
d’allégeance à l’organisation jihadiste Daesh.
Connu des services de renseignement
Karl Nehammer, ministre de l’Intérieur autrichien, en a dit davantage
auprès de l’agence d’information APA. L’assassin était âgé de 20 ans et
était de nationalité autrichienne.
Il a toutefois relevé qu’il était orginaire de Macédoine du Nord. L’hebdomadaire viennois Falter
a cependant apporté une nuance: selon eux, le terroriste était
d’origine albanaise, ses parents n’ayant fait qu’un séjour en Macédoine
du Nord.
Plus important, l’homme était connu des services de renseignement
autrichiens. Il avait tenté de rejoindre la Syrie, au sein d’un réseau
comptant plusieurs dizaines d’islamistes, et avait été pris, arrêté et
condamné en 2019, avant de pouvoir sortir de prison de manière
anticipée. Selon Karl Nehammer, l’assaillant a réussi à « tromper » le
programme de déradicalisation et ceux qui étaient chargés de son suivi.
L’identité de l’auteur de la fusillade survenue dans la soirée du lundi 2 novembre 2020 à Vienne est désormais connue.
Il s’agit de Kurtin S., un homme de 20 ans d’origine albanaise né et
élevé à Vienne. Connu des services de renseignement, il était l’un des
90 islamistes autrichiens qui voulaient partir en Syrie, rapporte le
rédacteur en chef de l’hebdomadaire Falter Florian Klenk sur Twitter.
Sur son compte Twitter, le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a
condamné une « attaque terroriste répugnante ». « Nous ne nous
laisserons jamais intimider par le terrorisme et lutterons résolument
contre ces attaques par tous les moyens », a-t-il déclaré.
Pour sa part, le ministre autrichien de l’Intérieur, Karl Nehammer, a
déclaré mardi lors d’une conférence de presse que l’attaquant que la
police avait abattu était un sympathisant de l’organisation terroriste
Daech.
Vienne : le groupe Etat islamique revendique l’attaque terroriste
La fusillade terroriste a fait lundi soir dans le centre de Vienne au
moins cinq morts et 17 blessés et a immédiatement mobilisé la
solidarité et la détermination des responsables européens. Une quinzaine
de personnes, dont deux ressortissants suisses, ont été interpellées
dans la journée.
Par Ninon Renaud
Publié le 3 nov. 2020 à 12:19Mis à jour le 3 nov. 2020 à 19:11
La fusillade terroriste qui a fait lundi soir dans le centre de Vienne au moins cinq morts et 17 blessés dont 7 dans un état grave
a provoqué une onde de choc en Europe. La capitale autrichienne, dont
un tiers des habitants à des origines étrangères, faisait depuis près de
40 ans office sur le Vieux Continent d’îlot à l’abri du terrorisme : la
dernière attaque sanglante remontait à 1981 lors d’un attentat perpétré
par deux Palestiniens contre la synagogue près de laquelle ont commencé
les tirs du nouvel attentat.
« Le terrorisme islamiste est notre ennemi commun », « le combat contre ces assassins et leurs instigateurs est notre combat commun », a réagi Angela Merkel depuis Berlin. Le chancelier autrichien Sebastian Kurz avait auparavant dénoncé une « hideuse attaque terroriste ».
Son ministre de l’Intérieur, Karl Nehammer, a de fait confirmé mardi
matin que l’attaquant tué par la police était un sympathisant de
l’organisation islamiste IS (Etat islamique) – le groupe a d’ailleurs
revendiqué l’attaque dans un communiqué publié mardi soir sur la
messagerie Telegram. Selon la presse autrichienne, ce Viennois d’origine
albanaise aurait une vingtaine d’années et il aurait auparavant tenté
de se rendre en Syrie.
Condamné en avril 2019 à 22 mois de prison pour avoir tenté de
s’enrôler de s’enrôler au sein de l’Etat islamique, il a été libéré de
manière anticipée et a réussi à « tromper » le programme de
déradicalisation, a précisé plus tard ce mardi Karl Nehammer. La police,
qui a procédé à 18 perquisitions et 14 arrestations dans son entourage,
n’exclut pas qu’il ait été accompagné d’autres agresseurs. Deux
ressortissants suisses ont également été interpellés dans l’après-midi, a
indiqué la police cantonale de Zurich.
L’attaque est intervenue dans un quartier connu pour ses nombreux
cafés, où se pressaient les Viennois lundi soir à la veille du début du
nouveau confinement entrant en vigueur ce mardi. Un signe pour Sebastian
Kurz de la volonté de ses auteurs de diviser la population. « C’est une attaque contre notre société libre, contre nous tous »,
a-t-il prévenu lors d’une conférence de presse mardi. Une minute de
silence a été organisée à midi dans toute l’Autriche et trois jours de
deuil national ont été annoncés jusqu’à jeudi pour marquer l’unité du
pays.
Ce que l’on sait de l’assaillant
Âgé d’une vingtaine d’années, l’assaillant est né à Moedling, au sud de Vienne, et est originaire de Macédoine du Nord,
Il avait été condamné en avril 2019 à 22 mois de prison pour avoir
voulu rallier les rangs de l’EI mais il avait été libéré de manière
anticipée.
Sur des photos postées sur les réseaux sociaux, on le voit arborer
une barbe noire fournie, posant avec la Kalashnikov et la machette dont
il allait se servir pour terroriser Vienne, lundi soir. En légende, des
messages d’allégeance à l’Etat Islamique, selon le ministre de
l’Intérieur Karl Nehammer.
Selon Sebastian Kurz, la lutte n’est pas entre religions, c’est « une
lutte entre la civilisation et la barbarie. Nos ennemis sont les
extrémistes et les terroristes. Vous n’avez pas de place dans notre
société », a martelé le chancelier autrichien, promettant de
défendre les valeurs d’une société ouverte et de traquer les criminels
par tous les moyens.
L’Europe solidaire et déterminée
Epicentre des récentes attaques terroristes, la France a par la voix
de son président exprimé sa solidarité dans un tweet en allemand dès
lundi soir. « Nous, Français, partageons le choc et la peine du
peuple autrichien frappé ce soir par un attentat au coeur de sa
capitale, Vienne. Après la France, c’est un pays ami qui est attaqué.
C’est notre Europe. Nos ennemis doivent savoir à qui ils ont affaire.
Nous ne céderons rien », écrit Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat,
qui s’est rendu ce mardi à l’ambassade d’Autriche, a appelé à une
réponse européenne contre « des ennemis qui s’attaquent à ce qu’est l’Europe ».
Sa détermination a d’ailleurs été partagée par l’ensemble de la communauté européenne : « Il n’y a pas de place pour la haine et la violence dans notre maison européenne commune », a martelé le Premier ministre italien Giuseppe Conte sur Twitter, en italien et en allemand. « L’Europe condamne avec force cet acte lâche qui viole la vie et nos valeurs humaines », a tweeté à son tour le président du Conseil européen, Charles Michel. « L’Europe est totalement solidaire de l’Autriche. Nous sommes plus forts que la haine et la terreur », a renchéri Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne.
En Allemagne aussi, le danger du terrorisme islamiste reste inchangé.
horst seehoferMinistre allemand de l’Intérieur
Depuis la décapitation du professeur d’histoire-géographie en France , le Vieux Continent est sur le qui-vive. A la suite de l’attaque au couteau qui a fait 3 morts à la basilique Notre-Dame à Nice, le 29 octobre, le ministre allemand de l’Intérieur Seehofer avait exprimé sa préoccupation : « En Allemagne aussi, le danger du terrorisme islamiste reste inchangé »,
avait-il alors déclaré. L’attaque viennoise a d’ailleurs convaincu
Berlin de renforcer ses contrôles à la frontière avec l’Autriche.
Celui qu’il appelle « Victor » a au moins la chance de
compter parmi ceux de ses « personnages » qu’il affectionne. Une très
grosse chance, même : punk shooté à l’héroïne, sida, mort à 30 ans.
Le pervers narcissique Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’affectionne
que ceux de ses « personnages » dont il n’a jamais craint l’aura…
Ceux-là, il se plaît à leur « redonner vie », comme dit sa nouvelle
conquête sur Twitter… de ces aspects de leurs vies singulières
qu’eux-mêmes auraient peut-être préféré taire ou très certainement ne
jamais vivre et en comparaison desquels la sienne devient super
chouette, ce qui redore immédiatement le blason de son auteur, car comme
le répète assez souvent le « Konducator » de l’ICYP.FR, il ne la subit
pas, sa vie, non, bien au contraire, il en est maître au détriment de
toutes ses victimes…
Les autres de ses « personnages », bien entendu il les déteste tous
et passe son temps à les calomnier jusqu’à la destruction totale pour
éviter qu’ils ne puissent lui faire de l’ombre ou ne lui rappellent sans
cesse de par leur seule existence, leurs vies et personnalités réelles,
auxquelles s’attachent des qualités qu’il n’a pas, tous les défauts qui
sont les siens, dont une très grosse tendance à commettre des crimes et
délits divers et variés.
Mais les premiers non plus, il ne les aime pas, il ne les respecte
absolument pas, il va jusqu’à publier leurs photos sur la toile et donne
leurs identités réelles à qui les demande avec un plaisir évident.
Non seulement il les condamne à vivre ou revivre éternellement face
au public sur la scène de son théâtre de merde une vie qu’ils ont
tellement maudite qu’ils ont préféré la fuir ou s’en extraire
définitivement, mais de plus il s’amuse à tourner le couteau dans la
plaie pour tous les proches de ces personnes bien réelles qui sont
toujours en vie.
Il en jouit.
Torturer les autres à l’infini, tous autant qu’ils soient, morts ou vifs, est son unique vocation.
C’est un vieil ami avec lequel j’avais
longtemps vécu à Paris puis dans le Lot. Il a cassé sa pipe à trente ans
tout rond en 93. Là il faisait l’andouille
Il avait grandi dans le même immeuble que
Helno, le chanteur des Négresses vertes, et était son plus proche ami,
adolescent. Ils sont morts à quelques semaines d’écart, un peu pour les
mêmes raisons. Sida, héroïne…
En ce temps-là j’étais un hippie ( je le suis toujours d’ailleurs
et un soir il avait débarqué chez nous avec une bande de punks
vraiment roots. Je savais même pas que ça existait, les punks. Là
c’était lui à cette époque :
Quel était son prénom ? (Si ce n’est pas
indiscret). Juste pour donner plus de consistance à ce jeune homme trop
tôt disparu et qui semblait tellement plein de vie.
https://www.toulouseinfos.fr/actualites/societe/44043-beziers-cambriolages-famille.html
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